Jean-François Ndongou rappelle les policiers à leurs devoirs
Le ministre de l’Intérieur, de la Sécurité Ppublique, de l’Immigration et de la Décentralisation, Jean François Ndongou, à l’issue des visites et des séances de travail qu’il a eu avec les éléments des forces de police nationale donne des précisions sur de nombreuses questions que se posent les citoyens. Il aborde en quatre questions, le motif de ses visites dans les unités de la police nationale, la sanction qui aurait été donnée au commandant en chef de la police nationale, relayée par certains médias, le racket et les problèmes de salaires qu’invoquent certains policiers pour justifier leur forfaiture.
Monsieur le ministre, vous avez fait le tour des unités des forces de police nationale ce matin. De quoi était-il question?
Vous savez, le plus souvent, lorsqu’on s’adresse aux forces de police nationale, nous convoquons ce que nous appelons dans notre jargon, un rassemblement où il y a tous les éléments, tous les chefs d’unités et on transmet le message. Cette fois-ci, nous avons pensé qu’il était utile d’aller s’entretenir avec les différents responsables dans chaque unité. Le message portait sur le retour à un peu plus de professionnalisme dans l’accomplissement de leurs missions. Il s’agissait aussi de leur rappeler le devoir du policier. Le policier est là pour sécuriser les biens et les personnes sur le territoire national. Nous avons aussi rappelé les notions de commandement afin de remettre la police au travail. Comme vous l’avez observé, il y a eu quelques disfonctionnement ces derniers jours. Nous avons donc profité de cette tournée pour rappeler aux policiers qu’ils doivent reprendre le travail dans la sérénité, que les chefs encadrent les éléments qui sont sous leur commandement afin que la police retrouve ses lettres de noblesse.
La presse faisait allusion récemment de la suspension du Commandant en chef de la police nationale, qu’en est-il exactement?
Mais si le commandant en chef des forces de police nationale était suspendu, il ne serait pas avec moi. Vous avez vu qu’il m’a accompagné, que j’ai été dans toutes les unités avec lui. Présentement il est ici (Ndlr: DGDI), je ne sais pas où cette presse là trouve ces informations. Mais on n’a pas pris de dispositions particulières en la matière.
Quelles sont les suites de l’opération de régularisation de la situation des sans-papiers au Gabon, dossier entamé depuis le mois de septembre 2012?
C’est une opération que nous avons engagée sur instructions de monsieur le président de la République pour régulariser la situation d’un certain nombre de personnes qui résident sur notre territoire de manière illégale. Le président de la République avait demandé de précéder à la régularisation de ceux qui souhaitaient le faire et en remplissant toutes les conditions. Nous avons, pendant plus de trois mois, reçu plus de 50 000 personnes qui sont en situation irrégulière sur notre territoire et ça nécessite une analyse des dossiers. Il faudrait que nous retracions comment elles sont arrivées sur notre territoire, quelles sont les activités qu’elles mènent sur notre territoire. Lorsque nous allons terminer l’examen de ces dossiers, parce qu’il y a 50 000 dossiers à examiner par une équipe de trente personnes, et cela prend du temps, nous allons procéder à la régularisation. C’est-à-dire à la délivrance des cartes de séjour de ceux que nous avons validés. Ensuite, nous avons lancé une commande pour avoir plus de supports, parce que le stock que nous avons ne peut pas répondre à une demande aussi forte. Mais nous allons, d’ici peu, publier la liste de ceux que nous pensons pouvoir régulariser et les autres, ceux qui ne seront pas régularisés, devront prendre des dispositions pour quitter le territoire national parce qu’ils sont en situation irrégulière.
D’aucuns essaient de justifier les rackets et les exactions de certains policiers par le fait qu’il y a des promotions qui n’auraient pas de salaires. Qu’en est-il exactement?
