Des manœuvres croisées laissent penser à un échange de bons procédés entre le directeur de cabinet du ministre de l’Economie et le P-DG du groupe La Poste SA.

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Christophe Akagha Mba a-t-il choisi le bon «cheval» pour le poste de directeur de cabinet ? Quelque peu contesté en raison de son incapacité à prendre des décisions voire à organiser le travail et superviser le fonctionnement du cabinet ministériel, Bruno Minko-mi-Ngwa, est aussi soupçonné de négocier un «échange de bons procédés» avec le P-DG du groupe La Poste SA. Le tout, dans le dos du ministre de l’Economie et de la Prospective.

En effet, voulant confier le poste de directeur général de PostBank à Florentin Kassa, un cadre de La Poste, Alfred Mabicka aurait sollicité l’intercession du directeur de cabinet du ministre de l’Economie et de la Prospective pour l’obtention d’un agrément de banquier au préposé. Or, s’il est surtout connu comme chanteur sous le pseudonyme Kaflor, Florentin Kassa est tout sauf banquier. Pis, il n’a jamais exercé dans une banque. D’où les inquiétudes de proches du dossier, qui ne comprennent pas que Christophe Akagha Mba n’ait rien trouvé à redire, au point qu’en sa qualité de président du Comité monétaire national, il s’apprête à saisir le président de la Commission bancaire d’Afrique centrale (COBAC) pour solliciter un agrément de banquier au bénéfice d’un authentique postier.

Retour d’ascenseur ou échange de bons procédés ? On note en tout cas que Léandre Nzué, actuel secrétaire général adjoint du PDG, vient de signer avec La Poste SA un contrat de consultant lui assurant de substantiels revenus mensuels. Pour une entreprise fragilisée et qui connaît des tensions de trésorerie, ce choix semble curieux. Or, lors des Locales de décembre 2013, Bruno Minko-mi-Ngwa figurait sur la liste PDG conduite par Léandre Nzué au 2ème arrondissement de Libreville. Dès lors, les supputations vont bon train. Est-ce une façon pour Bruno Minko-mi-Ngwa de renvoyer l’ascenseur à Léandre Nzué ? Est-ce une manière pour Alfred Mabicka de remercier Bruno Minko-mi-Ngwa d’être intervenu dans la demande d’agrément de banquier formulée pour Florentin Kassa ? Est-ce simplement, la manifestation d’une insouciance de débutant ? Alfred Mabicka cerne-t-il tous les contours de cette affaire ? En attendant, d’aucuns estiment que Bruno Minko-mi-Ngwa devrait éviter de traiter avec La Poste SA, le ministère de l’Economie assurant la tutelle financière de cette entreprise publique.

 

 
GR
 

27 Commentaires

  1. jean-jacques dit :

    Voila, les gabonais,que certains passent leur temps à parler des étrangers,
    or nos autorités sont fort dans les détournements, maltraiter les autres ,pratique d’influence. Si Ali met un étranger ou privatiser la poste laisser la gestion avec un étranger les gens vont encore crier.

    • albert dit :

      Jean jacques là je crois que vous parlez pour ne rien dire,
      ici il s’agit de traffique d’influence et le fait de remplacer les gabonais par des étrangers n’arrange pas la situation.
      je ne crois pas que depuis que Ali a donné aux etrangers les gestions stratégique de certain dossier les affaires du gabon se portent mieux, au contraire.
      savez vous que dans les affaires des 400 milliards detournées par des entreprise fictives il y a l’entreprise de la soeur d’accrobessi et qui d’ailleurs ne vie meme pas au gabon? et mieux cette entreprise n’as pas fait le travail pour lequelle elle a été payée.
      donc les gabonais ne crient pas pour rien, toi qui est la tu sais tres bien que ce que les étranger font ici, ungaboanis ne pourrait pas avoir la possibilité de le faire en afrique de l’ouest. je parle des ces pays là pour les connaitre et y avoir vecu longtemps

  2. Jean-Marcel BOULINGUI dit :

    Bruno Minko-mi-Ngwa est l’enfant de  »plusieurs pères ». Autrefois proche de Jean Eyéghé Ndong, il s’était rapproché de Paul Biyoghé Mba dans un premier temps, puis de Léandre Nzué ; aujourd’hui, il est avec Akagha Mba (qui a une seule obsession, celle de liquider l’héritage politique de son propre oncle Oyé Mba en termes de cadres et de réalisations). De tels enfants sont toujours psychologiquement instables. Ca lui apprendra à Akagha Mba de ne pas avoir le sens du discernement.

