Banques : Huguette Oyini, DGA de BGFI Holding
L’actuelle directrice de la gestion globale des risques secondera désormais Henri-Claude Oyima.
Jusqu’ici à la tête de la direction de la gestion globale des risques, Huguette Oyini a été promue directeur général adjoint de BGFIBank. Selon le conseil d’administration, qui a entériné cette décision, le 3 juin dernier, après quinze ans d’expérience dans la maison, elle a fait ses preuves. «Elle présente toutes les aptitudes pour accompagner au mieux les importantes ambitions de développement du groupe», ont estimé les administrateurs.
Pour le président de BGFIBank, la nouvelle promue contribuera à l’efficacité opérationnelle du groupe. «Cela permettra de favoriser l’efficience dans l’animation des différentes filiales et l’accélération globale de ses performances», a dit Henri-Claude Oyima.
Huguette Oyini a intégré le groupe BGFIBank en janvier 2002 en qualité de gestionnaire des garanties et assurances. Pendant huit ans, elle a assuré successivement la supervision des activités liées à la gestion des engagements, avant d’intégrer le comité de direction en janvier 2010, en qualité de directeur des engagements et des affaires juridique. En septembre 2012, elle a été promue à la direction du crédit groupe, puis à la direction de la gestion globale des risques.
5 Commentaires
C’est une très bonne chose les femmes occupent maintenant de plus en plus des postes à responsabilité. Et cela entre dans projet du chef de l’état de donner au femme la gestion des choses très importantes. L’égalité des chances.
kié!, pendant 50 ans les mêmes noms ont le vent en poupe au gabon :
oyiba
oyini
oyima
oyabi
okologo
okouma
Le Gabon a été crée pour eux, puis qu’ils sont tous des directeurs dans une même province!
Sure sure, Madame oyini prendra la tête de BGFI Holding dans 1 an max, oyima partant à la retraite dorée siné dié….!
Même constat mon frère et on espère que c’est la compétence qui prime ? parce que l’on juge toujours le maçon au pied du mur.
Les femmes mériterons encore plus parcequelles le valent
vive l’égalité de chance au gabon