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Etat-civil d’Ali Bongo : L’UPG entend se constituer partie civile
Conseiller stratégique du président de l’Union du peuple gabonais (UPG, loyalistes), Serge Dibangou Yangari affirme devoir soutenir Onaïda Maïsha Bongo Ondimba dans sa procédure.
© D.R.
Le débat autour de l’acte de naissance du président de la République est décidemment loin d’être clos. Le conseiller stratégique du président de l’Union du peuple gabonais (UPG) en rajoute une couche. Dans une interview à info241.com, Serge Dibangou Yangari livre, en effet, les conclusions d’une enquête. «Nous avons mené nos enquêtes simultanément en France précisément au Centre national des archives d’outre-mer à Aix en Provence et au Congo Brazzaville, aux archives nationales du Congo précisément à la direction générale du Patrimoine et des Archives», a-t-il révélé. «Pour celles de France, cela nous a pris deux jours pour retrouver tous les éléments nécessaires à prouver que l’acte de naissance du chef de l’Etat était totalement faux. Pour le Congo, nous sommes passés par le système D pour avoir des informations contradictoires», a-t-il poursuivi.
A l’issue de ces investigations, Serge Dibangou Yangari est convaincu que l’acte de naissance du président de la République est un faux. Il évoque, en premier, le fait qu’«Omar Bongo n’avait pas la qualité à signer un acte de naissance car n’étant pas officier d’état-civil». «Le nom de l’officier d’état-civil figurant sur l’acte de naissance d’Ali Bongo est mal orthographié car le maire dont il fait allusion, ne se nommait pas Ngalakanda mais plutôt Nzalakanda Dominique et n’était pas en fonction en 1958 comme notifié sur ce fameux faux acte de naissance», a-t-il poursuivi. Autre élément : en 1958, le Congo passe de la communauté des territoires d’outre-mer en République autonome. «Brazzaville devient le 18 novembre 1958, une commune de plein exercice avec à sa tête, un conseil municipal issu des premières élections locales dans la même année. Celui-ci sera dirigé par Fulbert Youlou, premier président du Congo», a argumenté Serge Dibangou Yangari.
Selon ses explications, Dominique Nzalakanda était 2e adjoint au maire et partit en France en 1958. «Ceci dit, de 1956 à 1961 le 3e adjoint au maire et officier d’état-civil est Simon Bilondo, formé et nommé par les Français en la matière. Il était le seul à signer les actes de naissance à cette époque. Les documents des deux centres d’archives cités prouvent à suffisance que l’acte de naissance d’Ali Bongo n’est qu’un papier frappé du faux en écriture et en interprétation», a réaffirmé Serge Dibangou Yangari, qui entend mener un certain nombre d’actions pour faire toute la lumière sur cette affaire. «La France doit clairement dire la vérité telle que prouvée dans ses archives officielles qui sont contradictoires au faux document conservé dans les archives de Nantes qui, je vous rappelle, est un centre de gestion documentaire aux mains du Quai d’Orsay», a-t-il rappelé. «Nous comptons saisir la justice et nous joindre à l’affaire Onaida pour constitution de partie civile conformément à l’article 420-1 du Code de procédure pénale française», a conclu Serge Dibangou Yangari.
0 Commentaires
DJ Khem, laissez moi rigoler……
Munzabi ne te mêle pas de ça
C’est cela raison de la DTE, depuis le départ, tous si tous avaient intégré cette notion, l’opposition gabonaise aurait avancé. mais il y en qui ne voyaient que le rêve d’être président… aujourd’hui, ils sont revenus à la réalité ‘l’Union sacrée, pour la destitution. Il n’est pas interdit de caresser cette ambition, mais sans la DTE, c’est impossible. En 2009, ELLA EKOGA et la GR, ont matraqué et chargé sur les opposants au portail de la Démocratie ; Si la DTE n’est pas effective, attendez vous à voir d’autres commandos, pour tuer les gabonais. Sauf si ces présidentiables, sont le soutien d’ALI…
pour les tribunaux on déjà classés l’affaire,nous voulons passer à autre choses,Ali Bongo Ondimba a pourtant été clair il ne cédera a aucun chantage…à 3 mois des présidentielles les gabonais n’on pas besoin de ce radotage
Le conseiller « strategique » du president de l’UPG, devrait plutot conseiller a son president sans envergure et fossoyeur du football gabonais, d’occuper strategiquement le terrain sur l’ensemble du territoire national, comme le font des partis politiques qui ont des ambitions, pour elargir sa base. Les tribunaux francais ont classe l’affaire comme leur homologue de Libreville, le conseiller vient brasser l’air et fatiguer les gens avec une histoire classee. C’est vrai qu’un parti fauché comme le votre et qui ne compte ses quelques militants que dans la region du pere fondateur, Pierre Mamboundou, depuis la mort de ce dernier, ne peux que « s’accrocher » a ce qui peut faire le buzz pour exister. Pitie de vous.
