Maroc : Un étudiant gabonais meurt à la veille de son retour au pays
Arrivé au terme de ses études au Maroc, un étudiant gabonais, Axel Prince Obame Wagna Bibang, 28 ans, est décédé récemment à Casablanca après plusieurs arrêts cardiaques. C’était à la veille de son retour définitif au Gabon.
Le corps de l’étudiant gabonais décédé, le 6 septembre à Casablanca, attend d’être rapatrié au Gabon (illustration). © D.R.
Destin tragique que celui d’Axel Prince Obame Wagna Bibang qui, après des années d’études au Maroc, était parvenu à les conclure il y a quelques semaines avec l’obtention de son diplôme. Le jeune étudiant gabonais de 28 ans a trouvé la mort, vendredi 6 septembre, rapporte le quotidien L’Union. C’était le même jour qu’il avait prévu de revenir définitivement dans son pays d’origine. Si la cause de son décès n’a pas été déterminée, le père du disparu indique que son fils est décédé après plusieurs arrêts cardiaques à Casablanca.
La veille de sa mort, donc le jeudi 5 septembre, raconte Ferdinand Wagna Bibang, «Prince s’est rendu chez une amie pour lui dire au revoir. C’est d’ailleurs cette dernière qui à alerté [les sœurs du disparu] de ce qu’il est en train de convulser chez elle. Et c’est de là-bas qu’il a été conduit directement à l’hôpital». Selon sa sœur aînée, sans explications, ni de la part de l’amie ni de celle de son frère, ce dernier s’était mis à «vomir du sang» jusqu’à l’arrivée de l’ambulance en début de soirée.
Mis sous oxygène à son arrivée à l’hôpital, Axel Prince Obame Wagna Bibang, dont l’état avait pourtant été déclaré «stable» par les médecins marocains, a pourtant été déclaré décédé le 6 septembre.
Pour l’heure, les parents disent avoir lancer les démarches en vue du rapatriement au Gabon du corps du jeune étudiant. «Nous avons écrit aux autorités pour solliciter l’aide de l’Etat. Nous attendons leur réaction», indique le père du disparu à nos confères.
3 Commentaires
Cela dit, en passant, il faut éviter les pays arabes. Trop de racismes dans ces pays. C’est inssuportabke pour nous les noirs.
Va savoir ce qui s’est passé là-bas. On ne dit jamais au revoir. On part et on appelle après pour annoncer son départ. C’est connu. On se méfie de tout dans ce monde
Lili , Tu dis vrais.