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Suite aux polémiques à son sujet : La contre-attaque du camp Jean Ping
En réaction aux accusations portées contre son champion, la coalition des forces politiques et sociales Jean Ping 2016 s’en est vertement pris au président de la République et à certains de ses collaborateurs.
© transatlantique.blog
La coalition des forces politiques et sociales Jean Ping 2016 a fustigé l’agitation autour de son champion. Y voyant des manœuvres visant à le disqualifier, elle entend trainer devant les tribunaux Ali Bongo, Michel Ogandaga et Alain-Claude Bilie-By-Nze «pour tous les propos similaires tenus aussi bien à l’endroit de l’opposition que du peuple gabonais».
Le groupement de soutien à Jean Ping pointe un doigt accusateur vers Ali Bongo, accusé de vouloir multiplier les plaintes contre Jean Ping et ses proches collaborateurs, notamment Véronique Essomeyo. «Nous tenons à rappeler que le fait n’est pas nouveau. Déjà, en date du 12 janvier 2015, plus de 300 jeunes instrumentalisés s’en étaient pris simultanément aux domiciles de Jean Ping et Pierre Amoughe Mba. Le but recherché était le même : d’abord faire passer Jean Ping devant les tribunaux et l’emprisonner pour aboutir à son inéligibilité, puis intimider ses collaborateurs immédiats», a rappelé la coalition, s’insurgeant contre les attaques et menaces envers son leader, présenté comme un génocidaire en puissance à travers de «grossiers montages».
La coalition met plutôt en avant les propos d’un conseiller du président de la République, «non démentis par le pouvoir malgré le tollé et l’indignation générale». Elle évoque également les dernières piques du président de la République, notamment «les chiens aboient, la caravane passe», ou encore les propos du ministre de la Communication, qui a parlé des «rats (qui) quittent le bateau en allant dans le panier de l’opposition», en référence aux démissions du Parti démocratique gabonais (PDG) de René Ndemezo’Obiang et Jean François Ntoutoume Emane. «En fait, Ali Bongo et ses affidés savent parfaitement que, comme l’a souligné Jean Ping, leur fin est proche. Ils tentent donc de détourner l’attention de l’opinion nationale, mais surtout internationale contre Jean Ping et ses soutiens et les salir au maximum, afin de justifier l’utilisation expéditive et arbitraire d’une justice qui refuse désormais d’être aux ordres», estime la coalition Jean Ping 2016.
Si elle ne se fait pas d’illusion, la coalition Jean Ping 2016 tient quand même à attirer l’attention du Conseil national de la communication (CNC). En gros, elle soutient que «tous ces actes régulièrement posés par le pouvoir révèlent, à n’en point douter, de la panique générale qui règne à bord du bateau émergent, en voie de naufrage».
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C’est de bonne guerre ! Et, s’il en était besoin, une preuve supplémentaire de la vitalité et du dynamisme de notre jeune Démocratie. On n’est pas d’accord. On s’oppose en se renvoyant mutuellement la patate chaude. Opérations de charme contre opérations de charmes. Démonstration de force contre démonstration de force. Et parfois, « Œil pour œil, dent pour dent » ! L’aspect positif, c’est que les uns et les autres finissent par admettre que le débat a besoin d’être moins passionné, plus