Vous savez, ils ne peuvent pas poser des actes parce qu’ils n’ont pas de salaires. Les policiers sont en formation. Il y a une formation initiale, il y a une formation pratique. La formation pratique les met au contact de la réalité. Ils sont sur le terrain. Donc cela ne peut pas justifier leur comportement. Mais qu’à cela ne tienne, nous avons procédé à deux recrutements. Ils sont à l’heure actuelle plus de 3 000 en attente de salaire. Et certains, compte tenu de l’urgence, n’avaient pas complété leur dossier. Nous avons demandé à ces jeunes policiers de compléter leurs dossiers. Ils sont en train d’être complétés. Nous sommes en relation avec le service du ministère du budget, certains dossiers sont dans le circuit. Nous allons procéder à la régularisation de ces dossiers à partir de décembre. D’ici fin février 2013, tous ceux qui ont été recrutés vont rentrer en solde effective. C’est un problème d’ordre administratif qui va être résolu.
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Et ensuite ? Ce n’est pas la première fois qu’il raconte ce genre de balivernes notre ministre. Mais ce qui me fascine c’est le naturel avec lequel il annonce que les jeunes flics n’ont pas de salaire depuis kala kala et qu’ils n’en auront pas avant février ou mars 2013. Donc Monsieur le ministre, l’attitude des petits flicaillons est bien de votre faute !
So on vous coupait votre salaire jusqu’en mars 2013, je me demande ce que vous diriez.
atterant… un problème d’ordre administratif… on donne des uniformes et des armes, meme si juste des matraques… a des gamins mal formés sans les payer… Et après on s’étonne qu’ils tabassent tout le monde et on ne s’inquiète que quand ça tombe sur le petit frère du Président? Voilà, Lisiane : LA il y a de quoi critiquer ! Tout est à critiquer : le recrutement hâtif, l’incurie administrative, l’incapacité de l’encadrement à surveiller les troupes, et j’en passe !
monsieur le ministre dit: « qu’à cela ne tienne » je ne tient pas à analyser cette expression, il n’y aura pas suffisamment d’espace pour cela. le problème n’est pas tant le salaire et cette justification n’a pas lieu d’être. pour la plupart, c’est un problème salarial due à la faiblesse de celui-ci et non à son absence. certains font le racket pour soit disant arrondir les fins du mois. arrondir les fin du mois aux dos des travailleurs qui nous font souffir pour reccupérer leur recette arrachées par des policiers « fauchés ». un cercle viscieux qui n’en fini pas de faire souffir la population. monsieur le ministre parle de « retrouver les lettres de noblesse » à ce qui me concerne quelqu’un se souvient-il de la date, du mois ou de l’année où ces lettres ont été perdus?
chacun joue son rôle quoi, vous ministre, eux policier et moi makaya et la vie continue quoi…makaya.
Woaw ! 3000 policiers lâchés dans les rues sans salaires. Voilà comment on institutionnalise le racket. Si la Rénovation du père Bongo était une erreur, l’Émergence du fiston Bongo est une catastrophe. C’est à pleurer de rage.
Nous sommes diriger par des gens qui n’aimenet pas ce pays.si quelqu’un emploie ton fils et ne le paie pas.Nous vraiment dans un Etat de droit Monsieur le Ministre de l’intérieur et Monsieur le Président.Ou sont les défenseur du PDG,je suis sur que c’est Mba Obame qui conseille le Ministre de l’intérieur.Comme il a trompé Omar bongo,iltrompe encore Ali et Ndoungou.Il quand meme fort ce Mba Obame
Oh Mon beau pays que deviens tu?
Oh Mon beau pays que font ils de toi?
Quelle honte! Quel amateurisme!
Que dire a la lecture de cette interview?
On recrute sans s’assurer d’avoir 3000 postes budgetaires disponibles!!
On integre dans les forces de police des elements sans que leur dossier soit complet!!
