Une convention de coopération militaire visant à améliorer les capacités opérationnelles des forces armées gabonaises a été signée le 13 mars 2015.

 L’ambassadeur de France au Gabon et le ministre de la Défense nationale, à bord du «Commandant Bouan». © D.R


L’ambassadeur de France au Gabon et le ministre de la Défense nationale, à bord du «Commandant Bouan». © D.R


 
Un contrat concernant les unités de combat d’infanterie de l’armée de terre constituant le Centre d’entrainement et de contrôle de la préparation opérationnelle (Cecpo), localisé dans la zone de manœuvres et de tirs des monts de Mokékou dans la région de La Lopé, a été récemment signé par le ministre de la Défense nationale, et l’ambassadeur de France au Gabon, à bord de l’aviso «commandant Bouan» .
Signature de la convention par le ministre gabonais de la Défense et l’ambassadeur de France au Gabon. © D.R

Signature de la convention par le ministre gabonais de la Défense et l’ambassadeur de France au Gabon. © D.R


Selon les clauses du contrat qui lie les deux Etats, durant une séquence dynamique et dense de 19 jours, les compagnies de combat seront entrainées dans le domaine de la tactique et du tir. Leurs capacités opérationnelles seront contrôlées par la suite. La première rotation est planifiée pour juin 2016. À partir de 2017, un module de préparation à la projection au sein d’opérations de maintien de la paix sera proposé par le Cecpo. «La construction des infrastructures nécessaires à cette ambition fait l’objet d’un partenariat entre les éléments français au Gabon et les forces de défense. Le centre sera rattaché à l’état-major général des forces armées gabonaises (EMGFA)», précise un communiqué de la mission de défense au Gabon.
La France déploie des forces armées au Gabon depuis l’indépendance, conformément aux accords de défense d’août 1960. Le 1er septembre 2007, les forces françaises au Gabon (FFG, environ 900 militaires) ont remplacé les troupes françaises au Gabon (TFG). En juillet 2010, la France et le Gabon ont signé de nouveaux accords de défense visant à instaurer de façon transparente un partenariat en matière de sécurité, dans le cadre du dispositif africain de sécurité collective. La France apporte également son appui à l’école d’état-major de Libreville, devenue la référence dans ce domaine en Afrique, ainsi qu’à l’école d’application du service de santé militaire de Melen, proposée comme centre d’excellence à l’échelle du continent.
 

 
GR
 

6 Commentaires

  1. mossodjo dit :

    finalement quelqu un a fini par reconnaitre (boko haram aidant) que l armee gabonaise etait devenue l’ombre de ce quelle etait dans les annees 70-80 et qu il fallait vite preparer les troupes a un boulot autre que celui de casser du manifestant. Maintenant faut trouver des fonds pour racheter des equipements dignes de ce nom apres avoir brade ce qui n etait pas devenu obsolete.

  2. Mone Afirikara dit :

    Ali9 n’a qu’un seul objectif: plonger le pays dans le chaos.
    Je prie la FRANCE qui l’a placé de le démettre de cette fonction avant aout 2016. ce que pourra entreprendre le peuple finira toujours par un bain de sang. sauf la FRANCE peux extirper ce type de là pour nous éviter l’hécatombe.

  3. l'ombre qui marche dit :

    Miss T moi l’ombre qui marche suis d’accord avec toi cette armée de matamores discutant le moussoungou à 10h00 au quartier avec les civils n’est forte que face à des civils mais elle n’est pas capable de nous protéger contre une invasion d’une autre force ayant des moyens militaires par exemple boko haram et si un autre pays nous déclare la guerre il vous faudra Miss T prendre les armes pour défendre la mère patrie GABON sinon avec cette armée fantoche vaudouisée sodomisée ce sera waterloo

  4. Mike Gabonais dit :

    J’adore ce post!!! Mdr!!!!!!!

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