respectueux, plus apaisé et plus courtois. « Ce n’est pas moi, c’est l’autre qui a dit que … » Et, de toutes les façons, on le sait, le philosophe français Jean Paul Sartre l’a si bien résumé dans cette formule devenue populaire : « L’enfer, c’est les autres ». Mais, le plus inquiétant est la montée de cette sorte de nouveau prophétisme gabonais dont le dogme fondamentale déclare sentencieusement « le naufrage du bateau émergent » pour ne pas dire qu’Ali Bongo, c’est l’enfer du Gabon. Quand le Pape de cette nouvelle église s’autoproclame, sans sourcier, le messie du troisième millénaire. Celui qu’avaient longtemps annoncé Léon Mba Minko et Omar Bongo Ondimba ainsi que la Loi et les Prophètes de la Françafrique et de la Communauté Internationale. Jésus a fait 30 ans de vie cachée pour 3 années de ministère qui ont bouleversé sa génération et les suivantes jusqu’à nos jours. Mais, pour Jésus, ce n’était pas 30 ans de vie cachée sous le manteau du roi Hérode, ni lovée dans les douceurs de son somptueux palais. Mangeant et s’enivrant de ses bacchanales. Côtoyant des cercles prestigieux et se liant d’amitiés et d’amours furtifs avec quelques personnages de la très haute société de son temps. Ce qui semble pourtant tout le contraire du Pape-nouveau-messie-du- Gabon, Jean Ping d’Omboué. En rupture absolue avec Jésus de Nazareth, Jean Ping d’Omboué nous intrigue à plus d’un titre. Les uns l’accusent de plagiat et d’autre de tenir des propos appelant au génocide. Il s’en défend avec la dernière énergie du désespoir là où Jésus de Nazareth avait, quant à lui, opposé un long et profond silence à ses accusateur et contempteurs. De plus, notre Messie du Gabon ne se prive pas de la contre-attaque de la coalition des forces politiques et sociales Jean Ping 2016, là où Jésus de Nazareth avait reproché à ses amis de répondre à l’épée par l’épée : « Et voici, un de ceux qui était avec Jésus, portant la main à son épée, la tira, frappa le serviteur du grand prêtre et lui emporta l’oreille. Alors Jésus lui dit : « Remets ton épée à sa place, car ceux qui prennent l’épée périront par l’épée. Penses-tu que je ne puisse faire appel à mon Père, qui mettrait aussitôt à ma disposition plus de douze légions d’anges ? » Vous pouvez lire l’intégralité de cette histoire en Mt 26, 51 – 53. Une question cependant, Monsieur Jean Ping, quel Messie prétendez-vous être pour le Gabon en 2016 ? Et qu’en sera-t-il de la non-violence sous toutes ses formes dans votre aventure messianique pour le Gabon ?
Cher ami(e), comme vous voulez vous aventurer sur le terrain biblique, je vous renvoie au péricope de « La purification du Temple » par Jésus. Oui, Jésus a bel et bien « chassé » les marchands de la maison du Père.
Relisez Jean 2:13-16 :
Le jour où les Juifs célèbrent la fête de la Pâque était proche et Jésus se rendit à Jérusalem.
Il trouva, dans la cour du Temple, des marchands de bœufs, de brebis et de pigeons, ainsi que des changeurs d’argent, installés à leurs comptoirs.
Alors il prit des cordes, en fit un fouet, et les chassa tous de l’enceinte sacrée avec les brebis et les bœufs[a]; il jeta par terre l’argent des changeurs et renversa leurs comptoirs, puis il dit aux marchands de pigeons: « Otez cela d’ici! C’est la maison de mon Père. N’en faites pas une maison de commerce ».
