Au cours de la première réunion de haut niveau de la 67e session de l’Assemblée générale des Nations Unies, sur le thème de l’état de droit aux niveaux national et international, Ali Bongo Ondimba a tenu à réaffirmer l’attachement profond du Gabon à l’état de droit, à la démocratie et aux droits de l’Homme, ainsi que la volonté politique du pays à œuvrer pour leur consolidation.
Les membres de la délégation gabonaise qui ont représenté le pays au Conseil de Sécurité des Nations Unies pour la période 2010-2011 ont été félicités par Ali Bongo lors de la cérémonie de remise de médailles le 23 septembre dernier au États-Unis.
Le ministère de l’Intérieur qui avait enjoint les organisateurs du meeting donné par l’Union des forces du changement (UFC), de ne pas y accorder la parole aux leaders de l’Union nationale, interdite, n’a pas manqué de réagir, avec promptitude, au non respect de sa consigne. Les partis politiques organisateurs risquent la suspension ou la dissolution. Sauf l’UNPR de Me Mayila.
L’opposition gabonaise réunie au sein de l’Union des forces du changement (UFC) a tenu son premier meeting, ce samedi 22 septembre 2012, au carrefour Rio, un quartier populaire du 3e arrondissement de Libreville. L’exigence d’une conférence nationale a été réitérée, Zacharie Myboto allant jusqu’à donner un délai fixé au mois d’octobre.
Alors qu’on croyait que le pouvoir avait fermé à jamais les portes du dialogue avec l’opposition, le Conseil des ministres a annoncé, le 20 septembre, la mise en place prochaine du Conseil national de la démocratie, «cadre institutionnellement approprié et prévu pour le débat politique et pour la démocratie».
À la suite de l’annonce du ministre de l’Intérieur interdisant aux responsables de l’ex-Union nationale, parti politique dissout, de s’exprimer au cours du meeting prévu ce samedi 22 septembre à Libreville, les membres de la coalition portés sur les fonts baptismaux à Mouila ont décidé de ne pas se soumettre à la prescription du ministre Ndongou.
En antinomie avec la déclaration du président Ali Bongo le 12 septembre devant le congrès du Parlement, la dernière livraison du mensuel Croissance +, édité par Anicet Bongo, est littéralement un pavé dans la mare. Le frère du président de la République dénonce le mutisme coupable et l’égoïsme des acteurs politiques, les dissensions au sein du PDG et de la majorité. Il défend Raymond Ndong Sima et appelle à une concertation nationale.
Pour ne pas tomber dans un piège comme celui du 15 août dernier, les partis de l’opposition gabonaise ont demandé une autorisation au ministère de l’Intérieur en vue de l’organisation d’un meeting, le 22 septembre, au carrefour Rio. Le rassemblement a été approuvé, sans l’Union nationale, dissoute.
Les responsables des partis politiques de l’opposition gabonaise réunis au sein de l’Union des forces du changement (UFC) ont livré une déclaration condamnant l’intrusion d’un commando armé et encagoulé dans le domicile de Me Ndaot Rémbogo, président du Parti pour le développement et la solidarité sociale (PDS), sis au quartier Haut de Gué-Gué dans la nuit du 16 au 17 septembre dernier.
La Commission électorale nationale autonome et permanente (Cenap) réunie ce mercredi 19 septembre en assemblé plénière, a rendu public la liste des candidatures retenues, particulièrement l’élection du député du 2e siège du département du Komo Mondah et des membres du conseil municipal d’Omboué.