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La CNAMGS à la recherche d’un second souffle
Une «Commission CNAMGS et sécurité sociale» a été lancée, le 6 janvier 2015, par le Premier ministre. Elle doit contribuer à redorer l’image de la Caisse nationale d’assurance maladie et de garantie sociale pour des relations plus cordiales avec les entreprises.
Le directeur général de la Caisse d’assurance maladie et de garantie sociale (CNAMGS), le Pr Michel Mboussou (image d’archive). © Didier Manika/CNAMGS
Alors qu’elle est boudée par des entreprises privées et organisations syndicales, que l’Organisation nationale des employés du pétrole (Onep) l’accuse de supercherie au point de l’affubler de l’appellation «arnaque-GS», la Caisse nationale d’assurance maladie et de garantie sociale (CNAMGS) est à la recherche d’un second souffle. Pour tout dire, elle sent désormais la nécessité de soigner sa réputation. Ayant jusque-là consacré le plus clair de son temps à la réflexion sur les stratégies à mettre en place pour une meilleure sécurité sociale au bénéfice des populations, elle entend désormais établir une relation apaisée avec les entreprises et leurs employés. Une initiative portée par le gouvernement, qui a annoncé, le 29 décembre dernier, l’ouverture d’une plateforme dénommée «Commission CNAMGS et sécurité sociale».
Visant en partie les organisations patronales, salariales et les ONG qui interviennent dans le domaine, la nouvelle plateforme sera co-présidée par la ministre déléguée chargée de la Prévoyance sociale, et le directeur général de la CNAMGS. Elle devrait notamment servir à «définir les nouvelles conditions de gestion paritaire pour intégrer les représentants des employeurs et des salariés». Ce qui devrait permettre de taire les nombreuses critiques à l’encontre de la structure dirigée par Michel Mboussou. De même, en plus de faire des propositions sur la mise en place d’un nouveau système de prélèvements (taux, assiette, etc.), les membres de la «Commission CNAMGS et sécurité sociale» doivent «redéfinir le cadre législatif et réglementaire permettant une harmonisation des différents systèmes d’assurance maladie privée avec la CNAMGS», tout en identifiant les potentielles sources de financement alternatif et/ou complémentaire. Gageons que ça marche.
11 Commentaires
Soyons clair sur ce débat
La solidarité est un devoir pour l’ensemble des travailleurs et habitant du pays. Le secteur prive doit y participer et cela ne souffre d’aucune confusions. Par contre au nom du principe de la liberté de choix, les agents du secteur prive sont libre non seulement d’avoir une assurance complémentaire mais aussi de discuter des taux de prélèvement pour le financement de la CNAMGS. Il ne fait aucun doute que les membres de l’ONEP ont des parents dans les autres secteurs d’activité et même chez les économiquement faible alors un devoir de solidarité s’impose.
Cependant , nous réclamons et exigeons la transparence dans la gestion de CNAMGS. Pour cela il faut intégrer le secteur prive représenté par la CPG dans la gestion de la CNAMGS.
Elan de solidarité, d’accord mais à ce taux là et ne nous laissant pas de choix.
ha vraiment arnaque GS pour quel offre de santé zéro comme d hab la charue avant les boeuf
LA CNAMGS ou arnaque-GS consacre son temps à mieux spolier les honnêtes travailleur par le biais de la santé. Commission ou plateforme sécurité sociale mon œil, une nouvelle manière de mieux nous voler parce qu’ils ont été pris la main dans le sac la première fois. Bande de voleur que vous souffrez!!!
Un travailleur en colère! désolé!
A tout cela une meilleure qualité de vos services, éviter les retards dans les payements c’est pour ça que les malades CNAMGS et autres sont négligés un partout vous ne respectez pas vos delais c’est anormal Le projet en lui meme est bon mais vous vs etes incompétents voyez ce que l’autre a fait BGFI et MABIKA à la poste mais vous aucune innovation ou efficacité jusque là.
Les choses ne font pas en un click il faut se mettre au travail et aider à l’évolution. Cette nouvelle montre que le travail est entrain désert faire.
Certes c’est pas en un click mais la structure a déjà plus de 3 ans d’existence ils doivent s’améliorer le plutôt possible parce que les gens paient et attendent en retour un service efficient dans or il y’a encore beaucoup trop de plainte et de nos une entreprise doit s’auto évaluer et savoir aussi ce que pensent les consommateur de ses services et essayer d’améliorer où il y’a des couac et on doit viser l’excellence dans tout ce que l’on fait une société doit toujours mettre énormément d’accent sur la qualité de ses services éviter les files d’attentes … La perfection n’est pas de ce monde mais on se bat pour l’approcher.
mais je pense déjà que si La CNAMGS paie ses clients (cliniques, hôpitaux, pharmacies, écoles etc.) rapidement ses derniers n’hésiteront pas une seule seconde à traiter rapidement les assurés CNAMGS. Mais si La CNAMGS tarde à payer à ses clients en retour eux préfèrent servir en priorité ceux qui payent cash vu que entrer en possession des sommes dues ils doivent poiroter c’est une suite…
Mais ça c’est pas la seule solution mais l’une des pistes.
QUAND Tu auras à payer INTÉGRALEMENT comme avant, tu regretteras la Cnamgs
Tu n’as rien compris je ne sais pas quel niveau tu as? je demande à cette institution d’améliorer ses services pour le bien de tous parce qu’elle profite au plus grand nombre et elle ne saurait disparaitre.
maintenant sur un plan purement personnel je l’ai jamais utilisée et je sais pas si je l’utiliserais un jour donc si elle disparait ça changera rien pour moi mais pour le plus grand nombre oui or l’intérêt général passe avant l’intérêt particulier donc on se doit de lui demander de faire plus d’effort parce que nous cotisons et non l’endormir en faisant croire que tout va bien bref si tu n’arrives pas à le comprendre…
Alors, c’était difficile ça? Pourquoi tout ce temps? Parce que vous pensez toujours avoir raison?
Et cette partie GS dans CNAMGS, il faut aussi la traiter. GS, une 2eme pension retraite (retraite supplémentaire) pour les gabonais, sinon, supprimez-là.