Après le Cameroun en avril dernier, la secrétaire générale de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF) effectue sa deuxième visite officielle en Afrique avec le Gabon, où elle séjournera du 26 au 29 août courant.

Michaëlle Jean. © malijet.com

Michaëlle Jean. © malijet.com


 
La secrétaire générale de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF) séjourne à Libreville depuis le 26 août courant. «Cette visite sera l’occasion de prendre la pleine mesure de la richesse et la qualité de la coopération entre l’OIF et le Gabon, notamment dans les domaines de l’économie, de la jeunesse et du développement durable», indique un communiqué officiel. Durant son séjour, Michaëlle Jean devrait s’entretenir avec le président de la République, le Premier ministre, plusieurs membres du gouvernement, les acteurs politiques et économiques et des représentants du corps diplomatique et de la société civile. L’on indique également qu’elle en profitera pour s’entretenir avec la présidente de la Cour constitutionnelle, avant de prendre la parole devant des femmes issues de divers réseaux institutionnels et associatifs.
La secrétaire générale de l’OIF procédera au lancement du Fonds francophone pour l’innovation numérique lors d’un grand rassemblement avec la jeunesse, avant de prendre part à l’inauguration officielle de l’Agence gabonaise d’études et d’observations spatiales (Ageos). Elle devrait prononcer une allocution à l’ouverture de la 4e édition du New York Forum Africa, qui se tient du 28 au 30 août à Libreville, et où sont attendus 1 500 participants. «En misant sur les mesures concrètes qui permettront d’amener la transformation de l’Afrique à sa prochaine étape de développement, cette 4è édition du New York Forum Africa se conjugue parfaitement avec les visées de la nouvelle stratégie économique pour la Francophonie», a indiqué Michaëlle Jean.
La secrétaire générale de l’OIF est à son deuxième déplacement officiel en Afrique centrale depuis sa prise de fonctions, après le Cameroun en avril dernier.
 

 
GR
 

0 Commentaires

  1. MINKO dit :

    Elle a eu son poste par la volonté de HOLLANDE contre le « candidat de la mauvaise gouvernance  » le congolais Henri LOPEZ ….
    Elle sera a lbv au même moment que Segolene…….coincidence ? huuumm…..NON !

  2. imagine56 dit :

    J’espère qu’elle sera sensible aux attentes des hommes politiques de l’opposition, je n’ai qu’un seul regret, ne pas être présente quand elle aura son entretien avec la présidente de la Cour constitutionnelle, j’aimerais tant entendre leur conversation.

  3. Jean Charles mba dit :

    Nous pensons que l’arrivée de Michael Jean à Libreville serait une aubaine pour mesurer le climat social et politique de notre pays. Sa présence nous est profitable de par son expérience en matière de gouvernance

  4. La verite dit :

    En tout cas ce n’est que du bon cinema…demander comment les noirs sont traiter au Canada (les oiseaux et tout autres animals ont plus de valeur que des personnes de couleur…le redefinition du racism à l’extreme.

  5. Sandrine dit :

    Sa présence au gabon est profitable et elle pourra apporter son expérience .

  6. YOVE dit :

    C’est au pied du mur que l’on juge un maçon. Nous, Gabonais, espérons que le séjour au Gabon de madame Michaëlle JEAN ne sera pas un bide. En tout cas, je l’encourage à faire montre de sagacité, en se dotant des renseignements pertinents et en sachant écouter, notamment les leaders de l’opposition. Nous croisons les doigts.

