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Inondations du week-end : Lee-White accuse la marée haute
Alors que samedi dernier, la capitale gabonaise et ses environs étaient dans l’eau, le ministre des Eaux et forêts a indiqué qu’il s’agissait d’un concours de circonstances dû à la montée de la marée.
Plusieurs quartiers de Libreville ont été inondés le week-end écoulé (illustration). © Gabonactu.com
Le tweet de Lee White illustré par des véhicules et des piétons dans l’eau. © Capture d’écran/Gabonreview
Le 7 mars à Libreville, c’était le déluge. Aux environs de 9h du matin, d’intenses averses ont touché la ville et ses environs avec, à la clé, d’importantes accumulations d’eau. De nombreux foyers se sont retrouvé les pieds dans l’eau, perdant pour certains plusieurs biens et évitant pour d’autres, le pire. «J’avais un rendez-vous à 8h45, mais j’ai traîné jusqu’à 9h. Donc quand la pluie a commencé, j’étais à la maison et c’était un coup de chance, car l’eau est entrée dans la maison devant moi et on a pu éviter le pire», a témoigné Lisa Bivéghé. Habitante du quartier Awendjé, elle fait partie des sinistrées du 7 mars.
Chez elle comme au sein de bien d’autres ménages, «l’eau entrée dans la maison dépassait pratiquement les genoux». Au carrefour IAI, sur la voie express, le débordement a rendu la voie quasi impraticable. Aidé par les canalisations bouchées, voire inexistantes, jusqu’au niveau de la Fopi, ce débordement a coincé plusieurs automobilistes qui ont voulu braver les eaux. «Les piroguiers auraient été utiles aux riverains que les taximen et autres clandomen ce samedi-là» a ironisé le quotidien L’Union soulignant que la rivière «District» qui traverse la zone est sortie de son lit.
Si cette crue a mis en exergue la vulnérabilité de Libreville et ses environs, caractérisés, entre autres, par le manque d’urbanisation et l’incivisme des populations, au regard de la récurrence des inondations en cas de fortes pluies ou pas, le ministre des Eaux et forêts y a vu «un concours de circonstances». «Nous avons eu une pluie exceptionnelle couplée à un coefficient de marée haute de 85. Ainsi la ville (Ndlr. Libreville) a reçu une masse importante d’eau qui n’a pas pu s’écouler normalement du fait que la marée était en train de monter», a tweeté Lee-White. Si on se fie au tweet de Lee White, cette pluie pourrait bien rappeler que l’adaptation aux changements climatiques au Gabon est un chantier majeur.
4 Commentaires
Dieu mon Fils, Lee White,Le Blanc, devient roi au pays des nègres. Il trouve des explications des inondations par la montée de la marée évitant de nous dire la principale cause qui est le manque de canalisation dans Libreville et ses environs. Qu’il cite aux nègres gabonais une autre ville côtière qui a été inondée comme Libreville. Même Port Gentil les « eaux » n’a pas subi une inondation aussi grave. Le Blanc des eaux et forêt est exceptionnel mon Fils.
Père.
Bon admettons que cela soit vraiment le cas.Que faudra t – il faire lorsque la prochaine fois l’indice de la marée sera autour de 80 et qu’il pleuvra très fortement ? Quand il y a une situation. Trois phases s’en suivent. Constatation , pour le coup c’était pas compliqué, identification de la cause ( Un responsable annoncé est la Lune: oui c’est elle qui gère les marées), et la troisième la plus attendue la proposition de solution . Car d’après les prévisions climatiques,des fortes marées coïncidant avec de fortes pluies se reproduiront.
Il fait partie du gouvernement. Il en reprend donc la rhétorique. Ils n’ont pas fini d’insulter notre intelligence.
LEE WHITE!!! MAIS CE TYPE SE FAIT PROFESSEUR DE QUOI? ET APRES CELA, JE SAIS QU’IL N’EST RIEN D’AUTRE QU’UN AUTRE IDIAMIN DADA, IL A PRIT EXPLE. DE CE MONSIEUR CAR C’EST DANS CE PAYS QU’IL S’EST VU EXPULSER POUR Y ATTERRIR AU GABON ET FAIRE CE QU’IL FAIT MAINTENANT APRES DES ANNEES D’OBSERVATIONS CAR DU REGNE DE BONGO OMAR, IL N’AVAIT PAS CES ACCES.. CAR LE SERVICE DE RENSEIGNEMENTS DE L’EPOQUE SAVAIT QUI IL ETAIT.. DONC IMPOSSIBLE POUR LUI D’AVOIR ACCES ET COMME IL A BIEN VUE QU’ALI AVAIT UN COMPLEXE DU BLANC, IL S’EST RAPPROCHER DE LUI POUR EN DEVENIR UN AMI ET COMME IL SAVAIT QUE CE DERNIER ETAIT ANGLOPHONE, CECI LES A RAPPROCHER ENCORE PLUS.
DONC ATTENDRE DE CE ANGLAIS DU MI6 DE RESOUDRE LES PROBLEME DU GABON EST COMME SI VOUS ALLEZ ATTENDRE QU’ON VOUS DISE OU SE TROUVE ALI BONGO EN PERSONNE AUJOURD’HUI.
IL EST NUL COMME PERSONNE ET COMME TOUJOURS, PARTOUT OU IL EST PASSE IL A REUSSI A VIDER LES CAISSE DE CETTE INSTITUTION POUR LE METTRE DANS LES BANQUES OFSHORE CAREABEANS LES CARAIBES BRITANIQUES!!! ET A LE CULOT DE VENIR DIRE QUEE C’EST LA MARREE EN CAUSE.. COMBIEN DE TEMPS VONT-ILS CONTINUER A NOUS INSULTER DE LA SORTE?