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COP 21 : Déjeuner Hollande – Bongo Ondimba à l'Elysée
En compagnie d’autres chefs d’Etat africains, Ali Bongo Ondimba était, ce mardi 10 novembre 2015, en déjeuner de travail à l’Elysée avec son homologue français, François Hollande, en prélude à la COP 21. L’intégralité du communiqué de la Présidence gabonaise.
Ali Bongo aux côtés de François Hollande, le 10 novembre 2015 à l’Elysée (Paris). © DCP-Gabon
Paris, le 10 novembre 2015 – Le Président de la République, Son Excellence Ali Bongo Ondimba, a répondu à l’invitation du Président de la République française, François Hollande, à prendre part à un déjeuner dans le cadre de la préparation de la Conférence des Nations unies sur les changements climatiques, qui se tient dans vingt jours à Paris.
Deux moments du déjeuner de travail. © DCP-Gabon
A l’occasion d’une conférence de presse commune placée sous le thème « L’Afrique s’engage », le Chef de l’Etat a rappelé le lien fondamental entre les problèmes du climat et la question de l’énergie en Afrique : « C’est un double défi. Nous devons être capable de produire de l’énergie propre et accessible à tous ». A moins de trois semaines de la conférence mondiale, Ali Bongo Ondimba, prévenant que « l’échec de Paris serait notre échec à tous », a souhaité saluer l’initiative de la France, confirmer la mobilisation du continent et annoncer que « l’Afrique serait au rendez-vous et parlerait d’une seule voix ».
Outre le Chef de l’Etat, ce déjeuner de travail a réuni au palais de l’Elysée ce mardi le Président de la République de Guinée, Alpha Condé, le Président de la République du Bénin, Thomas Boni Yayi, le Président de la République du Ghana, Jean Dramani Mahama et le Premier ministre de la République fédérale démocratique d’Ethiopie, Hailemariam Dessalegn, en présence notamment de Laurent Fabius, ministre français des Affaires étrangères et du Développement international, Ségolène Royal, ministre française de l’Ecologie, du Développement durable et de l’Energie, de Nicolas Hulot, envoyé spécial pour la protection de la planète et d’Akinwumi A. Adesina, président du groupe de la Banque africaine de développement.
Le 14 septembre dernier, les présidents gabonais et français avaient déjà pu échanger sur la question des changements climatiques. A cette occasion, François Hollande avait salué l’exemplarité de la République gabonaise – premier pays africain à avoir présenté sa Contribution prévue déterminée au niveau national – et confirmé l’engagement de la France à poursuivre et amplifier son appui au développement durable du Gabon, qu’il s’agisse de promouvoir l’observation, la protection et la gestion durable des forêts, les transports propres ou encore l’aménagement urbain.
Le Président Ali Bongo Ondimba prendra part demain au Sommet de La Valette sur la migration.
Direction de la Communication Présidentielle
Présidence de la République Gabonaise
8 Commentaires
Très bonne photo avant le débarquement .
Souvenir souvenir .
Si les faux opposants et leurs pstisants ignorent votre capacite et la volonte de travailler .les vraies autorites reconnaissent votre travail et capacite.
Ce qui fait le plus plaisir à Ali, ce n’est pas tant le contenu des travaux, mais le fait d’être juste à côté de hollande.
Que Jean-Jacques n’imagine pas que c’est parce que le français a de l’estime pour l’homme fort du bongoland, mais tout simplement parce qu’il a joué des coudes, forcé pour être juste à coté du président Hollande, la preuve , regardez le petit sourire qu’il arbore en dit long, Hollande lui a plutôt l’air constipé.
Je me demande bien pourquoi le biafrais a l’air tout excité?! Est ce à l’invitation que lui adressé HOLLANDE? ou le fait qu’il soit assis près de ce dernier? Cet enfant que Bongo a trop gaté ne grandira plus j’en suis convaincu.
L’Excellence des bons rapports entre la France et le Gabon et leur implication dans le combat pour la lutte contte le rechauffement climatique, démontrent bien que ces deux pays sont des alliés
F. Hollande est la main sur la gachette des dictateurs africains pour le bien-etre de la France qui ne peut maintenir son economie sans les richesses de l’Afrique. Il fait tuer des congolais par Sassou, et l’annee prochaine ce sera nous les gabonais dont il va valider le massacre comme des pigeons par ali bongo le faussaire sans-papier et commandant des crimes en tout genre au Gabon.
F. Hollande, N Sarkozy, gauche et droite, meme pipe meme tabac. Ils promettent de mettre fin a la francafrique pendant les campagnes presidentielles, et une fois elu, sont les premiers a s’impliquer jusqu’au cou dans cette mafia genocidaire.
Mais nous africains allons donc comtinuer a immigres en masse en France et dans le reste de l’Europe car vous nous empechez de nous liberer des bourreaux que vous placez a la tete de nos etats.
ah ca et ils vont nous faire ca dur l annee prochaine. Les barages de la GR ont commence 1 an avant..
Et dire qu’il y en a qui croit encore aux urnes.