Présidentielle 2016 : Le PDS adoube Ali Bongo
S’il n’a pas manqué de réaffirmer son appartenance à l’opposition, le Parti pour le développement et la solidarité (PDS) a exprimé son soutien à la candidature du président de la République pour l’élection d’août prochain.
Pour l’élection présidentielle du 27 août prochain, le Parti pour le développement et la solidarité (PDS) de Séraphin Ndaot Rembogo n’orientera pas le vote de ses «bâtisseurs» vers la candidature d’un opposant. Pour cause : aucun des aspirants de l’opposition n’incarnerait à ce jour l’alternance que le parti souhaite, et pour laquelle il œuvre depuis sa création, a expliqué le vice-président de cette formation politique, à l’occasion de la cérémonie d’ouverture du 1er congrès extraordinaire organisé le 25 juin à Port-Gentil. Un congrès dit «de la clarification» dont l’objectif était d’expliciter le positionnement du PDS, notamment après le rapprochement supposé de son principal leader d’Ali Bongo et de sa politique.
Si les cadres du parti ont dit comprendre que leur positionnement surprend certains, ils ont tenu à rappeler que depuis 1990, le PDS a toujours orienté ses suffrages vers les candidats d’autres partis : d’abord Pierre-Louis Agondjo Okawé du PGP, puis deux fois Pierre Mamboundou de l’UPG. Là, ont-ils dit, il s’agissait d’«une opposition qui incarnait le changement, et qui n’avait jamais été compromise dans des affaires, ni avoir flirté avec le pouvoir, et dont le projet politique se rapprochait du (leur)». Or, à moins de trois mois de la prochaine présidentielle, «les données ont changé», a déclaré Augustin Mouboga, regrettant d’avoir en face «une opposition de pouvoir, une opposition PDG-PDGiste». Pour le 2e responsable du PDS, «il n’y a pas de candidat de l’envergure de l’opposition traditionnelle». Aussi, regrettant qu’il n’y ait pas de «nouveaux visages», s’est-il interrogé : «Doit-on se fier aux masques d’opposants et au maquillage arboré ? Doit-on prendre les mêmes et recommencer dans les mêmes errements ?» A ces différentes questions, le parti de Séraphin Ndaot a répondu par la négative, préférant faire confiance à Ali Bongo, dont la politique sociale, bien que sujette à quelques manquements, semble plus palpable que les projets de ses différents challengers, qui ont été «objectivement» examinés lors des travaux en commissions.
Au cours des travaux, les participants venus des neuf provinces du Gabon ont également planché sur la préparation des échéances électorales à venir, notamment les législatives de décembre prochain, auxquelles le parti compte participer. Avant de déterminer les différentes circonscriptions que le PDS briguera, ses responsables ont suggéré à leurs alliés une présentation de listes communes à ces législatives. Objectif : garantir leur victoire et partant celle de la politique sociale qu’ils ont en commun. Un message notamment été adressé aux «partis amis» invités au congrès extraordinaire, parmi lesquels le PSU, le FRER, l’APSG et l’association Ngam Ayong, tous signataires du Pacte social en 2014.
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Vraiment le c’est pas la peine hein!! Donc vous aussi êtes tombé sous le fameux charme d’ALi Bongo…? On va tout voir dans ce pays.., franchement je suis decu…
Bjr cher ami Leroy,
Ne te décourage, pas de passion. Le choix du candidat Ali est la conséquence de débat houleux. Les militants du PDS ont sûrement vu kil es le moins mauvais…
Eh oui ! Voilà la politique au Gabon. Qui doutait encore lorsque les partisans du changement, les vrais ont boudé ce truc de CND? Maître NDAOT nous a bien montré sa face, par conséquent, qu’il aille au………
Oh là là! Ndaot est-il tombé sur la tête? On comprend dès lors pourquoi il a toujours été battu à Port Gentil à chaque élection. Ce n’est pas un homme de convictions, mais un affairiste dont la bouche est déjà pleine grâce à tout ce qu’il broute au CND.
Lafayette, ne maintenez pas le Gabon dans une situation de paralysie politique, la politique se doit d’être évolutive. NDAOT est avant-gardiste, il a surement cerné les contour et les enjeux du moment. Entre plusieurs , Il a choisi le moindre. Entre les principaux fossoyeurs de la nation qui ont participé au pillage du pays et qui ignoraient que la misère et la pauvreté existaient dans notre pays et les découvrent maintenant et quelqu’un qui se bat pour sortir ses compatriotes du dénuement dans laquelle les néo-opposants les y ont maintenu, le choix de NDAOT et de ses militants est mature et judicieux.
