Deniers des fêtes tournantes: L’UN entre la vérité et le soutien à Eyéghé Ndong
Dans une déclaration faite le 6 septembre dernier, à son siège de l’ancienne Sobraga, l’Union Nationale (UN, parti de l’opposition dissout) a marqué son soutien sans réserve et sa confiance totale à son vice-président mis en cause dans l’affaire des fêtes tournantes.
Alors que les enquêtes sur les malversations financières supposées dans la cadre des fêtes tournantes suivent leur cours, l’Union Nationale a tenu à livrer son sentiment sur la mise en cause de l’un de ses vice-présidents. Dans une déclaration rendue publique le 6 septembre dernier, Raphaël Bandega Lendoye a donné la lecture que sa famille politique fait de cette affaire. Reconnaissant, d’entrée de jeu, avoir encouragé son vice-président dans sa volonté de répondre publiquement aux accusations qui font de lui, à titre provisoire, le comptable de fait d’une somme d’argent de 98 milliards 300 millions de francs perçue du Trésor public en qualité de président du Comité des fêtes tournantes de la province de l’Estuaire entre 2006 et 2007, il a apporté un soutien franc et clair à Jean Eyéghé Ndong, indiquant «souscrire totalement aux arguments qu’il a développés dans sa déclaration». De ce fait, il invite tous les militants et sympathisants de son parti à «associer leurs documents et leur mémoire pour rétablir la vérité, toute la vérité, sur les fêtes tournantes et ceux qui doivent en rendre compte».
La procédure utilisée par la Cour des comptes dans cette affaire est toutefois qualifiée de «bâclée et inquisitoriale». Ainsi,l’Union Nationale estime qu’elle «ignore la présomption d’innocence et les droits de la défense, fondement essentiels du droit pénal gabonais». En conséquence, tout en marquant sa désapprobation, le parti dirigé par Zacharie Myboto craint que l’on ne soit face à une «instrumentalisation de la justice à des fins politiciennes et une manœuvre tendant à noircir l’image de Jean Eyéghé Ndong, de l’Union Nationale et de toute l’opposition». «L’Union Nationale dénonce cette volonté de nuire cherchant à faire assumer par l’opposition toute la responsabilité d’un grand déballage qui détourne le regard des Gabonais de la gestion apocalyptique de leur pays, de son pillage à grande échelle par Ali Bongo et sa légion étrangère, et qui les empêche de se poser les bonnes questions», a déclaré Raphaël Bandega Lendoye.
Selon le vice-président de l’Union Nationale, la préoccupation actuelle des Gabonais est toute autre. Il s’agit d’obtenir des dirigeants du pays des réponses claires sur la destination des 450 milliards de francs du dernier emprunt obligataire, l’origine de l’argent ayant servi à l’acquisition de biens immobiliers se chiffrant en centaines de milliards de francs en France, en Angleterre, aux Etats-Unis (…) au bénéfice d’Ali Bongo, les raisons des versements réguliers réalisés par le Trésor public à son épouse américaine, etc. «Ali Bongo doit savoir qu’il rendra compte des budgets qui ont été généreusement affectés, notamment à l’occasion des fêtes tournantes, au ministère de la Défense», a-t-il indiqué.
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Quand la panique gagne les rangs de l’opposition on retrouve ce genre de discours. Il aurait été plus intéressant que l’ opposition puisse demander à chacun de ses leaders de faire le point aux gabonais sur leurs rôles respectifs dans la gestion des fêtes tournantes et présenter un bilan de l exécution des dotations budgétaires mises à leur disposition dans ce cadre. Cela permettrait qu’ils puissent demander la même chose à ceux de la majorité.
Tous les gabonais savent que le choix des investissements à réaliser, les montants affectés aux entreprises, et le choix des entreprises ont été du ressort de chaque responsable politique dans les différents départements.
Alors qu Eyeghe Ndong et ses amis rendent simplement compte aux gabonais au lieu de choisir la gesticulation politique sur ce dossier.
Dites moi Mabé il y-a que les membres de l’opposition qui ont gérées l’argent des fêtes tournantes? Pourquoi vous êtes comme la Tour de Pise
Il n’y a pas que l’opposition qui a géré les fêtes tournantes mais elle a géré quand même qu’elle le reconnaisse. La plupart de ces opposants ont été des décennies durant dans le PDG, ils ne vont pas dire qu’ils n’ont rien vu passer se serait prendre les Gabonais pour des « imbéciles ».
Cette opposition, qu’elle s’achète une caution morale, qu’elle redore son image, même si ça parait incroyable en politique, qu’elle avoue ses fautes.