Suis je reveille ou endormi…c’est incroyable. Je demande la demission du ministre et de son gouvernement pour incompetence notoire..
Un ministre n’a pas de gouvernement, mais un cabinet!. On vous dit que la formation a une phase théorique et pratique. La pratique se passe sur le terrain, cela fait office de « stage ». En effet, combien de stagiaires sont salariés dans nos administrations ou ailleurs? A combien de « stagiaires » a-t-on demander de racketter les citoyens?. De plus, lorsque vous voulez favoriser l’accès à un emploi à tous ceux qui en manifestent la volonté, et qu’ils vous garantissent qu’ils vont apporter les éléments manquants qui ne sont peut être pas prêts (casier judiciaire, certificat médical…), que faites vous? Vous refusez à un gabonais un emploi malgré le fait qu’il en manifeste la volonté, parce qu’il lui manque un certificat médical? Savez vous combien d’autres Gabonais peut-il aider grâce à cet emploi?…Ce qu’il faut dénoncer c’est plutôt la lenteur administrative qui ne date pas d’aujourd’hui et qui gangrène nos administrations!. Cette même lenteur est due à nos comportements. On arrive au boulot à l’heure qu’on veut, on regarde un ou deux dossiers et notre journée est terminée, car de toutes façons nous sommes fonctionnaires…etc j’ai toujours appris que lorsqu’on veut soigner un mal, il faut le faire à la source, c’est à dire au niveau de nos comportements face à la notion de travail!!
et quand bien même? Cher Infos Juste. Je partage votre analyse sur l’inefficacité de l’administration. Mais est-ce une surprise? Qui a pris la resposnabilité de prendre un tel risque connaissant cet etat de fait? Et qu’a-t-il été fait concrètement pour pousser les fonctionnaires à être plus efficace?
1. Ce n’est pas parce que l’administration présente quelques lourdeurs qu’on ne peut plus employer des Gabonais!
2. Je crois savoir que l’effort de sensibilisation à travers les spots télévisés sur nos administrations participe de la volonté des pouvoirs publics d’amener les Gabonais à une prise de conscience.
j’aimerais savoir combien de gabonais regardent encore la RTG… SI vous croyez qu’il suffit de faie un spot sur la plus mauvaise (ne serait ce que techniquement) chaine locale, pour faire bouger les choses, sans :
1) faire une vraie campagne de sensibilisation
2) trouver des incitations pour les gens serieux et des santctions pour ceux qui le sont moins
3) instaurer des commissions de contrôle paritaire pour eviter que ce ne soit un pretexte à des prébendes aux petits copains et aux promotions canapés
Vous n’avez pas fini d’émerger !
1. Il n’y a pas qu’à la RTG, Télé Africa et autre montre ces spots. Faire une « vrai » campagne de sensibilisation m’amène à me poser la question de savoir, ce qu’est pour vous une campagne de sensibilisation? En revanche, doit-on également faire une campagne de sensibilisation pour amener les Gabonais à regarder leur chaîne de télévision Nationale?
2. Votre deuxième point est déjà effectif. Il y a des promotions et des sanctions. Pour ce qui est des sanctions, je prendrai un seul exemple qui est celui du ministère de l’habitat où tous ont été viré. Combien de Gabonais ont été pour cette mesure qui reçoit encore des critiques acerbes jusqu’aujourd’hui?
3. Quant aux commissions paritaires auxquels vous faites références, quel serait leur rôle, missions et compositions?.
Pas virés, mutés pour l’habitat.
Tu dis n’importe quoi, comme ce ministre, doyen du gouvernement et donc rôdé à la langue de bois. Les derniers recrutements ont été faits pour les besoins de la CAN, il y a bientôt un an. Quel est ce stage interminable ? Pourquoi avoir accepté des dossiers incomplets, quand on sait que des milliers d’autres Gabonais à la recherche d’un travail, peuvent fournir un dossier complet au pied levé? C’est de l’amateurisme, comme aiment le dire ceux de l’Union Nationale. Faut pas se faire l’avocat du diable, au nom de la connivence politique avec des toquards.
