Éligibilité d’Ali Bongo : Moukagni Iwangou récuse de nouveau dame Akolly
Nouveau rebondissement dans l’affaire de la supposée nationalité acquise d’Ali Bongo. Alors qu’était attendue, ce mercredi 10 août 2016, une réponse des avocats des requérants sur les écrits de la défense, une nouvelle récusation a été soulevée. En fin limier de la procédure, Moukagni Iwangou ne lâche rien. L’affaire a été renvoyée au 11 août.
L’affaire sonne comme un feuilleton judiciaire. Alors que l’on s’acheminait sur une audience de plaidoirie sans incident, ce mercredi 10 août 2016, Jean de Dieu Moukagni Iwangou a décidé d’en remettre une couche en déposant, en fin de matinée, une nouvelle requête en récusation.
Fondée sur des faits nouveaux, pour ne pas souffrir de l’autorité de la chose jugée du 9 août, la nouvelle demande sort des arguments inusités. Dans la demande rejetée, le leader de l’UPG-Loyaliste avait invité les juges à prononcer la récusation de Madame Paulette Ayo Mba Akolly. Il s’appuyait sur les déclarations, ci-après, qu’il trouvait empreint d’amitié à l’égard de son adversaire Ali Bongo Ondimba : «Pour ma part, je n’ai pas appris à Alès. Mais j’ai joué avec Alain Bongo et sa sœur Philiberte Phili, à l’époque on ne l’appelait pas encore Amissa Bongo, au jardin de la Présidence de la République, présidence de mon père… si moi je jouais à la présidence du Gabon, ça veut dire que Léon Mba était encore vivant».
La Cour ayant écarté ce moyen, Moukagni Iwangou, juriste au demeurant, a asséné, des propos un peu plus précis de la même Madame Ayo Mba épouse Akolly : «Moi pour ma part je rappelle que j’ai joué avec Alain et albertine Bongo dans les jardins de la présidence, alors que mon père Léon Mba était encore vivant. J’ai retrouvé Albertine Bongo en 1975, lors de mes premières vacances au Gabon, leur père était déjà président. Cette histoire de Biafrais ou pas Biafrais nous surprend énormément (…) C’est dans ce sens (…) que nous sommes tous disposés à instruire un peu plus sur ce pan de l’histoire de l’actuel président de la République, qui est pour moi mon neveu et pour eux leurs frère, et nous nous sentons un peu frustrés, nous nous sentons mal à l’aise de voir un des nôtres trainé régulièrement dans la boue, et trainé son père qui a été notre frère…»
En disant elle-même qu’Ali Bongo est son neveu et que les attaques contre celui-ci créent un sentiment de frustration chez elle, la présidente de la Cour d’appel continuera-t-elle à vouloir tordre le cou au droit en continuant de refuser sa récusation, basée sur son amitié, à la limite de la parenté, avec Ali Bongo, réclamée sur les antennes de télévision par Ayo Mba elle-même ? Pour sûr, avec la récusation, il y a un véritable procès dans le procès. Les trois affaires ont donc à nouveau été renvoyées au 11 août.
Auteur : Alain Mouanda
0 Commentaires
la justice de la nation gabonaise est entrain d’etre discreditee devant le monde entier.C’est vraiment honteux de demolir les institutions d’un pays juste pour defendre des mensonges dont la logique ne tiendrait mais pas dans une cour de maternelle..Merde alors c est quand meme un pays mme Ayo meme si vous en avez rien a foutre. Un pays qui vous a tout donne. Vous le pietinez sans pitie et le monde entier se moque de nous. Vous avez tout le mal du monde a faire taire la verite parceque la verite et le mensonge ne seront jamais equivalent. L un triomphe sur l autre meme dans votre logique perverse.
Continuez! vous vous retrouverez encore à parler de tout ça après les élections
Ah toi Moukagny nde dibale , an fam, we lebawle ( Tu es un homme), qui ne lâche rien. En fait si ça venait à changer dans ce pays, il y a des juges et hommes politiques qui raseraient les murs car ils font honte à leur profession.
Ce n’est pas elle. Vous confondez avec sa jumelle… Sincèrement, c’est à devenir fou.
C’est ca même… Moukagni la confond avec sa jumelle!!! kiakiakia!!!
Le film là est passionant… Dommage que ne ca ne soit pas une fiction… c’est triste!!!
monsieur Moukagny il ne faut pas les lâcher.vous devez les pousser jusque dans leur dernier retranchement.cette dame fait honte à toute une institution et partant à tout un pays.ils sont entrain d’envoyer des mauvais signaux à la face du monde et désormais tous les documents présentés par les gabonais à l’étranger seront l’objet à contestation de leur authenticité.le Gabon et ses habitants sont vus comme des faussaires.
Ils veulent effacer même ce que cette dame a crié haut et fort à la RTG pour manger son argent… et la honte et les calculs machiavéliques l’empêche d’avouer le dessein manigancé contre le peuple… Et il y en a qui chante « apporte nous la démocratie »…
Parodie de démocratie, agonie de démocratie #Requiem le 27
https://www.youtube.com/watch?v=kOunRZKKe_g
Nous on avance avec assurance
L’opposition moutouki n’ira pas loin . Ali a déjà gagné .
A Jean Zélé
Observez bien les témoins et autres amis je n’ose même pas parler des papiers de votre maitre et vous saurez ce que l’on appele MOUTOUKI
La morale de cette histoire c’est que le zèle (surtout maboule sic ! ) comme le crime ne paye pas. Continuez l’exemple de celle là ne vous suffit toujours pas et vous avez raison. Le plus maboule dans l’affaire c’est qu’elle s’est enférée toute seule toute seule et maboulement. Tout son verbiage inutile n’apporte rien à l’histoire du Gabon (rien que cà sic ! qu’elle veut refaire tout en se donnant l’impression du contraire. Parce que de toute façons c’est faux 1 point c’est tout !!! Elle ne laisse pas la parole à son neveu pour la beauté du geste mais juste parce qu’elle n’a assisté à rien à cette époque elle n’est même pas reconnue (officielement resic donc ! beaucoup de similitudes peuvent en expliquer d’autres..) par son géniteur et ne peut donc avoir joué avec son maitre…
Mais ca nous on le savait déjà visiblement pas elle ni vous comme beaucoup d’autres choses d’ailleurs pour lesquelles il faut réfléchir ……
”Bifufu é tobi disu” [par sottise on se crève l’œil] proverbe Punu.
“Nku a tang ku a bige dya “[le voleur réputé paye même la poule qu’il n’a pas volée] proverbe Ekang
« Ceux qui peuvent vous faire croire en des absurdités pourront vous faire commettre des atrocités » Voltaire
«Mbambi avitakano, é tondomina» [la calebasse plongée dans l’eau revient toujours à la surface] proverbe Myènè