Contrairement aux informations de l’agence de presse Reuters, le directeur général d’Assala Gabon assure que la filiale de Carlyle International Energy Partners n’envisage pas de céder ses actifs au Gabon. Il s’agirait, selon Daniel Marini, de simples rumeurs sans fondement.

Daniel Marini, directeur général d’Assala Gabon. © D.R.

 

Des rumeurs. C’est ainsi que Daniel Marini qualifie les informations au sujet d’Assala Energy Gabon diffusées en octobre dernier par l’agence de presse Reuters et relayées par plusieurs médias, y compris ceux dits bien introduits, à l’instar d’Africa Intelligence. Non, la filiale de Carlyle International Energy Partners n’envisage pas de vendre ses actifs au Gabon !

Dans un entretien au quotidien l’Union diffusé ce week-end, le directeur général rappelle d’ailleurs que si une vente avait été à l’ordre du jour, les supposés potentiels repreneurs cités par la presse, à savoir Perenco, Tullow Oil, Maurel & Prom, Panoro Energy, Vaalco Energy ou BW Energy, l’auraient officiellement fait savoir. Cotées en bourse à Paris, à New York où ailleurs, ces sociétés ont l’obligation de légale d’annoncer toute discussion de fusion-acquisition qu’elles auraient entamée, indique Daniel Marini.

S’il dit avoir déjà été confronté à ce genre de rumeurs dans le passé, le patron n’en craint pas moins pour le moral de ses collaborateurs. «On oublie que ces informations, déformées, amplifiées, peuvent causer des dommages. Nos salariés, par exemple, sont affectés par ces rumeurs. Nous devons donc veiller à ne pas les colporter ou les entretenir», exhorte le d’Assala Energy Gabon.

 

 
GR
 

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