1. Vous ne dites pas quelle est la durée de la formation pour ce qui concerne la phase théorique. Idem pour la phase pratique.
2. Les milliers de Gabonais auxquels vous faites allusion n’ont visiblement pas manifesté le désir d’intégrer nos forces de police nationale.
3. L’Union Nationale n’existe pas. Ce parti est dissous, il ne faut pas oublié d’y mettre EX car cette ancienne formation politique n’a plus de personnalité juridique!.
C’est pathetique d’avoir a faire a ce type de gabonais tel que vous infojuste, franchement j’ai reflechi avant de vous repondre. Car vous repondre c’est une perte de temps. Je vous laisse a votre science infuse et face a vos inepties. Continuez a defendre l’indefendable et a encourager les souffrances du peuple gabonais. Car pour vous qu’on soit integre ou stagiaire on ne merite pas de traitements…..pffffff pathetique…A bon entendeur..
1.Intervention sans intérêt, et vide d’arguments.
2. Vous dites avoir réfléchis, mais je suis désolé de constaté l' »étendue » de votre réflexion qui, il me semble présente bien des carences.
3. Vous me prêter des propos en disant que pour moi « qu’on soit integre ou stagiaire on ne merite pas de traitements » ah bon?. Je note simplement et c’est désolant, que vous êtes le genre de Gabonais qui n’aime pas être mis face à ses responsabilités!
@Infos juste. C’est précisément pour ne plus avoir à répondre à des propos ineptes comme ceux que vous tenez au quotidien que j’ai pris la décision de ne plus participer à ce forum. C’est une perte de temps puisque, uoi qu’on vous dise ou qu’on vous démontre, le PDG a toujours raison. Vous dites-ex-Union nationale. Si vous parliez Français mieux que Ndongou ou si vous faisiez moins dans le « perroquisme », la récitation et la kounabélisme, vous saurez que le préfixe ex renvoie à quelque chose qui a changé d’état ou de dénomination mais qui continue d’exister sous une autre forme. l’Ex-Zaîre c’est la République démocratique du Congo. l’Ex-Union nationale, c’est quoi ? Quant au débat sur la personnalité juridique, je me garde de l’engager au regard de votre capacité à comprendre ou à aller au-delà du catéchisme PDGiste. Ciao…..
Ah bon? Je vous fais perdre votre latin au point de quitter le forum? Dans ce cas désolé, je m’excuse, je ne savais pas que cela vous offusquait au point de vous faire aller dans tous les sens durant vos interventions, mais bon soit!. On est en démocratie…non?
1. Sachez que je ne suis ni du PDG, ni de l’ex UN, encore moins d’un autre parti. Je suis un simple citoyen qui observe la vie politique de son pays.
2. Vous dites « vous saurez que le préfixe ex renvoie à quelque chose qui a changé d’état ou de dénomination mais qui continue d’exister sous une autre forme ». Ensuite vous ajoutez » l’Ex-Union nationale, c’est quoi ? » Et moi je vous répond que c’était un parti politique légale qui a été dissous et vie désormais dans la CLANDESTINITE, voici sa nouvelle forme…clandestine!!.
3. Quant au « débat » sur la personnalité juridique, vous ne l’avez pas engagé parce qu’en fait, il n’y a pas débat!
« voici sa nouvelle forme… Clandestine !!.
Et voilà la science infuse qui s’enferre dans le sophisme. Le quasi monologue du jeu auquel nous nous livrons ici, du fait d’une interactivité à retardement peut permettre aux oisifs comme Infos Juste(s) (je croyais que ça s’accorde), de déverser des énumérations pour donner une impression de dialectique et des pseudos arguments qu’eux seuls croient épistémologiques. C’est triste ce verbiage infécond.
