La première édition de la campagne initiée par la Fondation Sylvia Bongo Ondimba (FSBO) livre ses premiers résultats. 1 210 femmes ont déjà été examinées et 30 339 appels ont été reçus.

L’opération Octobre Rose, dans la rue. © D.R.
L’opération Octobre Rose, dans la rue. © D.R.

 

Lancée il y a plus de 2 semaines, la campagne «Octobre Rose» initiée par la Fondation Sylvia Bongo Ondimba (FSBO), continue de battre son plein. Dans la province de l’Estuaire, de nombreuses structures de santé enregistrent plusieurs centaines de femmes désireuses de se faire dépister. Selon de récentes informations recueillies auprès des organisateurs, 1 210 femmes ont déjà été examinées. Et au nombre de celles-ci, 109 ont été référées dans des centres de diagnostic pour des suspicions de lésions précancéreuses du col de l’utérus, quand 50 l’ont été pour des suspicions de tumeur au niveau du sein. Des femmes qui, rappelle la Fondation Sylvia Bongo Ondimba, sont directement prises en charge sans qu’aucun frais ne leur soit demandé pour le traitement.

De même, si les consultations doivent se poursuivre tout au long du mois courant, une campagne de sensibilisation est menée à travers divers lieux de la capitale. A ce jour, elle a déjà enregistré 29 626 personnes, hommes et femmes, sensibilisés directement par les volontaires disposés sur le terrain. L’on rapporte par ailleurs que 30 339 appels ont été reçus au 14 55, la ligne gratuite et anonyme mise à la disposition des populations nécessitant des informations.

 

 
GR
 

1 Commentaire

  1. citoyen révolté dit :

    JE LANCE UN APPEL à tous les enfants de nos pseudo riches du Gabon, vous tous dont les parents ont contribué a la misère de 80% des gabonais, vous tous dont les parents ont pillés le pays pour vous financer des études en occidents pendant que l’école gabonaise est délabrée, vous tous qui allez dans les boites de nuits claquer des bouteilles de champagnes, depenser des millions que vous volé a vos parents qui volent le Gabon, vous tous qui continuez a croire que ce schema va perdurez, ressaisissez vous, parlez à vos voleurs de parents dans les maisons, dites leurs qu’ils ont fait et qu’ils font du mal à 80% des gabonais, dites leur que c’est vous qui porterez les « pots-casser » lorsqu’ils partirons, dites leurs d’arreter les crimes économiques, vous etes avant tout des gabonais, ne vous contentez pas de voyager et de beneficier des biens mal acquis par vos parents, rectifiez le tire, car nous n’allons pas accepter que vous reproduisiez les memes schema que vos voleurs de pères qui vous ont envoyé étudier en occident sur le dos de la misère de 80% des gabonais…

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