Faire autrement. c’est choisir de se maintenir dans le rêve.
déçu de quoi leroy? tu pensais que Ali a positionné NDAO au CND pour rien? NDAO se bat pour son ventre et il n’exprime là que sa reconnaissance, il n’a rien faire du Gabon qui est en dérive. NDAO, Ali à quel projet de société pour le Gabon a part des éléphants blancs?Heureusement que l’Ogooué Maritime et le Gabon en général ne tomberont pas dans ces diversions en août prochain.C’est bien triste de voir que même des gens aussi instruis que NDAO ne réalisent pas que notre pays est en danger à travers le non respect de sa constitution en son article 10. Dommage!!!
eh!eh! ça ne fait que commencer!
Je ne suis pas surprise par ce positionnement. C’est normal, Ndaot ne pouvait que soutenir Ali qui a fait de lui le President du Conseil National de la Democratie. Les positions de Ndaot au sein du CND etaient pour moi un signal quant au retournement de vest de Seraphin. Reste mainatenant aux Marigoveens de ne pas se laisser seduire par ce vendeur d’illusions.
Comme l’histoire nous rattrape..
Qui avait envoyé les pirogues récupérer les électeurs qui avaient été pris en otage à paga village chez madame Dossou, et pourquoi? C’est parce que au lieu d’aller voter le candidat OBO, ces derniers ont inversé la donne, en votant massivement pour le défunt PMM.. Bref c’est mal connaitre les électeurs de POG..wait and see
La sagesse est propre à certains individus . Son geste n’est pas sorcier juste son devoir mis en pratique en tout ame et conscience
C’est vrai que cela ne peut surprendre. Déjà en acceptant le poste au CND, NDAOT avait donné le signale de son positionnement. Voila il l’a confirmé et c’est tout.
Décevant? non pas pour moi. Juste qu’il joue bien sa carte.
certains ont contribué à la vague émergente, soit en se taisant soit en étant une pièce maîtresse du système. Aujourd’hui, ces « certains » décrient à gorge rompue les déboires de cette fameuse vague.
D’autres, ont plutôt combattu cette vague émergente et le système précédant, corps et âme et cela pendant des années et des années. curieusement, ces « d’autres » la aujourd’hui soutiennent, sans réserve, le chef de fil de l’émergence. au prétexte qu’il n’y a pas de sang neuf dans l’opposition.
Ha politique quand tu nous tiens…
Vous avez fait le bon choix et ça vraiment à temps.bravo à vous de soutenir la candidature du président de la republique.
Séraphin n’est pas un extra terrestre, il est gabonais comme vous et moi; pourquoi le vouez vous aux gémonies pour son choix? Qui vous reproche votre choix?
Nous savons bien que ndaot avait perdu le PGP de feu Agondjo Okawé au profit de Benoit Mouity vice président du parti et successeur statutaire du président du PGP. Il attendait un soutient de jean ping afin de s’installer à contre courant des status du parti à la présidence, estimant que le parti etait une propriété des miénés. Et depuis là, ndaot avait juré de pactiser avec le diable pour nuire à toutes actions politiques qu’entreprendrai jean ping. Ainsi
ndaot dans toutes ses causeries passe son canarder ya jean, oubliant que ce dernier n’est plus au seul niveau de port gentil, c’est une personnalité politique nationale. Qui connait ndaot à mbouda? fanguidaka? mbaya? bilossi?
NDAOT n’a jamais perdu le PGP au profit de Mouity NZAMBA,l’affaire est encore pendante devant les tribunaux, il a créé son parti pour sortir du piège qui lui était tendu par PING justement et Omar BONGO, afin qu’il ne participe pas aux élections, contrairement à ce que tu dis sache que son parti à des représentants dans 6 provinces et qu’il a présenté et soutenu des candidats dans 8 ^provinces, dire qu’il n’est pas connu, cela relève de la mauvaise foi mais bon peut-on s’attendre à une objectivité de ta part?
C’est un choix fait sur la base d’une rationalité éguisé.
