Un nuage d’abeilles a semé la panique au quartier Sindara de Port-Gentil, le dimanche 25 mars dernier aux environs de midi : des nuées d’abeilles dont les témoins ignorent l’origine, ont attaqué les habitants et les passants.
Après avoir disparu, non sans avoir alimenté la chronique il y a un bon nombre d’années, le phénomène de voleur de sexe a été signalé dans le deuxième arrondissement de Libreville. Par un simple toucher certaines personnes pourraient faire disparaitre le sexe de leur cible. Magie blanche ou noire ? Berlue ou simple rumeur de panique ?
Le meurtre de l’adjudant-chef Marcel Mayombo, il y a quatre mois dans la province de la Ngounié, serait en train de trouver son épilogue avec le placement sous mandat de dépôt de quatre militaires en service actif.
Les conditions de l’assassinat qu’aurait perpétré, le 17 mars dernier à Bizango-rail, Alain Makaya sur sa mère, montent doucement au grand jour, au fur et à mesure qu’évolue l’enquête de la Police judiciaire.
La Police judiciaire (PJ) vient de démanteler un vaste réseau de contrefaçon d’ouvrages d’écrivains gabonais. De nationalité camerounaise, les dix présumés faussaires ont été présentés la semaine dernière au parquet de Libreville.
Un énorme embouteillage a été causé le 16 mars dernier sur l’artère principale du quartier Akébé-Frontière à Libreville où une jeune dame a été retrouvée nue, perchée sur une toiture et immobile durant des heures. Sorcellerie, magie noire, comme l’affirment certains, ou début de folie ?
Révélée par le satirique La Griffe, l’affaire d’un mercenaire Espagnol projetant de tuer le président gabonais Ali Bongo, avait fait grand bruit à la fin de l’année dernière. Nommé Bescos Turullenque José, le présumé mercenaire a bénéficié d’un non-lieu, selon Echos du Nord. Un micmac journalsitique.
Il ne passe plus un jour à Libreville sans quon découvre un corps. Si ce ne sont pas les quotidiens L’Union ou Gabon Matin qui les plaquent dans leur page fait divers, ce sont les gens, eux-mêmes qui en font leur principal sujet de discussion. Qu’en est-il exactement ?