Comment, lorsqu’on vous donne l’exemple de l’ex-URSS ou de l’ex-Zaïre, argumenter que l’ex-UN est un parti passé à la clandestinité et donc que l’expression ex-UN, voulue par un ministre hurluberlu, est logiquement usitable. On parle du nominatif pas de l’état ou de la forme, Mr l’Ignorant non conscient de son ignorance. On ne dit pas l’ex-Zaïre est un pays où règne la crise, on dit l’ex-Zaïre c’est la RDC. Mon ex-épouse c’est Mlle Untel ou Mme Untel. C’est pourquoi on peut dire mon ex-épouse. Elle a un nouvelle appellation. Dernièrement encore, Yvan Amar de « la danse des mots » sur RFI, en a encore parlé.
On raisonne par l’absurde et la subjectivité et on croit qu’on contredit les gens. On appelle ça les moulins à vent. Ici ce sera les moulins à mots.
Prenez une discussion sur Gabonreview et regardez comment toutes les demi-heures, tout au plus toutes les heures, vous réagissez. Ne travaillez-vous donc qu’à écrire ici? L’émergence crée donc des emplois auxquels mêmes les régimes Chinois ou Russe de l’époque stalinienne n’auraient jamais pensé. Mais créez donc votre propre journal d’opinion. On verra comment il pourra se vendre avec de tels verbiages.
@Lalala-Mont Bouët:
1.D’abord j’ai choisi infos juste sans l’accorder à dessein!. « infos » représente l’ensemble des informations et arguments à ma disposition que je partage avec vous. Ensuite « juste » sans accord, représente « l’état d’esprit » qui m’anime lorsque j’interviens. Il ne tient compte d’aucun parti politique, mais de la volonté de défendre le Gabon et son développement!.
2.En revanche je m’étonne de ce que vous compariez Un Etat à un parti politique. Un Etat peut changer de dénomination, mais ne change pas de « statut juridique », il reste un Etat!. Idem pour l’exemple d’une ex épouse qui s’appellerait Mlle x ou y. Mais c’est tout à fait normal, car elle perd un statut juridique « d’adoption » pour revenir au sien propre qui est manifesté par « son acte de naissance! ». Or comment voulez vous dénommer quelque chose qui n’a plus de « statut juridique » et donc plus de personnalité morale? Sur la base de quoi le faites vous? Quel est le document officiel qui montre qu’il existe?. C’est pour cela que pour des besoins de bienséance, il convient d’ajouter « EX », pour dire qu’il n’existe plus, mais qu’il a existé!. Si vous ne comprenez toujours pas, alors ça craint!
3.Quant au reste, ce ne sont que des élucubrations d’une personnes visiblement excédée et désespérée!
Et voilà. Je ne m’attendais pas à autre chose : une élaboration scripturale, juste pour répliquer. Autrement dit, répliquer pour répliquer, comme on dit à Libreville. Et comme d’habitude pour ceux qui n’ont pas d’arguments, l’injure tout de suite.
D’une question linguistique, on fait des balivernes vers les notions de statut juridique. Mais rien n’y fait. Si c’était une copie de classe ou d’amphithéâtre, ce type pourrait-il discuter le zéro qu’on lui aurait infligé?
Pour le reste, la logique de l’énumération ne fonctionne soudainement plus avec mes 3 paragraphes, pourtant distincts, et pour les sujets distincts desquels on pouvait attendre une réponse.
Vous travaillez à répliquer sur Gabonreview, oui ou non? Mais alors quelle sinécure ! C’est pas parce qu’on noirci des pages avec des raisonnements alambiqués, un champ lexical étriqué et une aridité culturelle, qu’on fait bien ou qu’on aura toujours raison. Je le disais, l’interactivité en différé sur ce forum, favorise le verbiage de mauvaise foi de certains. La culture c’est comme la confiture : moins on n’en dispose, plus on l’étale.