Tous derrière un seul candidat pour une seul victoire celle de l’homme de la situation
cmt des gabonais peuvent elir un nigerian les autres pays africains ont raison de dire que le gabon est un pays de pxxxx enfin pour l’argent on laisse un beninois un nigerien au pouvoir, limite demandez au moins le retrait d’accoubessi nada pas de couilles schtsssss
C’est vrai que c’est pas une surprise, mais nous sommes encore une fois deçu…
Bravo M NDAOT, entre tous les candidats PDG(de l’ordre ancien)et (l’ordre nouveau) de l’émergence, qui se présentent à l’élection présidentielle, le meilleur des choix est d’accompagner celui qui s’est battu du coté d’André MBA OBAME (les rénovateurs) pour apporter la démocratie au Gabon. Les caciques et appellistes (MYBOTO, PING,NZOUBA NDAMA,et consort se sont battus auprès d’Omar BONGO pour conserver l’ordre ancien. Je peux vous assurer que ces dictateurs arrivés dans l’opposition et voici l’opposition s’est radicalisé, autrement dit dans ce pays, lorsqu’ils étaient au PDG, il n’ y avait qu’eux qui pouvaient arranger le pays, lorsqu’ils sont dans l’opposition il n’y a qu’eux, les indispensables politiques gabonais et puis quoi encore, et le peuple qui n’a manifestement de mémoire veut se laisser berner par quelqu’un qui nous dit qu’en un mandat il changera le pays. De qui se moque t-on?
ah opposition caviar!!!
bravo à NDAOT pour la décision prise, une décision sage qui est basé sur des données biens précises,aujour’hui on constate une vague de pseudo opposants qui pendant plusieurs années ont piller le pays pendant que NDAOT construisait pour le bien être des populations ,vraiment on oublie vite
le PDS est un parti bien structuré ,la décision de soutenir ALI BONGO émane de la base ,mais comment voulez vous soutenir des roitelets qui pendant au moins 30ans ont piller le Gabon; contrairement à NDAOT qui par les oeuvres sociales et patrimoine est plus crédible à ces pseudo opposants de nouvelle heure, NDAOT à diriger la commission d’enrichissement sur le pacte social qui a conduit à la revalorisations des salaires des fonctionnaires ,l’augmentation du nombre de boursiers et le montant de la bource ,pour ne citer que ceux la ,et aujourd’hui NDAOT avec toute sa lucidité et expérience politique a fait le bon choix et memes les sceptiques lui donneront raison,
bjr à tous, il est vrais que plusieurs d’entre vous attendaient une position autre que celle prise par
le PDS, mais la politique c’est avant tout un débat d’idées, des actions et la reconnaissance de ce qui se fait au profit des populations. et le PDS s’inscrit non pas dans le débat des personnes, mais dans la recherche des solutions pour l’amélioration des conditions de vie des populations.
il est vrais que plusieurs d’entre vous attendaient une position autre que celle prise par
le PDS, mais la politique c’est avant tout un débat d’idées, des actions et la reconnaissance de ce qui se fait au profit des populations. et le PDS s’inscrit non pas dans un conflit de personnes , mais dans a recherche des solutions pour l’amélioration des conditions de vie des population, soyons conscients ,ne faisons pas dans la passion ou mettre en
avant l’ethnie,
le PDS œuvre pour l’édification d’une société meilleure, dans laquelle les citoyens ,libres et responsables ,animés par l’idéal de justice social ,de solidarité ,de bonheur pour tous ,travaille pour la promotion du développement qui n’est possible que dans la cohésion et le respect es lois, et le choix porté sur le candidat retenu par le parti de NDAOT est réfléchi du faite que tous les autres candidats je dis bien tous ont une carte de visite sombre, en toute objectivité regardez les réalisations actuelles et celles d’avant, vous trouverez des réponses au choix du PDS,
La machine je confirme
Tu veux savoir ?
Le PDS se réclame de la social-démocratie. C’est-à-dire d’un socialisme parlementaire et réformiste.
On le sait, les partisans de ce courant socialiste, ne sont ni des libéraux, ni des révolutionnaires mais tout uniment des réformistes.
En substance, cette doctrine préconise la voie des réformes politiques, économiques et sociales pour transformer la société. Elle n’entend donc pas refaire la société mais la parfaire par touches successives. Il s’agit pour les sociaux-démocrates de corriger les excès, de modifier en mieux, d’amender.