Effectivement Jésus n’a pas passé 30 ans de vie caché sous le manteau du roi Hérode. Ses 3 années de ministère ont bouleversé sa génération et les suivantes jusqu’à la notre parce qu’il s’est attelé à accomplir la Loi donnée par Moise et non à l’abolir. Or, Moise a passé plus de 30 ans dans le palais de pharaon avant de s’enfuir dans le désert d’où il est revenu pour délivrer le peuple de l’esclavage avant de lui donner la Loi sur le mont Sinaï. Il n y a donc aucun mal à avoir vécu auprès du roi et s’engager à libérer le peuple que le roi opprime. Au contraire cela peut être un atout. Moise a du ordonner des combats pour emmener le peuple à jouir du pays que Dieu lui avait donné en héritage. C’est l’œuvre entamée par ce grand homme que Jésus est venu mener à perfection. Libre à toi de ricaner en déversant ton fiel sur Jean Ping. La réalité est que l’immense majorité du peuple gabonais a besoin d’un Moise pour le sortir de l’esclavage et lui donner la jouissance du Gabon que Dieu lui a donné. Mais il n y a rien de nouveau sous le soleil. Il se trouve que lorsque Moise est venu proposer la délivrance au peuple esclave, certaines personnes comme toi ont répliqué qu’ils se sentaient heureux en esclavage. Cependant, leur attachement aux biens et à la nourriture d’Égypte n’a pas empêché la délivrance du peuple. Pour le moment, les gabonais veulent d’un libérateur (quel qu’il soit) qui puisse faire de ce pays une « maison de prière ». Dans la suite, Dieu suscitera à chaque fois un vrai fils du pays (quel qu’il soit) qui chassera à coups de fouet des marchands cupides qui tenteraient encore de transformer le Gabon en « caverne de voleurs ». C’est cela qui bouleverserait notre génération, celle de nos enfants et celles des enfants de nos enfants. Tout cela ne te dit rien bien sur ! Comme certains compatriotes de Moise, tu as choisi de vivre le jour le jour avec la peur que pharaon n’augmente ta charge de pierres à tailler si tu oses parler de liberté. Pitié de toi mon frère! Restes là où tu es! Nous on sort!
yiiii a tare Eko! si tu es pour Ping c’est ton bonheur mais de là à le comparer à Moïse c’est quand même fort. En lisant la bible elle t’a révélée que Moïse avait contribué à la souffrance de ses frères. Au contraire il a essayé de défendre ses frères par ses propres moyens (en tuant l’égyptien qui maltraitait le juif) tout en étant au palais. Ton Ping avec tous les différents postes qu’il a occupé dans ce pays a fait quoi pour les gabonais? Même pour sa propre famille? on a liquidé ses frères il avait fait quoi ou dit quoi? nothing, en 2009 qu’a-t-il fait pour les gabonais connaissant la vérité sur les résultats des élections? même faire semblant comme font les autres dans leurs provinces rénover une route faire quelque chose pour sa province quoi zélé après combien d’année à s’empiffrer de l’argent des gabonais. Moïse a passé 40 ans au désert à paitre le troupeau de son beau-père, cette partie de sa vie sera (un plus) importante pour diriger le peuple de Dieu. Ping Son passage à UA (je suis désolé mais pour moi) a été une honte pour notre pays (d’ailleurs il a été porté à ce poste grâce Omar le pauvre il avait couru dans tous les sens pour que Ping soit placé mais même que ça quelqu’un comme Kadhafi était sortie au moment des élections (il est vrai qu’il voulait placer son poulain mais d’un autre coté il avait vu la bêtise de loin). Oui nous espérons tous voir le Gabon sortir de cette situation mais nous ne devons pas courir vers toutes ces personnes qui se disent aujourd’hui « opposant » (quand on sait que « les prises de consciences » se font après des déceptions personnelles) et après feront peut être pire que celui que nous voulons sortir (attention je ne dis pas que celui qui est là doit rester mais soyons vigilant dans nos choix).
Les émergents sont à court d’inspirations… Voilà, comment il faut réagir face à leurs manœuvres sordides. Votre régime de bananes pourries est en train de s’écrouler… c’est la fin.
Au lieu de nous fatiguer avec les histoires de Ping faite nous le bilan de 7 ans de règne le reste comme disent les ivoiriens c’est maïs.
@ Kem Wr,
Je ne sais pas combien le pouvoir vous paie pour tenir votre page au vue de vos longs commentaires qui ne cherchent qu’à vous justifier et attaquer l’opposition. Si vous pouvez nous faire le bilan des émergents, celà avancera le débat.
Merci Elop de votre reponse biblique à M. ou Mme Kem Wr qui ne comprends pas que la maison GABON doit être lavée et purifiée de tous les démons qui la hantent depuis la nuit des temps.