@Infos juste. Avez-vous déjà vu quelqu’un de sérieux parler de quelque chose qui n’existe plus ? Avez-vous déjà vu quelqu’un de sérieux indiquer aux uns et aux autres comment dénommer quelque chose qui n’existe plus ? Quand quelque chose est dissout, on n’en parle plus puisque ça n’existe plus…. Un peu de cohérence parfois…
Enfin, je comprends que votre rôle dans la cellule de veille dirigée par un ancien ambassadeur du Gabon au Maroc vous oblige à répondre pour justifier votre pitance. Essayez de trouver un autre job plus honorant cher ami…
Les autorites ont fait un recrutement, savez vous ce qu’on appel un recrutement seulement? Si on est dans un pays « normal » cela veut dire que vos autorites ont pris la peine de demander au ministre du budget s’il etait possible pour les besoins de la CAN de recruter 3000 policiers. Je suppose que le ministre leur a repondu oui sinon il n’aurait pas procede a ce recrutement. Donc pourquoi vos stagiaires se retrouvent sans solde???? Secundo connaissez vous une administration qui integre des agents avec des dossiers incomplets? A part dans votre administration emergentes, mais on vit dans quel genre de pays la!!!!! Et le ministre vient gaillardement nous balancer ca au nez pour se dedouaner de son incompetence … Donc imaginons une recrue de la police, soit un policier, qui n’a pas fourni son certificat medical et ses radios des poumons, lors d’exercices physiques ou courant derrière un voleur a la tire s’effrondre et meurt d’une arret cardiaque qui en portera la responsabilite? Après on s’etonne que ces policiers ne sachent ni lire, ni ecrire, et que seul langage qu’ils connaissent sa soit la violence…..pffffff je le repete c’est pathetique…
1. Un recrutement dans les forces de police ne se fait pas seulement pour des besoins ponctuels. Leur utilisation se fait dans la durée.
2. Visiblement vous devez revisitez la définition de recrutement!. Un recrutement n’est pas synonyme d’être « embauchés »!. Cela veut dire que votre dossier, aptitudes ou capacités ont été retenus. Vous ne serez embauché qu’au terme de la formation, après l’avoir validé. La preuve c’est que si vous déposer votre CV quelque part (ESE,SCTE…), on peut vous recruter, mais vous devez encore passer des entretiens avant d’être employer ou pas!
3. Le ministre du budget tient compte de la durée de formation (théorique et pratique), avant de penser au moment où ils seront employés et disponibles afin de disposer d’un « poste budgétaire ». Je ne sais pas pour vous, mais j’ai la vague impression que cela a été pris en compte dans le budget 2013!.
4. L’un des enjeux du recrutement est de donner du travail aux Gabonais qui « manifestent » la volonté d’intégrer les forces de police Nationale. Quant au cas que vous avez pris, la responsabilité incombe au policier, car s’il fumait, avait des problèmes cardiaques ou autres sans l’avoir déclarer, il en porte toute la responsabilité, puisqu’il aura forcément donné des garantie pour compléter son dossier et je crois savoir qu’il y a toujours des délais pour cela!. Si les délais ne sont pas respectés et que ces policiers ne sont pas interpellés, la responsabilités incombe au responsable du recrutement. Il y a deux enjeux principaux, doter nos forces de polices d’effectifs suffisants et donner du travail aux Gabonais…ce sont là des priorités!!
Légalement, un recrutement impose à l’employeur de payer son salarié. Quand bien même il y aurait une période d’essai, un stage ou une formation. On est recruté quand le dossier est accepté. L’embauche définitive peut se faire plus tard, mais il est interdit par le code du travail de travailler sans être payé. Enfin, toute personne ayant travaillé au moins 2 mois sans contrat de travail spécifique est automatiquement considérée comme embauchée en CDI avec le salaire au moins égal à sont poste de travail (il y a des barèmes pour cela). Pire encore dans l’administration où le salaire minimum fait l’objet de catégorie très précises.