  3. Jean-Marcel BOULINGUI dit :

    Il avait un bon dircab, Serge Maurice Pambou, et même si celui-ci a fait quelques coups au cabinet, on ne peut le remplacer par Minko-mi-Ngwa quand même… Un poids plume. On ne peut diriger le cabinet du ministre de l’Economie quand on est un poids plume. Et un poids plume coaché par qui ? Léandre Nzué et Minko-mi-Essone, eux-mêmes d’authentiques bras cassés.

  4. Jean-Marcel BOULINGUI dit :

    Tiens, on me dit que Bruno Minko-mi-Ngwa est franc-maçon, et que c’est un critère hautement suffisant pour se faire nommer dircab de ministre. Ok.

  5. jean-jacques dit :

    C’est ça Monsieur J.M.B, le pays est bloqué à cause de ces pratiques ont nomme certains à cause des loges et non la compétence.

    j’ai l’impression que les gens du sud ont la dignité la décision du prof Nzouba est venue rehaussée l’image les citoyens du sud. que les gents ne soient pas surpris de voir quelqu’un du sud dirigé le Gabon après ALI. M.NZOUBA vient le démontrer.

  6. custer93 dit :

    Parce que ceux qui dirige ce pays depuis 50 ans viennent d’où? Regard ce qu’ils en ont fait! Le problème n’est pas le coin dont on est originaire il est ailleurs. Quelqu’un disait ici qu’on ne peut pas faire semblant d’être incompétent. On l’est! On a dis au Gabonais que pour être riche en 1 an voire 2 ans maximum il fallait d’abord être Franc-maçon et PDGISTE. Ensuite faire de la politique et user de ses réseaux pour occuper des potes juteux. C’est ancré dans le commun des Gabonais. Si on avait à la tête de ce pays des personnes soucieuses de mettre fin à pareille comportement, on aurait moins de pratique comme celles dénoncées dans cette article. La justice frapperait durement sur ce type de personnes qui n’honores pas l’humanité. Voyant comment serait traité les voleurs de la république, les autres fileraient droit.

  7. Yannick Ogoula dit :

    Mr jean-jacques, je suis désolé pour vous mais vous dites n’importe quoi, qu’est-ce que les gens du sud ont à y voir là-dedans.
    Hors sujet de bout en bout, si vous n’avez rien à dire taisez-vous!!

    Mr bruno joue au retour d’ascenseur, je ne vois pas en quoi est-ce que c’est surprenant c’est un procédé assez fréquent dans les administrations cependant c’est le choix des acteurs pour les postes mentionnés qui laissent à désirer par rapport aux spécificités desdits postes.
    c’est cela qui est déplorable.

  8. jean jacques dit :

    Quelle est la solution pour le Gabon on donne la gestion à certains expatriés les gaboanis boudent en oubliant que nous même nous sommes responsable de tout ce que nous vivons.

    À M.Albert, c’est toujours audacieux de dire les bêtises sur l’autre en me disant que je parle pour ne rien dire »

    Mais je vous direz que vous écrivez avec tant de fautes pour n’est rien expliciter et il va faloir que vous repartiez au CM2 pour bien écrire

    Jean jacques là je crois que vous parlez pour ne rien dire,
    ici il s’agit de traffique( c’est trafique) d’influence et le fait de remplacer les gabonais par des étrangers n’arrange pas la situation.
    je ne crois pas que depuis que Ali a donné aux etrangers(étrangers) les gestions stratégique ( la gestion dans les secteurs stratégiques) de certain dossier les affaires du gabon se portent mieux, au contraire.savez(Savez) vous que dans les affaires des 400 milliards detournées(ce ne sontbpas les affaires detournées( ce sont des milliards et on ne dit pas la milliard on dit le milliard donc  »detournés » par des entreprise(entreprises) fictives il y a l’entreprise de la soeur d’accrobessi et qui d’ailleurs ne vie(vit)et meme pas au gabon? et mieux cette entreprise n’as pas fait le travail pour lequelle(lequel) elle a été payée.
    donc les gabonais ne crient pas pour rien, toi qui est la(là) tu sais tres(très) bien que ce que les étranger(étrangers) font ici, ungaboanis (on écrit un gabonais et non gaboanis)voilà l’incompétence même pour écrire gabonais vous n’arrivez pas  »Oh my God! » ne pourrait pas avoir la possibilité de le faire en afrique(Afrique de l’Ouest) de l’ouest. je parle des ces pays là pour les connaitre(connaître) et y avoir vecu(veçu) longtemps

    Avec des telles fautes cher Albert c’est mieux de repartir au CM2.