La social-démocratie admet le libéralisme économique avec son économie de marché, mais recommande un regard appuyé de l’État dans les grandes options macroéconomiques, afin d’assurer :
Une rapide réorganisation et restructuration, un meilleur pilotage de son économie, afin d’accélérer sa diversification et la sortir de sa quasi dépendance au seul secteur minier ;
Une meilleure redistribution de la richesse nationale, particulièrement au profit des moins favorisés, dans un esprit de solidarité sociale, qui une valeur culturelle cardinale de la société gabonaise dans son ensemble ;
En résumé, le PDS met l’homme gabonais au centre de toutes ses préoccupations, privilégiant la rémunération du capital humain par rapport au Capital financier. Son crédo, c’est l’Économie libérale sociale, qui doit amener le Développement matériel mais aussi le bien-être des citoyens par la Solidarité Sociale.
CONCEPTION DE L’OPPOSITION DU PDS
Il faut d’abord brièvement souligner que l’opposition désigne généralement tous les Partis politiques qui manifestent des idées différentes de celles du gouvernement en place, dans l’intention de conquérir le pouvoir.
En résumé notre conception de l’opposition se décline comme suit :
Approuver objectivement les actes posés par le Gouvernement » si, bien entendu, ceux-ci s’inscrivent dans le cadre du développement du pays et dans l’intérêt du plus grand nombre ;
Désapprouver et même condamner les actes contraires ;
De façon triviale, nous affirmons que « Quand c’est bon, nous disons que c’est bon, quand c’est mauvais nous disons que c’est mauvais ;
Proposer, le cas échéant » des solutions idoines aux problèmes qui se posent à un moment ou à un autre ;
Accepter ou susciter une concertation politique sur les grandes questions nationales ;
Souscrire à des compromis dynamiques dans l’intérêt national.
Le PDS n’a pas une vision manichéenne de la politique. Ce qui le distingue à la fois des oppositions dites radicales et conviviales.
À partir de l’extrait du memento du PDS ci-dessus, l’on se rend à l’évidence que politiquement, Me NDAOT est en avance de plusieurs décennies en matière de réflexion sur la Gouvernance de son pays. De ce fait, le soutien du PDS au candidat Ali BONGO est la suite logique de la politique exprimée par les Bâtisseurs dès la création de leur Parti.
Il faut rappeler en substance que Me NDAOT n’est pas le premier leader de l’Opposition à signer une alliance politique avec le pouvoir en place.
En effet, c’est grâce aux accords signés entre le PDG et PGP en 1996 (entre Omar BONGO et Me Pierre-Louis AGONDJO OKAWE) que naît la première cogestion politique et administrative entre un Parti de la majorité et celui de l’opposition radicale de cette époque que Port-Gentil a connu l’arrivée comme Maires de l’Opposition : Mme HOUAGNI dont le mandat fut terminé par Me AGONDJO. Rappelons-nous également que le RNB de Paul MBA ABESSOLE conduit par le Professeur Pierre-André KOMBILA était en embuscade pour tisser des alliances contre nature au détriment du PGP et Me AGONDJO pour se hisser au perchoir communal. N’eut-été le sursaut d’orgueil des feus OGOULA yi NKOMBE et Pierre-Louis AGONDJO, la jeunes démocratie dans la cité pétrolière aurait connu sa première trahison perpétrée par un Parti de l’Opposition.
La cogestion de 1996 avait été applaudie par les populations Port-Gentillaises et l’ensemble des Gabonais. (il n’a jamais été question de trahison).
En 2001, le PGP est battu par le PDG lors des locales de cette année dans la cité pétrolière. Mais suite aux négociations qui ont suivi cette élection, et pour l’intérêt supérieur de la nation, Omar BONGO, chef du PDG n’a pas hésité de céder la gestion de la Commune de Port-Gentil au PGP, au détriment de son Parti arrivée en tête de ce scrutin. D’où l’arrivée de Me NDAOT, précurseur du développement de la cité pétrolière. (Acte 2).
En 2007, Me NDAOT après les complications politiques survenues quant à la gestion du PGP après la disparition de son Président Me Pierre-Louis AGONDJO OKAWE, il s’est vu obligé de participer aux locales de cette année sous le label d’une association dénommée ANB. Il obtiendra la majorité relative de 28 Conseillers municipaux sur les 32 Conseillers requis pour pouvoir diriger la Mairie de Port-Gentil. Me NDAOT et l’ANB n’obtiendront jamais le soutien des politiques de le l’Ogooué-Maritime dans leur ensemble.