Donc ces jeunes policier,soit n’étaient pas recrutés, soit devraient toucher un salaire. Dans la mesure où les dossiers semblent incomplets, ils n’ont donc pas de contrat de travail écrit et sont donc en CDI, fonctionnaires par dessus le marché et donc impossible à virer sans une faute lourde. Leur salaires leur sont dûs depuis le premier jour où ils ont été recrutés par la police, stages et formations compris. Du moins c’est ce que dit la loi, et puisque nous sommes dans un état de droit…
PS : les stagiaires ont droit, au minimum à une indemnité de stage (minuscule) et aux divers suppléments (transport, logement, etc.)
1. On en convient que le salaire est dû dès le premier jour. Mais combien de Stagiaire au Gabon ont une indemnité de stage que ce soit dans l’administration ou les entreprises?
2. Combien de Gabonais ont été recrutés et à qui on demandait d’attendre le système de « rappel » pour percevoir leur dûs?
3. Cet état de fait ne rejoint-il pas les lourdeurs administratives auxquels je faisais allusion?
Bravo. Vous avez bien résumé la question. On recrute d’abord, ensuite on complète les dossiers enfin on regarde les disponibilités en matière de postes budgétaires.
Le plus effarant c’est qu’on ne parle pas de la Chine (1 milliard d’hommes) ou même de la ville de Yaoundé ( plus de 4 millions d’habitants), on parle d’un petit pays d’un million d’habitants riche mais qui étonnement a du mal à recruter et à payer ses fonctionnaires
Ce n’est pas une question d’avoir du mal à recruter ou à payer ses fonctionnaire. Le phénomène que vos aurez dû dénoncer est celui de la planification des finances publique et quelques fois du manque de synergie entre les administrations. En revanche, toute proportion gardée le contexte économique, et social de la Chine n’est pas le même que celui du Gabon!. Quand à Yaoundé allez savoir ce qui si passe avant de prendre cette ville en référence!
Avant de contredire, prenez le temps de comprendre ce que vous lisez. Comme votre dialectique se résume souvent par l’énumération, je vais procéder mêmement pour que vous me compreniez peut-être.
Voici ce que j’ai dit (en procédant par votre science infuse, certainement acquise à la maison du parti):
1- on recrute en masse
2- on recrute en masse des personnes n’ayant pas de dossiers de complets.
3-on décide de ne pas payer les personnes qu’on a pris le soin de recruter parce qu’on se rend compte en définitive qu’on ne dispose pas de postes budgétaires.
Compris?
Alors dites-moi, qu’elle différence existe-t-il entre l’énumération ci-dessus et votre phrase »…la planification des finances publiques et [quelques fois] le manque de synergie entre les administrations? », monsieur InfoS juste(S)?
Quant à la comparaison que j’ai établie entre la ville de Yaoundé et la Chine, elle est purement démographique. En claire, je me demandais comment avec une faible population comme la nôtre, on observait autant de chômeurs dans un pays riche et dynamique. Pis encore, les personnes recrutées n’étaient pas payées, comme c’est le cas.
Cordialement.
Votre énumération je la résumerai en un seul point.
1. Sachez d’abord que ce n’est pas tous ceux qui ont été recruté qui ont des dossiers incomplets, mais une partie. Ensuite, j’ai l’impression que vous avez besoin que je vous fasse un dessein pour comprendre, soit!.
– Si le ministre de l’intérieur avait informé son collègue du budget d’un recrutement certain de 3000 policiers en 2012, les deux cabinets auraient travaillé ensemble pour faciliter la planification financière, c-à-d, la prévision des postes budgétaires qu’on devait inscrire dans la loi de finance 2012. Et cela aurait évité le désagrément dans lequel se sont trouvés nos frères des forces de police. S’il ne s’agit pas là d’un problème de synergie et de planification financière, alors j’avoue que je ne sais pas comment on pourrait l’appeler!.