  9. mihindou zacharie dit :

    je suis surpris que l’on ai nommé Mr Minko mi ngwa bruno au poste de directeur de cabinet du ministre de l’économie, sans qu’une enquête de moralité soit menée pour savoir qui est ce personnage aussi sulfureux qui se balade entre les différents hommes politique de la province de l’estuaire tel un oiseau migrateur , à coups de délations, de médisances et de ragots. Je tiens à vous informer que ce Mr Minko Mi Ngwa Bruno, truand de grand chemin, c’est fait intégrer à la fonction publique avec des faux diplômes, il dit avoir obtenu trois masters à savoir en fiscalité, en gestion immobilière et en ingénierie financière à Marseille. dans son dossier d’intégration, il n’a ni BEPC, ni le Baccalauréat, comment a t-il fait pour se retrouver en masters? Déplus lors de la vérifications des diplômes par la fonctions publiques, ce dossier fut envoyé à Mme Ozouaki du Ministère de l’Enseignement supérieur afin de vérifier l’existence des écoles ayant délivrées ces diplômes, après avoir pris attache avec le ministère de l’enseignement supérieur de France et les différentes académies universitaires de Marseille, il s’est avéré que les écoles indiquées par Mr Minko Mi Ngwa n’ont jamais existées et que les diplômes présentés n’étaient que du faux Mme Ozouaki avait donc rejetée ledit dossier pour faux et usage de faux et avait transmis sont rapport à la fonction publique. Suite à ce rejet, Mr Minko va se faire aider par son ami Daniel Franck Idiata à l’époque DG de l’Institut de Gestion qui reprendra le dossier et ira sollicité l’indulgence de son beau frère le ministre de l’Enseignement Supérieur de l’époque, Mr Moulingui Boukosso pour qu’il intervienne en faveur de l’intégration de Mr Minko à la Fonction Publique. ce qui fut fait, mais il avait été intégré dans le corps de communication sociale avec ses faux diplômes. Après cette épilogue, Mr Minko s’est investi à corrompre des fonctionnaires de DG de la Fonction Publique pour qu’ils le déversent dans le corps des adm. des services économiques et financiers et ensuite comme inspecteurs des finances. Ce MR est extrêmement dangereux et ne vie que d’imposture depuis qu’il est revenu de son stage d’escroc à Marseille. Cette histoire vous pourriez la vérifier auprès des étudiants de l’époque à Marseille (ex: Fidèle magouangou, Serge Ename Nsolet) et Daniel Franck Idiata son parrain et son frère qui l’y avait amené à Marseille quand il alla préparer sa spécialisation de gastro- entérologie, Mr Obame Ngwa. Voici quelqu’un qui n’a pas de collègue pendant ses études universitaires et se retrouve à de haute fonction par imposture.

    • Jean-Marcel BOULINGUI dit :

      Tout ce que tu dis là est grave, si c’est vrai. Daniel Franck Idiata devrait aller en prison pour complicité de faux et usage de faux. Mangouangou Fidèle doit nous dire si lorsqu’ils étaient à Marseille, Minko-mi-Ngwa a fait tous ces masters. Apparemment, tu connais bien le gaillard, mais pourquoi ne pas en avoir parlé à Akagha Mba qui se retrouve là, un peu le bec dans l’eau.

    • BITEGHE dit :

      Je constate que salir l’image des gens soit une qualité première chez vous. Évitez de dire des choses dont vous ne connaissez pas les réalités. Manioc

  10. just dit :

    Tout simplement pathétique ! et je suppose qu’ils sont nombreux dans cette situation. Comment le pays va t-il avancer ?

