La société civile par le biais de l’organisation non gouvernementale (ONG) Brainforest, annonce la tenue du 11 au 13 juillet 2012 d’un atelier national sur la problématique de la tenure foncière (concession des terres par l’État qui en conserve la propriété) au Gabon. L’échec de la délimitation du domaine forestier rural sur l’ensemble du territoire qui renforce la situation de fragilité de populations déjà en proie à une pauvreté toujours croissante, est la cause de cette rencontre.
Comme annoncé au terme du New York Forum Africa, le 10 juin dernier à Libreville, la déclaration finale a enfin été présentée et elle comporte cinq points, présentés comme des propositions «concrètes» quant à l’amélioration du tissu des PME, l’intégration régionale, l’Afrique et le reste du monde, la coopération public/privé, l’efficacité de ce binôme et le développement durable.
La Cour constitutionnelle vient d’annoncer le rejet des recours en annulation introduits par certains membres des groupes candidats aux 99 siège de conseillers-membres du Conseil économique et social (CES), après les élections de mai dernier.
Pas du tout contente de ce que l’introduction de la biométrie dans le processus électoral ne permettra pas l’authentification des électeurs le jour du vote, l’opposition a appelé le gouvernement à l’application de cette technologie jusqu’au terme du scrutin. Ce qui est un préalable à sa participation aux élections locales de 2013.
A l’instar de la communauté internationale, le Gabon a célébré le 20 juin la journée mondiale du réfugié. A l’occasion de cette manifestation, le représentant du Haut Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés (HCR), Louis Michel Mboana, a affirmé que le nombre de réfugiés et demandeurs d’asile a diminué au Gabon, passant de 13 000 à 4 141 réfugiés issus de 20 nationalités.
Le président de la République gabonaise, Ali Bongo Ondimba, devrait rencontrer son homologue français, François Hollande, dans la première semaine de juillet, après des rendez-vous manqués, dus notamment à l’agenda très chargé du numéro un français.
Prenant part à la conférence des Nations unies sur le développement durable, Rio+20, un peu en marge du raout médiatique de la conférence elle-même, le président gabonais, Ali Bongo, a participé au dialogue sur la «Comptabilisation du capital naturel» auquel prenaient part, à l’initiative de la Banque mondiale, des représentants de plus de cinquante pays et 86 entreprises privées.
Afin de garantir un État impartial et moraliser la vie publique, les institutions de la République se doivent de ne pas être politiquement marquées. A contrario, elles devraient comporter une certaine pluralité politique. Ce qui est loin d’être le cas au Gabon où la composition du Conseil national de la communication (CNC) est manifestement contraire au principe de l’apparence d’impartialité.
Le président gabonais Ali Bongo Ondimba se rend à la Conférence des Nations unies sur l’environnement et le développement, plus connue sous le nom de Sommet de la Terre de Rio de Janeiro ou Sommet de Rio. Lors de ces assises qui se déroulent les 20, 21 et 22 juin prochains, il aura à présenter la vision du Gabon en matière de développement durable.
A la suite des démissions de Claudio Ndemby Nzinga et de Bonaventure Nzigou Manfoumbi, la branche dite des « Loyalistes » de l’Union du peuple gabonais (UPG, opposition) a tenu une conférence de presse à la Chambre de commerce de Libreville, à travers laquelle elle a passé en revue de nombreux points en qualifiant de «non-événement» ces démissions.