Mutation du Covid-19 : Ali Bongo à la recherche d’un bouclier
L’émergence de variants du Covid-19 plus contagieux inquiète le monde y compris le Gabon où le président Ali Bongo a réuni ce 11 janvier un conseil présidentiel. L’objectif est de parer à toute éventualité, grâce à une campagne nationale de vaccination.
La détection de nouveaux variants du Covid-19, plus transmissibles selon les premières estimations, inquiète le Gabon. Face à cette mutation, le chef de l’Etat a réuni ce 11 janvier un conseil présidentiel. L’objectif, a-t-il fait savoir sur sa page Facebook, est de «réfléchir, en amont, dans l’hypothèse où le Gabon serait à son tour concerné, à l’adaptation de notre riposte et aux mesures supplémentaires de protection susceptibles d’être adoptées».
A travers le monde, on parle de nombreuses mutations du virus (Sars-CoV-2) depuis son apparition. Et si la grande majorité est dite sans conséquence, les nouvelles souches ont une plus grande transmissibilité. Si elles sont détectées dans le pays, elles pourraient faire remonter la courbe de transmission. «Pour parer à toute éventualité, le Gabon continuera à faire preuve d’anticipation et à appliquer le principe de précaution tout en travaillant activement à la campagne nationale de vaccination», a tweeté Ali Bongo. Ce dernier estime que l’anticipation et la précaution sont des principes qui font la réussite de la riposte sanitaire du pays jusqu’à ce jour. En parallèle, a-t-il posté, «j’ai demandé à ce que l’élaboration du plan national de vaccination soit accélérée».
6 Commentaires
La mutation du Covid se fait depuis octobre 2018 au Gabon avec les sosies de BOA. Ce sont des mutants au Covid qu’était BOA et sa clique toujours sur le terrain pour semer la zizanie au Gabon.
Au Gabon on répond par « bande de cons de vos mères ». Vivre en se comportant si bêtement est vraiment regrettable. Ces nullards passent leur temps à mimer la France. Ils en viennent à parler de hausse de la courbe, de recrudescence des cas. Soyons un peu sérieux que représentent 60 morts en an (60/2000000 =0,003% de la population). Il ne s’agit pas de nier l’existence de la COVID-19, mais de là à vouloir faire absolument croire que la situation au Gabon est identique est celle qu’on vit en Europe où aux Etats-Unis est une grande connerie. Que les Gabonais n’aillent pas se faire vacciner. On ne se méfiera jamais assez de l’homme Blanc et de ses serviteurs à la tête de nos pays francophones notamment. Les gens se portent bien parce que cette pandémie n’est pas la nôtre, L’OMS qu’on cite comme experte en la matière et qui « félicité » le Gabon pour sa gestion de la « crise » avait prédit l’hécatombe en Afrique, qu’elle nous explique pourquoi l’hécatombe est plutôt dans les pays du nord et qu’elle donne à ces pays la recette miracle trouvée par les bons gestionnaires africains, dont fait partie le Gabon. . Il faut empêcher aux Européens (par AIR-FRANCE et autres compagnies aériennes ) de venir chez nous tant qu’ils n’ont pas éradiqué ce virus, c’est la vraie mesure efficace. Ce sont eux qui l’on introduit en Afrique. Maintenant chaque jour ils cherchent une variante africaine pour nous faire endosser la paternité de ce monstre fabriqué en laboratoire et qui les a échappé. Ils le savent très bien. Alors quand des des farfelus comme ALI BONGO veulent jouer les intéressants, les chefs responsables en imitant tout bêtement ce qui se fait en France, on doit s’y opposer. Le plan de vaccination c’est pour vacciner qui en premier? On a pas les EHPAD (avec des vieillards croulants), on ne connaît pas de cas débordants dans nos petits hôpitaux.
Il faut laisser ces gens consommer leurs vaccins, rien ne justifie une précipitation, si ce n’est le désir de détourner les énormes financements dans une pandémie qui n’en est pas vraiment une pour nos pays. Avec 60 morts en plus d’un an, on peut tranquillement se permettre d’observer l’évolution de tous ces traitements. M. ALI BONGO, la COVID-19 n’est pas la préoccupation première des Gabonais si vous ne le savez pas. Que vos amis vous le disent et qu’ils travaillent plutôt à remettre en marche ce qui reste de l’activité économique.
MERCI, LAVUE! LA VRAIE MESURE: FERMEZ LES FRONTIERES AVEC CES PAYS A HAUT RISQUE ÉPIDÉMIOLOGIQUES.
Quand allez-vous COMPRENDRE que ce n’est pas ALI BONGO qui gouverne le Gabon, ni même son épouse Sylvia Bongo. Si ce qui est vécu en France est sur le point d’être appliqué au Gabon, cela veut dire que c’est LE QUAI D’ORSAY qui gère désormais le Gabon jusqu’à la nouvelle mascarade électorale de 2023. Je vous en supplie, croyez-moi. je sais que ce que je vous dis est TOTALEMENT VRAI. Et s’il applique ce qui se passe en France, c’est d’abord pour leurs ressortissants installés chez-nous. Croyez-moi, sincèrement. J’ai vu, en plus de 30 ans de services au B2 la DUPLICITÉ des français. A Ntare Nzame !!!
Qu’est-ce qu’il ne faut pas lire comme connerie … typique de ce qu’on appelle les contestataires systémiques. Bref heureusement que vs n’êtes qu’une extrême minorité
Je partage cet avis. Les pays où on compte des milliers de cas doivent valoriser leur vaccin. Et si notre gouvernement veut se montrer efficace c’est la restriction ou le contrôle des voyageurs en provenance des pays à risque.
Sinon c’est juste de la distraction. Car pour ma part, le laboratoire national fait rentrer comme recettes des Millions de francs CFA.testes Covid à 20mil et 5mil.
Avec un calcul simple et minimisé.
100 tests VIP/jour produisent 2 000 000Fcfa (mais on sait que c’est plus de 100 testes réalisés)
100 testes de 5mil produisent 500 000Fcfa.
Donc un minimum de 2.5M/j .nous savons que c’est plus 500 testes payants qui se font chaque jour et le seul moyen de garantir ces recettes c’est exploiter ce qui se passent ailleurs.
Combien de morts notre pays enregistre suite aux accidents routier? Nos trains détaillent presque tout temps. tout ceci ne nécessite pas un regard? ??? Quelles mesures sont prisent à mont-bouet et autres marchés? C’est le bains de foule. Le Gabon a de problème sérieux mais on nous distrait avec Covid. L’insécurité, le détournement de budget, sont des pandémies, mais hélas.