  11. Professeur Daniel Franck IDIATA dit :

    J’ai reçu, ce jour, deux coups de fils de personnes très proches qui m’ont dit que j’avais été cité dans un brulot publié où nous savons contre Bruno Minko Mi Ngwa. Je viens, en effet, de lire cet article ainsi que les commentaires franchement surréalistes y compris des allusions invraisemblables sur ma personne.
    Au Gabon, c’est notre pays, le sport national c’est la diffamation, le désinformation, la médisance et calomnie qui sont fichées dans le marbre comme voie (voix aussi) de promotion sociopolitique. Dans les écuries, les ethnies et les provinces (c’est sans doute l’objet de cette volée de bois verts contre le pauvre Minko Mi Ngwa), on assiste à tant de batailles et de guéguerres fratricides pour les postes, la plupart du temps au détriment de la compétence qu’impose le contexte.
    J’ai connu Bruno Minko Mi Ngwa en 2004 alors que j’assumais les fonctions de Directeur Général de l’Institut National des Sciences de Gestion (INSG). J’ai été séduit et même émerveillé par le talent de ce jeune compatriote. Il était brillant et je dois vous dire que dans la mise en œuvre du système LMD de l’INSG, la première expérimentation de cette réforme au Gabon et sans doute en Afrique centrale dans un établissement public, j’ai su compter sur la contribution inestimable de ce jeune compatriote: Bruno Minko Mi Ngwa. Et puis, s’est posée la question de son recrutement comme fonctionnaire. Ses frères ethnopolitiques de l’Estuaire avaient décidé de le liquider purement et simplement. Ils ont donc fait courir l’information qu’il avait des faux diplômes et son dossier a naturellement été ajourné. Convoqué par le Ministre de l’Enseignement Supérieur (Pr. Vincent Moulengui Boukossou) à ce sujet, puisqu’il avait, lui aussi, été interpellé par sa hiérarchie, j’ai été obligé d’effectuer une mission à Marseille, précisément à l’école de commerce de cette ville où j’ai effectivement été ravi de savoir que Minko Mi Ngwa que j’avais recruté et dont j’avais soumis le dossier à la Fonction publique, avait bien ses références et ses diplômes universitaires comme il se doit. J’ai rencontré les professeurs et les responsables administratifs de cette école. A moins, bien sûr, que toutes ces personnes m’aient donné de fausses informations, ce qui me paraît tout de même difficile à conceptualiser.
    J’ai salué la nomination de Bruno Minko Mi Ngwa comme Directeur de Cabinet parce que je pense qu’il mérite cette promotion. S’il travaille aussi bien qu’il l’a fait avec moi de 2004 à 2005, je suis convaincu que son ministre ne sera pas déçu au final.
    En définitive, je fais partie des Gabonais les plus malheureux quand je vois que la rumeur est érigée en règle dans notre pays et que n’importe qui peut, dans n’importe quel journal sur papier ou en ligne, se permettre de vilipender quelqu’un et se lancer dans des affirmations sans aucun fondement. J’espère que les choses peuvent être claires aujourd’hui. Bien cordialement.

    • Jean-Marcel BOULINGUI dit :

      Minko-mi-Ngwa est donc diplômé d’une école de commerce de Marseille. Soit. Mais, Professeur Idiata, Minko a-t-il trois Masters (1. Fiscalité / 2. Ingénierie financière / 3. Gestion immobilière) ? Bref, en tout cas, l’article de Gabonreview ne parle pas de son pedigree, mais c’est nous les internautes qui nous sommes demandé comment tu avais pu faire intégrer à la Fonction Publique Minko-mi-Ngwa. Pourquoi, selon vous,  »ses frères ethnopolitiques (qu’est-ce que ce charabia ?) de l’Estuaire voulaient-ils le liquider ? Au point de mettre en place une stratégie pour l’empêcher de se faire intégrer comme fonctionnaire ? Et même s’ils ont tenté de le faire, vous auriez pu encourager ce « brillant » garçon à ouvrir une agence immobilière ou un cabinet conseil ?

      • Jean-Marcel BOULINGUI dit :

        Professeur Idiata, pourquoi au lieu de le prendre parmi les enseignants permanents de l’INSG qui en manque cruellement, avez-vous préféré l’intégrer dans le corps Communication Sociale (un fourre-tout), puis comme administrateur économique et financier ? Simple question.

    • Hervé GRUPAUNE dit :

      Daniel Franck Idiata, spécialiste de la brosse à reluire, est le professeur qui avait affirmé que c’est grâce à Séraphin Moundounga que nous connaissons désormais au Gabon ce que veut dire une école, un collège, un lycée. Il fait partie de ces enseignants cireurs de pompes de ministre. Toute cette littérature exposée ici est-elle vraiment crédible ? Quand il dit « un brûlot publié où nous savons », c’est certainement parce que GabonReview avait estimé que lors d’un débat sur Gabon Télévision au sujet des réformes en matière d’éducation, il avait été « étalé » par le Dr. Jonathan Ndoutoume Ngomo. Il est rancunier comme tout intellectuel imbu de sa personne. Bien cordialement.

    • Ruffin ETOULIKIKOUET dit :

      Daniel Franck Idiata, un intellectuel gabonais parmi les plus controversés, vient nous servir sa bouillie.