Elle ferait bien d’effectuer son propre bilan, son propre procès en la matière afin de dissiper tous doutes et de clarifier les choses au lieu de toujours balayer les ordures sous le tapis.
Elle ne devrait pas fondé sa politique uniquement en accusant ou en « insultant » le Président et leur ancien parti.
Il n’y a que comme ça, en mon sens, qu’elle pourra légitimement demander les faveurs du peuple Gabonais.
Ce qui compte, ce n’est pas de soutenir Eyéghé Ndong mais de souscrire à la vérité car s’il s’avère que Eyéghé Ndong est mouillé lui aussi, ses soutiens vont eux aussi se ridiculiser.
Tout le monde est mouillé mon cher ami,TOUS
Et ceux qui n’ont pas les defenseurs et qui paraitrait sont impliqué? je pense que si nous voulons que ce pays ce genre des situations cessent on doit punir , matraquer avec la dernière energie les coupables, sinon le pays n’avancera pas, en chine le detournement d’argent public quelque soit le montant c’est la prison au moins 50 ans et on recupere tous les biens de l’interessé.
Mais au Gabon, toujours la justice pour les pauvres et les éléphants sont toujours dans la rue.
La justice est pour tous c’est pas un groupe d’individu qui se retrouve pour dire on defend X. c’est comme si quand la personne impliquée a gérer cet argent avec vous, LE CHAGEMENT, C’EST PAS LE POUVOIR MAIS ÇA TOUT. IL FAUT LAISSER EYEGHE AFFRONTER LA JUSTICE SEUL.Dans les pays où la justice travail mais tous ceux qui sont cité dans cette affaire d’argent des fêtes devraient être arrêter jusqu’à la fin de l’enquête on a vu l’ex Directeur de FMI ou M. Chirac, Sorkosy la dernière fois. mais non les personnes cités sont dans la rue pour qu’ils embrouillent l’enquete. ,
Bien envoyé, très cher Raphaël BANDEGA LENDOYE.
ce qui est gênant dans cette affaire,ce que vous nous donnez une impression gênante!parce qu’on se rend compte que c’est une affaire entre voleurs!du genre comme tu me trahi moi aussi je vais te trahir!et le peuple dans tout ça?fallait il attendre qu’il soit poursuivit par la cour des compte pour sortir les dossiers qu’il a?Si le pouvoir est sans scrupule,vous les anciens voleurs de la République par cette manière d’agir et de procéder vous ne l’êtes pas moins§!AMO,n’attendait pas qu’il soit mis en causes pour dire les vérités sur le système auquel il a appartenu!Bref redonnez nous confiance et soyez clair,merci§
Arreter de ns distraire il y’a des vrai pb
Les gens qui ont détourné les fonds publics au Gabon sont aussi bien dans l’exécutif actuel que dans l’opposition.Notre pays a besoin d’autres discours aujourd’hui que sont, l’amélioration des conditions de vie des populations démunies, le logement, les infrastructures routières, la santé, les écoles et universités qui accueillir les étudiants gabonais et da’illeurs etc. Qui a détourné ou qui n’a pas détourné c’est du passé!!!! ALI, AMO,NZOUBA NDAMA, PING, EYEGHE NDONG, NGOULAKIA,MASSIMA,NGARI etc ont tous été aux affaires et ont appliqué la règle du jeu à l’époque: Plus tu voles plus tu as la promotion. Le peuple a trop souffert, il attend les fruits de la croissance, si croissance il y a. De grâce parlez-nous d’autres choses!!!!!!!!!!!!
Comme on dit pays bananeux, manioqueux…c’est quel pays ou le trésor national peut remettre entre les mains d’un individu une somme aussi gigantesque… Le mode de débloquement de liquidité au niveau du trésor doit être revu car n’importe qui peut se servir directement dans les caisses de l’état… Ou bien?
Ali Bongo en 5 ans a volé plus que ne l’a fait Omar Bongo en 42 ans de pouvoir! Achats d’hôtels privés par ci, versement de sommes astronomiques par le Trésor et par le biais d’Acrombessi (affaire des mallettes) à son épouse aux USA, ça en fait trop! Et c’est lui qui veut donner des leçons aux gens. Fous toi bien de la gueule des gabonais, tout ça aura une fin. Et tu rendras des comptes car ce serait trop facile de fuir au Qatar où tu investis ou je ne sais où.
QUEL LANGAGE VOULEZ QU’ON UTILISE?
Jean Ping montre la Lune, on regarde son doigt!!!
