L’homme d’affaires d’origine malienne, Seydou Kane, patron du Consortium international des travaux publics (CITP), a officiellement adhéré à la Fédération des entreprises du Gabon (FEG) dont le président, Henri Claude Oyima, l’a exhorté à se sentir intégré.

L’homme d’affaires Seydou Kane (à gauche) et le président de la FEG, Henri Claude Oyima, le 3 février 2023. © D.R.

 

Il semblait ne pas faire partie de la défunte Confédération patronale du Gabon (CPG). La semaine dernière, Seydou Kane à officiellement adhéré à la FEG, informe le site Directinfosgabon.com. L’homme d’affaires d’origine malienne, plutôt discret ces dernières années, a reçu un accueil chaleureux de la part du président de la Fédération qui l’a encouragé à ne pas se mettre à l’écart, considérant son poids dans l’économie nationale.

«La Fédération des entreprises du Gabon est une organisation patronale qui rassemble les entreprises dans leur globalité, les petites, les moyennes, les grandes et les plus grandes. Vous êtes chez vous au Gabon. Ne soyez pas en marge des organisations syndicales et patronales. Quand on est en marge, on ne se sent pas intégrés. Nous devons donc pour mieux nous connaître, travailler pour préparer nos entreprises de manière globale. Quand on est en marge, on ne se sent pas intégrés. Nous devons donc, pour mieux nous connaître, travailler pour préparer nos entreprises de manière globale», lui a adressé Henri Claude Oyima.

Pour sa part, le patron du Consortium international des travaux publics (CITP) a justifié son adhésion par la nouvelle dynamique impulsée par le président de la FEG depuis quelques mois. «Votre arrivée récente à la tête de la Fédération des entreprises du Gabon laisse entrevoir aux opérateurs économiques que nous sommes, une nouvelle ère avec de meilleures opportunités de création. Je marque ma totale adhésion à la FEG», a déclaré l’homme d’affaires de 60 ans, lors de la cérémonie organisée à Libreville, le 3 février dernier. 

 

 
GR
 

2 Commentaires

  1. CYR Moundounga dit :

    Bjr. Ah ça ! Amen.

  2. Gayo dit :

    Normal c’est avec eux que vous piller le Gabon et empêchez aux vrais patriotes qui ne sont pas prêts à accepter vos parrainage de magouilleurs mafieux de prendre en main l’économie de leur pays. BGFI n’est qu’une institution pour faire main basse sur l’argent du contribuable. De Libreville à Kinshasa en passant par Brazaville. En rdc, le changement de la direction du pays a révélé au grand jour les méthodes de Oyima et de BGFI.

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