Le porte-parole de la présidence de la République, Alain Claude Bilie Bi Nzé a entretenu les hommes de média ce lundi, après le retour du président de la République des visites officielles qu’il a effectuées à New York et Cuba et a répondu aux questions qui ont porté sur la politique gabonaise.
Le président Ali Bongo Ondimba séjourne depuis 48 heures à La Havane, la capitale de Cuba, dans le cadre d’une visite officielle de quatre jours. Ce voyage vise à revigorer les liens de coopérations vieux de 28 ans.
A la faveur d’une conférence de presse sans propos liminaire, le 27 septembre 2012, le Premier ministre gabonais s’est livré au feu nourri des journalistes sur les thèmes de la régularisation des fonctionnaires, de la vie chère, de la rentrée des classes et du logement. Si on en a appris sur le premier, les questions de la presse n’ont pas permis à Ndong Sima de sortir des lieux communs sur les autres thèmes.
Récemment rendu à New York aux USA dans le cadre de la 67e Assemblée générale des Nations Unies, le Chef de l’État gabonais, Ali Bongo Ondimba, a rencontré de nombreuses personnalités parmi lesquelles le président du Rwanda, Paul Kagamé.
Les leaders des partis politiques de l’opposition réunis au sein l’Union des forces du changement (UFC, opposition) ont livré dans une déclaration tenue au siège du CDJ le 26 septembre dernier, les conclusions de la conférence des présidents du 24 du même mois.
Dans une déclaration faite le 26 septembre à sa permanence de Nkembo, dans le 2e arrondissement de Libreville, le dernier Premier ministre de l’ère Omar Bongo Ondimba à appelé le président Ali Bongo à se ressaisir en tant responsable politique et à ne pas continuer à prêter oreille aux faucons dont il avait eu déjà à dire en son temps qu’ils «creusaient sa tombe».
L’Union pour la nouvelle république (UPNR) de Louis Gaston Mayila, n’est pas la seule formation politique de l’opposition à avoir boycotté le meeting de l’Union des forces du changement (UFC), le 21 septembre dernier à Rio. L’Union du peuple gabonais (UPG), s’est également abstenu d’y prendre part.
Ce qui se dit ou s’écrit sur le président de la République gabonaise à l’étranger est toujours bon à savoir, même lorsque ce n’est pas valorisant pour l’image du pays en général. Un journal du Niger et un autre du Burkina Faso ont récemment tablé sur l’actualité du Gabon, en des termes qui ne sont pas toujours pour plaire. Ci-après, l’économie de ces articles.
Le président Ali Bongo Ondimba, aux États-Unis où il prend part aux assises de la 67e session de l’Assemblée générale des Nations unies, a annoncé, au cours de son allocution sur l’État de droit à la première réunion de haut niveau de cette session, son souhait de voir le Gabon briguer un nouveau mandat au Conseil des droits de l’Homme dès janvier 2013.