  12. Docteur Roux dit :

    Je suis sidéré, c’est tout simplement ridicule. Comment peut on, en 2014 se rabaisser à ce niveau et distiller des informations de cette nature qui trahissent bien les intentions des auteurs de cet article. Je l’affirme parce que Bruno MINKO ne mérite pas d’être, ainsi, trainé dans la boue. Son poste vous tente? Il y a d’autres voie pour y accéder ! Arrêtons la délation et les accusations gratuites. Arrêtons de citer des noms par complaisance dans le seul but de conférer un semblant de crédit aux affirmations insultantes et vexatoires. Bruno MINKO n’est pas dépourvu de diplôme. Pour assumer sa fonction, est il nécessaire d’avoir mille doctorat? Si tel est le cas, beaucoup de compatriotes en fonction seront décriés. En plus tout le monde sait qu’il ne suffit pas d’être bardé de diplômes pour être une foudre de guerre. Soyons tolérant et vérifions bien les informations que nous étalons à la place publique! Aucune personne ne mérite d’être humiliée à ce point surtout lorsqu’un faisceau d’indices permet de croire qu’il n’est pas dépourvu de diplôme. En suivant les débats on constate au départ qu’il est sans diplôme. Après la réaction du Professeur IDIATA qui lui même avait entrepris une démarche de vérification, on déplace le débat. Il est maintenant nanti de diplôme, mais on se demande de combien de diplômes? Mais on peut aussi retourner la question et se demander s’il y a un nombre précis de diplôme à avoir pour être Directeur de Cabinet d’un Ministre. Non, arrêtons ce jeu de massacre qui ne fait pas avancer notre pays. Merci

    • Hervé GRUPAUNE dit :

      Docteur Roux, ou plutôt Pr.Idiata (je soupçonne que c’est la même personne), désolé, vous ne nous apprenez rien. Vous dîtes que ses frères ethnopolitiques de l’Estuaire ont voulu le liquider, et on vous demande : ils veulent le liquider pourquoi ? Au point de mettre en place une stratégie pour l’empêcher d’être fonctionnaire ? Quand même… qui peut croire ça ?

  13. Docteur Roux dit :

    Désolé de vous decevoir Monsieur GRUPAUNE,je suis un citoyen gabonais différent du Pr. IDIATA. Rassurez vous, je suis titulaire d’un doctorat en droit (spécialité droit des affaires) obtenu à l’Université d’Auvergne à Clermont Ferrand avec la mention très honorable avec les félicitations du jury. Je suis enseignant à la Faculté de droit de l’UOB et auteur du premier ouvrage consacré au droit bancaire dans la zone CEMAC que vous trouverez, si vous êtes curieux à la Maison de la presse. Arrêtez de spéculer. Je sais de quoi je parle pour connaitre Bruno MINKO. Si vous estimez qu’il ne s’agit pas d’une volonté de nuire, de quoi s’agit-il alors? Pour ma part, je perçois, pour connaitre l’environnement de Monsieur MINKO, un acte de nuisance visant à le discréditer devant ses collègues et surtout son patron actuel. Dans notre pays, beaucoup de petits esprits sont prêt à accomplir des actes bas pour obtenir des postes. Je me sens comme obligé d’intervenir parce que je sais que ce que dit Pr. IDIATA est vrai. Mais je me prononce surtout parce que Monsieur MINKO était mon collègue comme enseignant et ses étudiants n’ont jamais, à ma connaissance, décrié ses enseignements. Il a assumé des hautes fonctions à la Poste et il semble qu’il était à la hauteur de ses tâches. Non arrêtez, pourquoi vouloir allumer un feu entre MINKO et son Patron? Nous sommes tous fils de ce pays tenons nous par la main et détournons nous des attitudes de nuisance. C’est le mauvais coeur qui pousse certain?

    • Jean-Marcel BOULINGUI dit :

      M. Roux, vous n’êtes pas clair, et vous vous attaquez à M. Grupau pour rien. Vous savez, même à la Poste, a-t-on appris, ses papiers étaient contestés, et on ne parle que de ça là-bas, on s’étonne à la Poste de ses fonctions actuelles. Toute la Poste parle de ça, et vous le savez puisque vous y travaillez. Après, pour donner les cours, on peut tous aller sur la toile et recueillir des données pour faire un enseignement. Vous cachez un loup. Bref, il est DC, on espère qu’il s’en sortira à ce poste.

  14. Leslie dit :

    Monsieur Jean-Marcel BOULINGUI, je vous remercie. Votre intervention me confirme que les gabonais sont peut être cons mais pas idiot. je connais Bruno Minko Mi Ngwa personnellement et j’ai collaboré avec lui professionnellement ( loooooolll), suivez mon regard. Il ya un temps pour tout. La vérité marche à pas de colombe, ce jour arriva enfin

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