@le positif, juste une précision. A la suite du procureur du tribunal de Nantes antérieurement saisi sur ce dossier, cette fois-ci c’est le Président du Tribunal qui est appelé à commettre un juge afin de faire toute la lumière et donner une suite judiciaire au « CONSTAT DE FAUX » déjà établi et révélé le parquet après l’examen des documents administratifs produits sur l’état civil du fils adopté de feu Bongo Albert, révélation confirmée par Léon Ngoulakia.
Mais ALI est un faussaire tout simplement. Il aurait pu nous dire qu’il ne retrouve plus son acte de naissance pas ps nous produire des faux actes de naissance mais c’est très grave pour un qui veut que l’on le considère comme chef d’Etat !
l’affaire de l’etat-civil du chef de l’executif ne peut-être classé sans suite que si et seulement si il fait son test ADN pour prouver au peuple gabonais qu’il est bel bien le fils d’omar bongo sinon on laisse une porte ouverte à tous les apprentis sorciers qui veulent spolier notre pays. il est inacceptable que le chef de l’Etat ne puisse pas faire la lumière sur sa situation administrative car il s’agit ici du respect de la constitution.
Et même de la sécurité du pays
Arretez de nous distraire avec cette affaire. pensez vous reelement que Albert Bongo pouvez s’offrir le luxe d’adopter un enfant a cette époque? et d’ailleurs depuis que cette affaire a commencée, êtes vous aller receuillir les temoignages des anciens gabonais qui étaient au Congo a ce temps? Ils sont encore vivant pour certain.arretez avec ce faux débat. ces politiciens qui n’ont que l’injure et les accusations mensongères comme projet ne meritent pas notre considération
C est vous qui au contraire devriez fournir un acte de naissance. Chantal Myboto vous a lance un defi, faitent le test ADN in point c est tout.
@ Arnaud,
Il ne faut pas jouer à l’idiot même si vous ne l’êtes pas. Ici nous parlons des choses sérieuses? C’est vous qui nous amusez. De quelle époque parlez vous où Albert Bernard Bongo ne pouvait pas avoir le luxe d’adopter un enfant à cette époque. Laquelle?
Le premier temoin dans cette affaire c’est sa mère adoptive qui doit nous dire si oui ou non elle avait accouché par césarienne son soit disant fils Ali à une période où les césariens ne se partiquaient pas dans les colonies.
De quel temoins parlez vous? Moi qui vous parle, je suis né à Brazzaville en 1951. Petit, j’ai connu M. Mbadou ( Dieu ait son âme) l’oncle paternel de Patience. M. Mbadou avait un enfant né au Congo qui s’appelle Djoué,plus jeune que moi, il a été pilote. J’ai vu plusieurs fois Patience et sa soeur Emma revenant de l’école ménagère. Jusqu’à ce qu’elle quitte le congo avec son époux après leur mariage en 1956, je n’ai jamis vu Patience avec un bébé.En 1959, j’avais quand même 8 ans.
Puisque vous cherchez des temoins, allez voir Pascaline sa soeur qui est bien née au Congo, elle a quand même vu sa marâtre avec un bébé non!!!! Ngoulakia et sa maman vous en diront plus, mais comme c’est une affaire qui va dans tous les sens,Ali se fera attraper un de ses matins.
Ce débat que vous qualifiez de faux ne peut s’arrêter que quand Ali et sa « mère » feront un text ADN pour permettre aux Gabonais de ne pas avoir à la tête de la République un usurpateur.
Test adn: rêvez toujours!
c est avec la même légèreté que vous justifierez la douleur inutile et injustifiée d’1 mère privée de son fils / sa fille ou d’1 veuve face au corps sans vie de son mari. Présenter la situation actuelle du Gabon comme 1 fatalité c est insulter la mémoire des (trop ?) nombreuses victimes de l incompétence criarde de vos maitres
Ogwana e kambina go nka yi r’ewondjo [la bouche n’exprime que ce que conçoit la tête] Proverbe Myènè
« Il n ya pas de paix sans justice » Desmond Mpilo TUTU
Gyèlu a sa gwèndilu ne misu me mbatsi [On ne dort pas en fermant les yeux d’1 autre] Proverbe Guisir
Le débat sur les différentes options en l encontre du passage en force doit commencer, car c est déjà dans la tête de tous les gabonais! On fait quoi et comment devant ce fait?
Ossami, vous démontrez tous les atouts du parfait kongosseur gabonais avec des affirmation gratuite et des mensonges, en jouant « le gars qui était la quand ça s’est passé ». Tout la panoplie du parfait kongosseur.
1- la césarienne était bien pratiquée à cette période au Congo et même au Gabon. Mon frère aîné est né par césarienne à l’hôpital Kong à Libreville (actuel CHUL) en 1960. Pour votre gouverne, cette technique médicale qui vu le jour en 1500 en Occident, en Suisse, est arrivée en Afrique en 1879, en Ouganda. Venir affirmer qu’une technique vieille de plus de 2 siècles n’existe pas est complément illogique et absurde.
