Crise postélectorale : Le dialogue national aura bien lieu, selon Billie-By-Nze
Trois mois après le début des consultations du Premier ministre, le gouvernement dit être prêt à tenir le dialogue politique national devant permettre de trouver des solutions à la crise née de la présidentielle d’août 2016. Pourtant, aucune date précise n’est connue jusque-là.
Jusqu’au 21 décembre 2016, le Premier ministre et le ministre en charge du Dialogue national ont poursuivi les consultations. Ici avec Léon Mbou Yembit du Far. © Primature-Gabon
Si l’on en doutait encore au sein de l’opposition, le porte-parole du gouvernement, Alain-Claude Billie-By-Nze, a confirmé le 27 janvier la tenue du dialogue politique national. Il s’est pourtant gardé de donner la date précise à laquelle se tiendront ces assises devant permettre au pays de sortir de la crise sociopolitique ambiante, issue de la réélection contestée d’Ali Bongo en fin-août 2016. Ce que l’on sait, c’est que ce dialogue se tiendra «après la Coupe d’Afrique des nations», donc pas grand-chose. Il s’agit, a toutefois indiqué le ministre de la Communication, d’une volonté et d’une promesse du président de la République, inscrite parmi les 172 mesures prioritaires des 100 premiers jours du gouvernement.
Et à ce jour, les préparatifs vont bon train. «La mobilisation autour de ce dialogue ne faiblit pas», a tenté de rassurer Alain-Claude Billie-By-Nze, non sans laisser entendre que «le bon format» pour l’organisation de cette concertation reste à déterminer. N’empêche, au ministère des Relations avec les institutions constitutionnelles, chargé du Dialogue national, on assure que le taux d’avancement global est de 70%. A la lecture du rapport sanctionnant le travail du gouvernement durant les trois derniers mois, on ne doute d’ailleurs pas de la «possibilité de réaliser à 100% cette action (prioritaire) par la signature d’une convention commune gouvernement/partis de l’opposition/groupes de la société civile sur les objectifs, les modalités et le calendrier de réalisation du dialogue politique».
Sur 54 formations politiques officiellement reconnues au Gabon, le gouvernement revendique l’inscription de 52 d’entre elles parmi les participants au dialogue national. Pour leur part, l’Union nationale (UN) et le Parti gabonais du progrès (PGP), deux des partis comptant parmi les soutiens de Jean Ping, avaient déjà officiellement exprimé leur refus de prendre part aux assises appelées par Ali Bongo, présentées par le gouvernement comme «une plateforme de réconciliation nationale».
0 Commentaires
Le FAR ?c’est une blague,ce dialogue. …une vraie farce ! !!!
Avec qui? Rien que sur cette photographie vous ne pesé même 100 Gabonais.
Ces personnes qui défilent au cabinet de ISSOZET NGONDET sont -elles mandatées par le peuple ou ils le font par le propre chef !?
Et seul MONSIEUR JEAN PING est habileté à convoquer ce genre de rendez-vous en tant PRESIDENT ELU PAR LES GABONAISES ET GABONAIS ;
aux risque d’accoucher un fiasco comme LES ACCORDS DE PARIS ET LA PAIX DES BRAVES D ‘ARAMBO .
Le dialogue avec qui depuis du vivant d’andre mba obame on avait demande un dialogue national il y a eu un refus total maintenant on demande le dialogue pour dire quoi au gens c’est une blague
Le dialogue avec qui depuis du vivant d’andre mba obame on avait demande un dialogue national il y a eu un refus total maintenant on demande le dialogue pour dire quoi au gabonais nous avoir massacré c’est une blague
52 partis sur 54!? Vraiment!?
A supposé que ce soit vrai,quel est le poids politique de ces formations politiques?
Sont-elles suffisamment representatives de la frange de gabonais qui s opposent au regime bongo-PDG?
Un parti comme le FAR de monsieur Mbou yembit,que vaut-il sur l echequier politique national?
Le régime Bongo-PDG veut organiser un pseudo dialogue avec des « partis souris » pensant tromper la communauté internationale.
Or,celle-ci n est pas dupe,elle sait pertinemment qu aucun « dialogue de réconciliation » sérieux ne peut avoir lieu sans la participation de Jean Ping et ses alliés.
Si Bongo et son gang pensent sortir son régime du discredit international qui le touche,né de l election frauduleuse d août 2016,il se trompe.
Un dialogue en l’absence des formations qui représentent la moitié du corps électoral et 6 provinces sur neuf (si on en croit les résultats officiels des dernières élections), en français ça s’appelle un monologue. Cette nouvelle parodie est un échec annoncé qui ne trompera personne, ni les gabonais, ni la communauté internationale. Il va falloir que ce pouvoir d’opérette trouve autre chose pour s’en sortir. Organiser les jeux olympiques d’hiver peut-être ?
Mbou Yembit, dépassé là ou fatiqué!
Ventre comme ça à cause du mussungu de mulundu?
seuls les partis politiques ayant participé à l’élection présidentielle truquée de 2016 peuvent défendre réellement l’avenir de nos jeunes. les octo-génération sont à risque dans ce challenge qui n’est plus le leur.
Ali bongo laissera dans une semaine, les malettes d’argent qui a stocké au palais comme celles de yayah djhammééé!!!
foutez nous le camps, votre époque est déjà révolue. Nous vous ferrons l’anti fada comme khadafi a été victime à son temps.
Volez volez volez les déniers de l’état à vie, vous allez les vomir un bon matin
Je comprends pourquoi Amo et Pierrot n’ont jamais dirigé ce pays. À cause des fossoyeurs ventriloquants comme Mbou Yembi.Des vendus de la république, marionnettes du pouvoir, assoiffés d’argent, qui privilégient leurs intérêts personnels avant ceux du peuple. Le Sud (le vrai )en a pâti du comportement de ce genre de personnes. .Des traîtres, qui ont vendu le Sud et le Gabon tout entier au diable.
Quesque la signature d’une convention viens faire sur un dialogue, je vous vois venir, tous les parties qui signerons cette convention sont obliger d’accepter le victoire d’Ali, pour y participer il faut conjuguer le même verbe avec le camp en face