2. Quant à la ville de Yaoundé et de la Chine en terme de comparaison démographique vous êtes allez trop loin. La Guinée Equatoriale qui est plus faible démographiquement que le Gabon et qui présente tout autant des difficultés en terme d’importance du chômage, ne vous interpelle t-elle pas?
3.Pour votre interrogation sur infos juste(s) référez vous à ma réponse à joec et vous comprendrez!! Je ne veux pas donner les mêmes réponses à deux différents interlocuteurs.
volez autant que vous pouvez chers policier.
Face a quelle responsabilite m avez vous mis? C’est votre super ministre que vous devez mettre face a ses responsabilites et pas moi ou cherchez vous comme d’habitude des boucs emissaires a vos sottises?
Je vous ai mis face à la responsabilité de nos (inclusif = la majorité des Gabonais dont vous faite partie) comportements, face à la notion de travail!
@Infos juste
Lourdeurs administratives dites-vous! Quelles explications donner à cet état des faits (lourdeurs administratives)?
1.Absence de diligence dans le traitement de certains dossiers!
2.Retard multiples dans les administrations;
3.Absentéisme parfois injustifié;
4. Absence de synergie avec les départements qui exigent une collaboration étroite;
5. Insuffisance dans la planification financière;
6. Difficulté dans la gestion de carrière;
7. Problématique de la formation des agents publics et privés;
8. Insuffisance du sentiment patriotique dans la réalisations des tâches quotidiennes;
9. Faiblesse de a capacité réactive de certains agents…etc
@infosjuste: lors de l’un de nos precedents echange vous aviez eu la probite morale de m avouer que vous etiez etudiant en fin de cycle, j’ose donc esperer que l’etudiant que vous etes aura in fine un esprit plus critique et un sens de l’analyse objective des evenements que ceux que vous ne demontrez actuellement! Personne d’entre nous la science infuse et se targuerait de se pretrendre pour un etre omniscient, sur ce forum, a la lumiere des articles et des commentaires on apprend un peu chaque jour! Mais vous, vous savez tout tellement bien qu’effectivement on en perd son latin, car même les plus ardents defenseurs de la cause emergente, ne saurait quoi dire devant la situation de ces jeunes recrues a part: « ce n’est pas normal » mais pour vous pas grave sil ne sont pas payes depuis 1 an, c’est la faute de l’admninistration… Ben ecoutez tant mieux..j’espere qu’a la fin de vos etudes vous ne viendrez surtout pas vous plaindre s’il vous arrivait des faits similaires…mais non vous etes trop intelligent pour que cela vous arrive…
1. L’esprit critique et le sens de l’analyse objective des évènements gouverne déjà ma pensée. La seule différence avec d’autres c’est que là où certains voient un verre à moitié vide, moi je le vois à moitié plein!.
2. Vous dites que pour moi si les jeunes recrues ne sont pas payées depuis un an, c’est la faute de l’administration…erreur!. L’administration est incarnée par les hommes et les femmes, c’est à dire, les Gabonaises et les Gabonais. C’est donc d’eux dont il s’agit, chacun en ce qui le concerne quelque soit le niveau de responsabilité. La question est de savoir qu’est ce que nous faisons chaque jour, à notre niveau, pour apporter le changement dont nous avons tous besoin? Avons nous l’amour de notre travail? Voulons nous vraiment participer à l’essor de notre Nation,au lieu de cristalliser nos pensées sur les faiblesses? Somme nous vraiment animé d’un sentiment de servir le pays? Avons nous l’ambition d’améliorer ce qui va mal? Que faisons nous de notre fibre patriotique?…etc autant de questions qui devraient Tous nous interpellé et auxquelles j’attache du prix!!.
3.Quant à mon évolution personnelle, elle est entre les Mains de Dieu!.