2- vous dites avoir vu le couple Bongo au Congo. Bien. Vous dites etre né en 1951 à Brazzaville, et que vous avez vu Patience et son mari partir du Congo en 1956, vous aviez donc à peine 5 ans, et vous rappelez de tout ça. supposons. M. ou Mme Ossami, comment voir une femme enceinte qui accouchée en 1959 ,alors que vous l’aviez vu partir en 1956? Une grossesse ça dure 9 mois. MDR. A votre âge, vous faites aussi le kongossa. C’est grave.
Je dis hein Bassomba et le Positf vous n avez rien a faire de votre temps. Defendre l indefendable, j espere qu’il a fait de vous des milliardaires a la va vite facon Gaboma en live. N oubliez pas de le suivre le moment venu. Tic tic tac a qui le tour? On vous le fera dure.
Diana Calendre, quand on a pas d’argument, on passe sa route, on est sur un forum, c’est comme l’emission Agora: argument contre argument, les idees se choquent et s’entrechoquent. Si vous n’avez rien a apporter, vous vous taisez. C’est pas obligatoire.
@Lepositif, vous voulez des témoins qui relatent de certains faits concrets ? Vous en aurez, tous les jeunes qui habitaient le quartier d’Akébé ville vers 1970 savent qu’Alain Bongo venait parfois avec la Mama qui venait très souvent rendre visite à un parent qui habitait derrière la villa du défunt Ndouna Dépenaud, ils étaient toujours accompagnés de 2 gardes corps à qui Alain en faisait voir de toutes les couleurs quand il voulait s’échapper de la concession : » cet enfant venu d’ailleurs » pestaient-ils quand ils en avaient marre de courir derrière lui.
Quel rapport avec le débat?
@top « cet enfant venu d’ailleurs »
Distorsion sélective des faits matinée de superficialité démagogique avec vous autres seides comme souvent (pour ne pas dire toujours) on tourne en rond comme des derviches. Les seides sont 1 collique de mantras ineptes dans l espoir vain de contraindre au consentement c est juste de l enfumage 1 point c tout ! Les faits sont la et ils sont tetus.
A supposer que le verbiage faussement savant qui précède soit vrai nous souhaiterions avoir les explications sur les points suivants
1/ quel enfant de chef d’état peut être en défaut d état civil (depuis 57ans record battu) dans 1 état en paix et expliquez nous pourquoi ?
2/ la mère de cet enfant aurait donc réalisé (a 4 mois d’écart excusez du peu 2 records battus en 1 fois) finalement 1 ou 2 césariennes ? Votre séidisme et votre faim ne sont pas excuses à la sottise ou a votre ignorance feinte votre flagrant manque d’alacrité montre comment vous avez encore 1 peu honte de savoir que tout ca c’est pour que de grassouillets irresponsables pervers puissent entretenir leur train de vie excessif vous faites vraiment pitié …. Le Gabonais du futur voit bien vues vos mensongères intentions et vous le rend bien et ce n est que justice.
Mamba a sa iboko ndjea [on ne barre pas la route à l’eau qui coule] Proverbe Evya
« 1 menteur n’a jamais bonne mémoire. » Jacques Amiot
Emur a dzeng abi, a ke kwa ne dò [celui qui recherche absolument l’affrontement y périra] Proverbe Ekang
Iboundji, au lieu de verser dans votre litterature insipide et de faire une fuite en avant en venant parler des choses qui n’ont pas ete evoquees dans cet article. J’oubliais que c’est une des techniques des petits opposants aigris et haineux que vous etes des que vos fallacieux arguments sont battus en breche (non partique de la cesarienne en 1959 a Brazzaville- voire de l’Afrique) et le manque d’envergure du president du squelettique UPG, Moukagni Iwangou. Iboundji vient sortir de sa besace le manque d’acte de naissance et du pretentendu accouchement en 4 mois de Patience Dabany, en feignant d’ignorer que cette fille a ete adoptee et que c’est normal qu’elle y figure dans l’acte de naissance de cette derniere. Mauvaise foi quand tu nous tiens. Comment de gabonais n’ont pas reconnu les enfant de leurs soeurs ou d’un autre parents comme pere ou mere?
Comme cela est conseille en pedagogie, je vais repeter pour vous pour une meilleure comprehension:
1- que la cesarienne existait en Afrique depuis 1879
2- que Moukagni Iwangou est un president sans envergure, qui a menti au peuple les yeux bien ouverts et la main sur le coeur qu’il n’a jamais ete recu a la presidence et qu’il gagnerai implanter ce qui lui sert de parti dans l’ensemble pour elargir sa base, au lieu de se contenter sur le petit groupe de Punu qui lui serve de militants au lieu de n’exister qu’en suivant les faits et gestes du president de la republique.
Lepositif, je ne comprends pas bien pourquoi vous continuez de defendre quelqu’un qui lui meme sur les ondes de RFI, avait declare que son acte de naissance etait un faut.