Présidentielle d’août 2016 : Le candidat Ali Bongo pourrait être réélu à 56 % selon un sondage du cabinet américain Gallup Consulting http://www.gabonactu.com/2016/05/presidentielle-daout-2016-candidat-ali-bongo-pourrait-etre-reelu-a-56-selon-sondage-cabinet-americain-gallup-consulting/
Voyez combien de fois le monde est méchant. Personne n’aime ce type, mais les occidentaux l’ont déjà déclaré vainqueur comme en 2009.
Merci à la coalition des forces politiques et sociales Jean Ping 2016 pour avoir donné écho à ma demande de trainer en justice Ali Bongo et son Conseiller Ogandaga. J’espère seulement qu’il ne s’agit pas juste d’un baroud d’honneur mais d’une action concrète. Dans cette perspective, je suggère toujours de saisir la CPI et d’initier la signature par les gabonais d’une pétition destinée à légitimer la constitution de partie civile de la coalition dans la procédure. De nombreux juristes sont prêts à apporter leur collaboration.
Mais pourquoi vous vous préoccupez de KEM Wr? C’est un autre parasite du même acabit que Jean-Jacques. Laissez-le débiter ses bêtises. De toute façon, il n’y a que lui qui y croit!
Je veux comprendre, pourquoi toute la génération consciente de GABAO tombe dans un debat stérile de CAFARDS, tandis que le débat devait se porter sur le bilan des EMERGENTS. Pourquoi veut-on nous prendre pour les IDIOTS en nous detournant du vrai débat qui est celui du BILAN du PRESIDENT sortant? PING et les autres candidats pontentiels n’ont pas de bilan à defendre. On a emprunté on ne voit pas les resultats de ces emprunts. Les 35 000 logements sont OU? on parle des routes, mais la route de F/MOU-MOUILA est l’oeuvre d’OMAR y compris le CHU d’OWENDO. On attent ALI qu’il nous explique pourquoi n’a t-il pas construit les maisons? la marina? les 2 voies des PK jusqu’à NTOUM, la destruction de la citée de la democratie? le manque des salles de classes, des Universités de MOUILA, OYEM, MAKOKOU, POG?
Ping dois savoir que le Gabon est un ETAT droit. Pour cela, il dois apprendre à respecter les lois du Pays . Cher PING , pourquoi pas prendre une retraite paisible ?
Mon cher LIBANE,
Vous faites rire, sinon vous faites pitié. De quelles lois parlez vous? Vous écrivez que le Gabon est un pays de droit, vous parlez de quel droit? Lorsque le Président de la république reconnait publiquement et devant la face du monde qu’il a présenté des faux documents pour être candidat à l’élection présidentielle, que dit la loi à ce sujet? Et en pareille circonstance que dit le droit? Quand des personnes innocentes sont assassinées sans raison aucune et que les commanditaires et les auteurs sont identifiés mais ne sont pas inquiétés, que dit la loi à ce sujet? Et en pareille circonstance que dit le droit? Quand l’argent du contribuable y compris les opposants sert à satisfaire les caprices d’un groupe de personne identifié et connu au détriment du peuple, que dit la loi à ce sujet? Et en pareille circonstance que dit le droit? Les exemples sont légion, Et que dire des assassinats gratuits des populations de Port Gentil en 2009, que dit la loi à ce sujet? Et en pareille circonstance que dit le droit? vous parlez de quoi finalement. Merci tout de même de nous avoir informé que J.Ping est l’homme politique Gabonais le plus âgé, puisque vous lui proposez de prendre une retraite paisible, certainement à cause de son âge très avancé.
Il faut un changement au Gabon. Notre président devrait être réélu s’il voulait bien répondre aux préoccupations des gabonais. Et éviter de multiplier les choses qui fâchent. En commençant par régler les différentes crises qui sévices au Gabon dans beaucoup de secteurs notamment dans l’éducation, la santé et autres. Notre président devrait enlever toutes les personnes qui ne contribuent pas au bien être de notre beau pays. J’ai fois en notre président Ali Bongo mais il est mal entouré.