Le 30 septembre, dans le cadre de la lutte contre le Covid-19, le Gabon a enregistré sur 5.662 prélèvements effectués, 14 nouveaux cas positifs dans 2 provinces.

Le Copil invite les populations à respecter les gestes barrières. © D.R.

 

La courbe de l’épidémie s’aplatit de jour en jour à travers le pays. Selon le Comité de pilotage du plan de veille et de riposte contre l’épidémie à Coronavirus au Gabon (Copil), le 30 septembre sur 5 662 prélèvements effectués, le pays a enregistré 14 nouveaux cas positifs dans deux provinces. Soit un pourcentage de 0,2%. Au nombre de nouvelles contaminations, 12 ont été enregistrés  dans la province de l’Estuaire sur 5 635 prélèvements effectués à Libreville, et 2 dans la province de l’Ogooué-Maritime sur 27 prélèvements effectués à Port-Gentil.

Concernant la prise en charge, 4 personnes sont hospitalisées dont 4 patients en réanimation. 50 nouvelles guérisons ont été confirmées tandis qu’aucun décès n’a été signalé. Depuis le début de la pandémie, 174 307 prélèvements ont été effectués dans les 9 provinces du pays parmi lesquels, 8 766 cas testés positifs (5%) dont 8 005 guéris (91,3%) et 54 décès (0,6%). Au 30 septembre, 707 cas étaient actifs. Si la courbe évolutive poursuit sa tendance baissière dans le pays, le Copil invite cependant les populations à respecter les gestes barrières pour freiner la propagation du Covid-19 dans le pays.

 
GR
 

2 Commentaires

  1. Ponce_pilate dit :

    5662 tests
    14 positifs soit 0.25% (14/5662*100).

    Donc 99.75% de tests négatifs et on nous fait croire que le virus circule encore.
    Et c’est comme ça tout le mis de septembre ou on a eu 1 seul décès au mois de septembre.

  2. moundounga dit :

    Bjr. Le COPIL doit savoir qu’il n’ y aura jamais de contamination 0 et qu’il y aura toujours des « téméraires » pour ne pas respecter les mesures barrières. Voila pour la réalité. La seule alternative qui sied sur la plan médical c’est à mon avis les prélèvements au quotidien qui permettent de mesurer la température exact des taux de contamination et propagation. Pour cela il faut accentuer les sites de prélèvements et de diagnostics jusqu’au confins de la République . C ‘est comme une digue ou barrière que l’on érige pour se protéger en vue des eaux en crue qui pourrait inonder des zones de vie entières. Les statistiques c’est bien mais si les mesures idoines ne suivent pas bienvenue à la dérive verbale. C’est le cas en ce moment à Gabao. Amen.

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