C’est à cette époque qu’est apparu la petite phrase lourde de conséquence et qui a celé le sort du PDS, (l’ANB de l’époque) dans le précipice, lui privant la continuation du développement de la ville. Ce grand du Pouvoir déclarait à qui voulait l’entendre, je cite : «Je préfère voir un chien à la maire de Port-Gentil que de voir NDAOT» ce grand Homme du serial avait pesé de tout son pouvoir politique pour priver Me NDAOT de la gestion de la Mairie de Port-Gentil, il s’est opposé aussi de facto au développement amorcé par le Président actuel du PDS. Omar BONGO dira en off que c’est un problème entre ressortissants Marigovéens (sans commentaire).
Les détracteurs du PDS parlent aujourd’hui de trahison quand il s’agit du soutien de la candidature d’Ali BONGO par le PDS. Le PDS n’a nullement une prétention vengeresse sur son positionnement actuel. Au contraire, le Parti de Me NDAOT a toujours soutenu ce qui suit (voir également plus haut) :
Le PDS est prêt à :
Accepter ou susciter une concertation politique sur les grandes questions nationales ;
Souscrire à des compromis dynamiques dans l’intérêt national ;
Proposer, le cas échéant » des solutions idoines aux problèmes qui se posent à un moment ou à un autre.
Le profane à la politique (le Gabonais qui milite uniquement devant son clavier), a une vision d’écran. Cette vision même qui dénote les raisons profondes qui peuvent conduire un Parti politique à soutenir telle ou telle autre position. le PDS est responsable de ses actes et les assumera jusqu’à leur aboutissement. Il est souhaitable que les parties concernées par le scrutin du 27 août 2016 s’arcboutent sur les projets à proposer au peuple, ils doivent instruire les Gabonais sur la manière dont ils attendent gérer le Pays pour le septennat à venir, Identifier les sources financières, etc…
Soutien à la décision patriotique du PDS… Soutien à son Président !
Et tchaaaaa! bravo Antoine. On ne peut pas être plus clair que ce bel exposé que tu as fait sur la politique, l’opposition et sur l’idéologie du PDS. Un Parti politique est comme un homme; il naît, il a une vie et c’est à travers les tribulations de sa vie qu’il parvient à atteindre son objectif qui est celui de réussir au plan professionnel, familial et social. Le PDS c’est ça aussi, et Antoine, sache que le rappel de l’histoire que tu as fait , des accords passés du PDS aussi bien avec l’opposition qu’avec la majorité dans l’intérêt des gabonais, montrent aisément que l’ objectif final de ce parti réside dans le bien être du plus grand nombre.
Pour ceux qui pensent que le PDS s’est engagé avec le Président de la république à des fins personnelles ou financières, se trompent et même se gourent complètement. Le PDS n’a pas attendu d’être aux affaires, ou attendu un quelconque accord avec le pouvoir pour mettre en oeuvre le fondement de son idéologie. Beaucoup savent que Depuis le temps du PGP en passant par l’ANB et le PDS ensuite, Me NDAOT n’a jamais ménagé aucun effort pour venir en aide aux plus démunis. dans les différentes localités, à Lambaréné la réfection de l’école St François Xavier à coûté des millions au Parti, la construction d’une école primaire à Malibe 2, la constructions de nombreuses passerelles à LBV et POG, le panier de la solidarité… et j’en passe. Voici autant de réalisations faites par un parti politique qui plus est , est un parti de l’opposition. Peut on me dire quel autre parti de cette mouvance en a fait autant? Alors cessez de vilipender le PDS et son leader.
Un accord politique pour moi est un contrat de travail, et le PDS veut travailler pour les gabonais, et le support sur lequel s’appuie de PDS est son projet de société, son programme de gouvernement. Et pour moi un programme de gouvernement doit être axé essentiellement sur le développement équilibré du pays sur une solidarité sociale accrue, une gouvernance transparente et la volonté d’ériger réellement un Etat de droit démocratique.
Il n’est pas dit que parce qu’un leader de l’opposition a porté son choix sur le programme présenté par un candidat qui n’est pas de l’opposition , que ce leader intègre la majorité qui gouverne.
De plus, la signature du pacte social entre le PDS et le Président de la République n’a pas pour autant emmené le PDS dans la majorité gouvernante. Ce parti demeure dans l’opposition.
Alors, que cesse le kongossa sur le PDS, son président et ses militants; que cessent les a priori et « jugeons le maçon au pied du mur ». En bon entendeur…..