Le New-York Forum Africa (NYFA) qui s’est déroulé trois jours durant (8, 9, 10 juin) dans la capitale gabonaise, Libreville, en présence de nombreuses personnalités du monde des affaires, du sport, de la santé, du social et de la politique, s’est achevé ce dimanche soir avec une nouvelle participation du président gabonais, Ali Bongo Ondimba. Pour cette clôture, l’ensemble des participants s’est auto-congratulé sans vraiment expliquer ce qui va en découler en pratique.
La commémoration de la semaine nationale de l’environnement était axée, à Port-Gentil, sur la sensibilisation des jeunes des lycées et collèges, le nettoyage des plages, une exposition concernant les entreprises locales et des animations permettant de présenter les enjeux de l’économie verte.
De production artisanale, les chips de banane plantain, les croquettes de farine de blé et les arachides grillées sont, depuis un bon moment, proposés à la vente dans les grandes surfaces commerciales du centre ville de Port-Gentil. Une initiative de Denise Mabiala méritant d’être encouragée.
6e ville la plus propre du Gabon, la capitale de la province de la Ngounié, au Sud du Gabon, croupit pourtant sous les hautes herbes, même dans les quartiers habités. La ville ne connaît cependant pas le phonème d’amoncèlement des immondices que l’on rencontre dans les autres villes du pays.
Formé à l’Ecole nationale d’arts et manufacture de Libreville à la fin des années 70, Jules Anicet Agouga Mbongo Popa s’est installé à Port-Gentil. Il est le promoteur d’un petit atelier qui offre des prestations concernant le graphisme, l’imprimerie, la décoration, la publicité, la conception de logos, la sculpture et la céramique. Des connaissances qu’il transmet à sept jeunes intéressés par ces œuvres de l’esprit.
Durant le congrès ordinaire du Centre des Libéraux réformateurs (CLR), tenu du 1er au 3 juin à Libreville, Jean Boniface Assélé, président-fondateur de cette formation qui se réclame de la majorité républicaine pour l’émergence, a dénoncé selon le site gabonactu.com, la cabale menée par des membres du Parti démocratique gabonais […]
Attachés aux nouveaux moyens de communication et d’information (téléphone portable, internet et télévision numérique), les habitants de la ville du sable (Port-Gentil) sont en proie à un nouveau type de délestages : la rupture quotidienne des réseaux.
Les délinquants juvéniles et les personnes subissant les erreurs judiciaires sont, depuis deux ans, la préoccupation d’une organisation non gouvernementale, «La Voix des Oubliés». Celle-ci a récemment séjourné dans le Sud du Gabon où elle a sensibilisé le milieu scolaire et visité les centres carcéraux.
La ville du milieu, Lambaréné, vit depuis trois jours au rythme des coupures d’électricité et d’eau. Une situation nouvelle qui pénalise les populations et ralenti certaines activités économiques sur les deux rives du Komo
Face au caractère inopérant des sessions criminelles spéciales et au risque d’une instauration de l’impunité quant aux crimes dits rituels, l’Observatoire national de la démocratie suggère la mise en place d’une commission chargée d’en recenser tous les cas depuis 22 ans et prône le classement de cette catégorie de délits en crimes contre l’Humanité.