  7. Message à Micahelle JEAN dit :

    A madame Michaëlle Jean
    SG de l’OIF,
    Nous vous publions les attentes profondes de la population gabonaise à transmettre à François hollande, président de la France et Président de l’OIF.
    Les gabonais ne veulent plus que, le régime d’Omar Bongo ONDIMBA, placé par Jacques Foccart (Conseiller Spécial du général Charles de Gaulle), le 27 Novembre 1967 à la tête de l’état gabonais atteigne 50 ans de règne et de domination du Gabon.
    Depuis les indépendances, la France a déjà contribué à la formation de l’élite gabonaise capable d’assumer son destin…
    La méthode de gestion du Gabon par Ali Bongo, fils d’Omar Bongo relève de la coloniale :
    Mensonges chroniques sur le peuple gabonais alors qu’il a en face de lui des intellectuels plus diplômés que lui-même et ses compagnons du palais présidentiels, dont 90 % des effectifs de la présidence de la république gabonaise n’atteignent même pas le niveau de Licence universitaire (ALI BONGO n’a même pas un baccalauréat ….).
    Violation chronique du serment présidentiel, en ce qui concerne la protection des citoyens gabonais (abondance des crimes rituels), l’exercice de plusieurs activités lucratives, la nomination des étrangers ou des binationaux à des hauts postes de la république.
    Blocage du bon fonctionnement des institutions pseudo-démocratiques (Conseil d’Etat, Conseil Constitutionnel, Assemblée nationale).
    Détournement pluri annuel des lignes budgétaires destinées aux ministères.
    Détournement à foison des emprunts et aides contractés au nom de l’état gabonais par la présidence de la république.
    Instauration de la franc-maçonnerie criminelle et barbare comme mode de domination du Gabon.
    Maintien du régime unique au sein des chambres de représentation nationale (voté à mains levées, tripatouillage des résultats électoraux, chambres des élus mono colores, blocage de la Cour des comptes et de la cour Constitutionnelle depuis 48 ans par des parents proches issus d’une même province du Gabon).
    Gaspillage des ressources financières du Gabon.
    Dissimulation des statistiques sur le Gabon
    Les attentes sur votre rôle de médiateur entre le régime Omar Bongo et le peuple gabonais représenté par quelques opposants courageux :
    Le peuple Gabonais veut que Madame Michaelle JEAN nous intercède auprès de la France, représentée par François Hollande, afin qu’elle demande à:
    ALI BONGO, de ne plus se présenter à une quelconque élection présidentielle au Gabon car il est par défaut « gabonais d’adoption » et viole l’article 10 du fondement de la république gabonaise.
    ALI BONGO, de faire en sorte que son parti, le PDG ne puisse pas présenter un candidat à la prochaine élection présidentielle au Gabon en 2016, puisque 48 ans ont été largement suffisants pour développer le Gabon par le PDG.
    Le peuple gabonais éclairé et instruit voudrait que madame Michaelle JEAN, permette aux gabonais et gabonaises, le retour à la Constitution de 1991, modifié nuitamment en 2004 à la veille de l’élection présidentielle de 2005, par les forces obscures de la nation. Le retour à cette constitution de 1991, nous évitera un bain de sang le 30 Août 2016 au Gabon, au vue des appétits des bongos sur la confiscation de la gestion du Gabon et leur rêve d’atteindre 100 ans de domination du Gabon.
    Le peuple gabonais dans son ensemble demande également à la France de Transformer les réserves monétaires du Gabon, placées au trésor français en un fond de création des infrastructures structurantes du Gabon (Construction des autoroutes, des chemins de fers, des ports, des métros, des bureaux de l’administration gabonaise, des aéroports, des logements, des centres commerciaux, des usines de pattes à papiers, de l’élevage, des usines de fabrication des meubles made in Gabon, etc.).
    A contrario, nous demandons à la France de libérer ses fonds de réserves, à fin de nous permettre la création d’un fond monétaire africain.
    Pour terminer, le peuple gabonais, souhaiterait que la gestion des élections présidentielles au Gabon en 2016, soit assurée et financée par le NDI, l’ONU, les représentants de l’UE, de la France et de l’UA.
    Préalables à l’élection présidentielle : Démissions du président de la CENAP et celui la Cour constitutionnelle, retour à la constitution de 1991 légale.
    Merci de votre temps.
    Jean Emile MOUSSOTSI

  8. 6ieme BIMA dit :

    Nous sommes sensibles à vos doléances.
    50 ans en plus serait trop gênant pour tous.
    nous ferons le nécessaire pour les deux partis.
    yalta est tjrs en vigueur!

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