Révision de liste électorale : Barro Chambrier mobilise à Mouila
Le président du Rassemblement pour la patrie et la modernité (RPM) a organisé, le 14 mai, à la place des fêtes de Mouila dans la province de la Ngounié, une opération de sensibilisation pour l’inscription massive des populations de cette partie du pays sur la liste électorale en vue des prochains scrutins.
Après l’opération de proximité via le porte-à-porte dans le Grand Libreville, le président du Rassemblement pour la patrie et la modernité, Alexandre Barro Chambrier a mis le cap le week-end écroulé dans le chef-lieu de la province de la Ngounié, pour encourager la population à se faire inscrire massivement sur la liste électorale afin de pouvoir choisir ceux qui doivent gouverner, gérer les mairies et voter les lois pour améliorer leurs conditions de vie.
L’inscription sur la liste électorale est un acte patriotique et personne ne devrait rester en marge. Ne pas le faire, c’est renoncer à imposer l’alternance et le changement, mais également, faillir à notre devoir de citoyen de choisir ceux qui doivent gouverner, gérer les mairies et voter les lois pour améliorer les conditions de vie de la population, a martelé le leader des patriotes.
«Si on ne se lève pas pour s’inscrire massivement sur les listes électorales, il sera trop tard pour pleurer. La solution pour gagner les élections, c’est de se mobiliser pour s’inscrire massivement sur la liste électorale, d’aller voter et de sécuriser nos votes. Pour obtenir la libération, il faudra se battre, il faudra le corps-à-corps. Nous avons tiré les leçons de l’expérience et avec celles et ceux qui nous ont précédés et la foi en Dieu, tout se passera bien pour que nous puissions atteindre l’alternance et le changement», a déclaré Alexandre Barro Chambrier.
Face à la précarité et aux difficultés structurelles auxquelles sont confrontées les populations de la Ngounié, le président du RPM a exhorté celles et ceux qui sont prêts à vendre leur voix à travers leurs récépissés d’enrôlement, à ne pas s’adonner à cette pratique qui anéantirait leurs chances d’imposer l’alternance au sommet de l’État. «Il ne faut pas vendre vos récépissés d’inscription. J’entends ici et là, qu’il y a un commerce qui est en train de s’instaurer par nos amis d’en face que vous connaissez et dont l’occupation favorite est de tricher, de frauder. Nous n’allons plus permettre cela. Nous ne laisserons pas de marges de manœuvre aux autres de tricher», a alerté Alexandre Barro Chambrier, indiquant, que le découragement n’a pas sa place. L’heure est à la mobilisation, à la cohésion et à l’engagement dans la lutte pour l’instauration de l’alternance.
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