La société Olam GSEZ et l’ONG Otima ont équipé en mobilier, le 2 juin dernier, le Centre d’accueil pour enfants en difficultés sociales d’Angondjé (Capeds), soit 22 tables et 81 chaises pour le bon fonctionnement de la structure.

GSEZ et Otima en bienfaiteur au Capeds. © D.R.

 

Deux mois après sa dernière action en faveur des pensionnaires du Centre d’accueil pour enfants en difficultés sociales d’Angondjé, le tandem GSEZ et Otima a décidé de retirer leur élan de charité et de solidarité à l’endroit des 80 enfants abandonnés et/ou victimes de maltraitance et les enfants de la rue de cet organisme placé sous tutelle du ministère de la Santé et des Affaires sociales.

«Otima est une association qui milite pour la défense du droit des enfants au Gabon. Nous intervenons soit dans les actions sociales, soit dans les actions de plaidoyer. Nous accompagnons le Capeds depuis sa création, il y a environ trois ans. Aujourd’hui, nous sommes ici pour le don fait par GSEZ sous l’impulsion de notre association» a déclaré la secrétaire générale de l’association Otima, Emma Bisseck.

Ainsi, le 2 juin dernier, la société Olam GSEZ et l’ONG Otima ont équipé le Centre d’accueil pour enfants en difficultés sociales d’Angondjé, de 22 tables et 81 chaises pour le bon fonctionnement de la structure. Mais également, initier les travaux au réfectoire du centre afin d’offrir à ce lieu des commodités répondant aux normes hygiéniques adéquates, et favoriser une meilleure prise en charge des enfants résidant au Capeds.

«Aujourd’hui, nous sommes heureux d’avoir reçu 22 tables et 81 chaises et les travaux du réfectoire du centre ont été faits, car celui-ci ne répondait plus aux normes hygiéniques adéquates. Ce don nous est vraiment favorable d’autant que nous éprouvions déjà des difficultés pour installer nos enfants au moment de leur servir des repas» a déclaré la directrice générale adjointe du Capeds, Nicolette Minfoumane.

Le Capeds accueille et scolarise actuellement 80 enfants en difficultés sociales, c’est-à-dire les enfants abandonnés et/ou victimes de maltraitance et les enfants de la rue. Ce chiffre pourrait augmenter dans les prochains jours, selon les responsables de la structure.

 
GR
 

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