Le chef de l’Etat gabonais assurera la présidence tournante de la Communauté économique des États de l’Afrique centrale (CEEAC) dès le 25 février prochain. Ali Bongo Ondimba succèdera ainsi officiellement à son homologue congolais Félix-Antoine Tshisekedi au terme des travaux de la 22e session de la conférence des chefs d’État et de gouvernement de cette institution communautaire prévue le même jour à Kinshasa, en République Démocratique du Congo (RDC).

Le 25 février 2023, le président de la RDC, Félix-Antoine Tshisekedi passera le bâton de commandement de la CEEAC à son homologue gabonais, Ali Bongo Ondimba. © D.R.

 

Au terme de douze mois de présidence à la tête de la CEEAC, conformément aux nouvelles dispositions issues de la réforme de 2015-2020, le président de la RDC, Félix-Antoine Tshisekedi passera le bâton de commandement de cette communauté régionale à son homologue gabonais, Ali Bongo Ondimba. Cette passation de pouvoir interviendra lors des assises de la 22e session ordinaire de la Conférence des chefs d’État de la CEEAC, prévues à Kinshasa, le 25 février.

La passation de pouvoir entre le sortant Félix-Antoine Tshisekedi et le nouveau Ali Bongo Ondimba sera l’un des temps forts de la 22e session de la Conférence des chefs d’État et de gouvernement de la CEEAC. Toutefois, cette cérémonie solennelle sera précédée par plusieurs réunions notamment au niveau ministériel ainsi qu’au niveau des experts.

Créée le 18 octobre 1983, cette communauté compte onze pays membres, à savoir l’Angola, le Burundi, le Cameroun, la République démocratique du Congo, la République centrafricaine, la République du Congo, le Gabon, la Guinée équatoriale, le Rwanda, Sao Tomé-et-Principe, et le Tchad. En 2020, avec l’entrée en fonction de la Commission, le compteur de la présidence tournante a été remis à zéro et le nouveau compteur d’un mandat d’un an a démarré avec la République du Congo (2021) ; la République démocratique du Congo (2023) et pour l’année 2023, ce sera la République gabonaise.

 

 
GR
 

2 Commentaires

  1. Malho dit :

    Le malade de boa alias le boucher de bongoville est désormais edoungué. Tout le monde sait qu’il ne gère plus rien. Quelqu’un qui est incapable de signer fait quoii encore à la tête du pays ? C’est la botoxée de Sylvia celle qui a les yeux écarquillés on dirait une personne qui a vu le fantôme à ndende et son rejeton putatif nourredin alias couscous qui dirigent le Gabon avec la mangé de ya Mado.

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