L’année 2014 aura été une des plus positives pour le groupe marocain, propriétaire de Gabon Telecom, qui a récemment été classé parmi les opérateurs les plus puissants du monde et le 2ème en Afrique.

La tour Maroc Telecom à Rabat. © cityscapes.ma

La tour Maroc Telecom à Rabat. © cityscapes.ma

 

L’opérateur de télécommunication ne pouvait pas espérer mieux pour la clôture de l’année 2014. Alors que ses affaires ont été parmi les plus rentables durant l’année écoulée, avec la mise au point et le lancement de plusieurs produits, offres et technologies, à l’instar de la 3G et la 4G, Maroc Telecom vient de trouver sa place «parmi les opérateurs les plus puissants dans le monde». Le magazine spécialisé «Total Telecom» qui est l’auteur de la distinction dit avoir été convaincu par «le rayonnement de la marque, le service client, l’innovation sur les produits et les services», ainsi que le rapporte le site Agence Ecofin. Une distinction qui a par ailleurs entrainé une autre : le président du directoire du groupe, Abdeslam Ahizoune, apparaît parmi les cinq premiers chefs d’entreprises africaines de télécommunications.

Selon le magazine «Total Telecom», Maroc Telecom, propriétaire de Gabon Telecom, rayonne sur le continent. On lui prête une performance particulière «au cours des dernières années, au niveau local aussi bien que sur les autres marchés africains». Des résultats qui lui valent d’être positionné à la deuxième place dans le classement 2014. Durant l’année écoulée, Maroc Telecom a donc talonné le sud-africain MTN, grâce à un parc de plus de 44 millions d’abonnés à travers ses filiales au Gabon, au Mali, en Mauritanie, et au Burkina Faso.

Avec près de 42% de part du marché mobile sur le plan local, Gabon Telecom qui a concédé, en mai 2014, l’entrée de l’émirati Etisalat dans son capitale, devrait voir ses activités davantage renforcées et ses résultats consolidés, qui augurent une année 2015 en beauté.

 

 
GR
 

6 Commentaires

  1. Patrique dit :

    c’est une véritable fierté de savoir que son réseau se porte aussi bien. c’est aussi une victoire pour le peuple Gabonais qui bénéficie et bénéficiera toujours des meilleurs services de cet opérateur

  2. L'ogooué tarie dit :

    #pratique,
    Cela doit être aussi bien de léguer à majorité la section de nos fréquences( fréquences militaires y comprises ) à un état étranger ou bien ?

  3. okoura dit :

    que maroc télécom paie la mutualisation aux déflatés le reste on s’en branle

  4. Miss T dit :

    Je ne sais pas ce que vaut cette analyse d’un magazine certainement payé pour dire le plus grand bien de la boîte de son altesse Mohamed VI. Je note juste que les entreprises gabonaises tout comme le pays ont été vendus pour des broutilles aux étrangers. Aucune fierté. Des employés sous-payés, des cadres et autres pseudo-cadres qui passent leur temps à faire les caniches devant leurs supérieurs pour se maintenir pour draguer les jeunes filles avec des crédits CPT. Pathé-trique.Non, on y est pas encore.

  5. Omaru dit :

    Maroc Telecom et ses filiales œuvrent pour le développement et le bien-être des populations des pays dont la société est présente.Il est inadmissible de négliger le nombre d’emplois créés , les innovations technologiques apportés au secteur à tel point que Maroc telecom a lancé la 4G au Gabon bien avant le Maroc. Ceci dit, sans oublier les aspects citoyens de Maroc telecom à travers ses actions destinées au soutien des activités culturelles, sportives et de lavie associative des pays de présence.

  6. Miss T dit :

    @Omaru
    Maroc Télécom oeuvre d’abord pour Mohamed VI, arrête tes conneries. Je te suggère le bouquin suivant « Le Roi Prédateur, main basse sur le Maroc », tu comprendras. Et Ali Bongo veut se prendre pour un Roi avec les mêmes méthodes. Sa filiale Gabon Télécom ne donne que des miettes aux gabonais, c’est bien connu. Mais lorsqu’on croupit dans la misère, on voit le moindre petit geste émanant d’une telle boîte comme un miracle là où c’est en réalité banal. Et qui ignore au Gabon que des boîtes comme Gabon Télécom servent de relais et d’intermédiaire pour l’espionnage qui sévit au Gabon, cette république bananière.

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