Radembino Coniquet René Secrétaire Général de la Présidence de la République pendant trente huit (38) ans dit simplement ceci en langage Bantou:
Omar Bongo Ondimba est mort en fonction, Président de la République Gabonaise Chef de l’Etat pendant plus de quarante (40) ans. Donc Père de la Nation près d’un demi siècle! Les gabonais doivent pour cela, comme cela se fait dans notre « Tradition Bantou » faire impérativement le Retrait de « Deuil National » d’Omar Bongo Ondimba, Président de la République Gabonaise Chef de l’Etat. Et « Organiser la Grande Palabre » traditionnelle Africaine Bantou Kamite. Ce retrait de deuil qui se fera selon notre tradition permettra de vider tous les contentieux post-mortels, faire le bilan d’étape et fixer le Cap du Millénaire ((Constituante)) pour notre Pays et l’Afrique.
« La Palabre Africaine »
Nous sommes « Le Berceau de l’Humanité, le Flambeau des Nations et la Lumière de Civilisation ». L’Afrique en général et le Gabon en particulier doivent guider pour ce « Nouveau Millénaire » toute l’Humanité qui sombre dans le chaos civilisationnel Occident/Orient.
Une Aurore Nouvelle a annoncé le dimanche 17 août 2014, l’Eveil de la Nouvelle République et l’Indépendance Réelle du Gabon et de l’Afrique.
« UNITÉ – CONCORDE – FRATERNITÉ »
L’Adhésion au mouvement « ÇA DOIT SE FAIRE MAINTENANT » est libre.
(Les plus Grandes Victoires sont Pacifiques).
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« Le Patriote »
Contact : 07364378/05226928
Voir: L’avis de René Radembino Coniquet sur la conférence nationale souveraine
https://www.gabonreview.com/blog/lavis-de-rene-radembino-coniquet-sur-la-conference-nationale-souveraine/
Déclaration soutien de l’Union Nationale au Vice-président, Monsieur Jean EYEGHE-NDONG, Ancien Premier Ministre.
(6 septembre 2014)
L’Union Nationale a suivi avec attention les incriminations du Pouvoir dit émergent contre son Vice-président, Monsieur Jean EYEGHE NDONG, ancien Premier Ministre, qui le déclarent, à titre provisoire, comptable de fait de sommes d’argent qu’il aurait reçus du Trésor public, en sa qualité de Président du Comité des fêtes tournantes de la province de l’Estuaire pour les années 2006 et 2007. Ces sommes s’élèveraient respectivement à 1 milliard 300 millions de francs CFA et à 97 milliards francs CFA, soit un total de 98 milliards 300 millions de francs CFA.
L’Union Nationale a encouragé son Vice-président dans sa volonté de répondre publiquement à ces accusations. Elle s’est tenue à ses côtés lors de sa conférence de presse du 29 août dernier.
Après avoir écouté les explicitations du Vice-président Jean EYEGHE NDONG, puis, par la suite, analysé le rapport d’audit commis à cet effet par la Cour des Comptes, le Bureau National du Parti tient tout d’abord à marquer son soutien sans réserve, sa confiance totale au Vice-président Jean EYEGHE NDONG, et souscrit totalement aux arguments qu’il a développés dans sa déclaration.
L’Union Nationale tient ensuite à marquer sa désapprobation face à une procédure bâclée et inquisitoriale qui ignore la présomption d’innocence et les droits de la défense, fondements essentiels du droit pénal gabonais. L’Union Nationale y voit l’instrumentalisation de notre justice à des fins politiciennes et une manœuvre tendant à noircir l’image de Monsieur Jean EYEGHE NDONG, de l’Union Nationale et, au-delà, de toute l’opposition.
L’Union Nationale dénonce cette volonté de nuire cherchant à faire assumer par l’Opposition toute la responsabilité d’un grand déballage qui détourne le regard des Gabonais de la gestion apocalyptique de leur pays, de son pillage à grande échelle par Ali Bongo et sa légion étrangère, et qui les empêche de se poser les bonnes questions sur leur existence actuelle notamment celles de savoir où sont passés les 450 milliards de francs CFA du dernier emprunt obligataire? Avec quel argent Ali Bongo a acquis des biens immobiliers se chiffrant à des centaines de milliards de francs CFA en France, en Angleterre, aux Etats Unis et ailleurs dans le monde? Pourquoi lui qui n’avait au Gabon ni case en paille, ni case en bois peut-il ériger désormais des propriétés de plusieurs milliards de francs CFA? Pourquoi c’est le trésor public qui verse de l’argent à son épouse américaine ? Pourquoi ce mécontentement dans le pays marqué par le développement des formes désespérées de lutte dans lesquelles les Gabonais n’hésitent plus à mettre en péril leur vie même ?
L’Union Nationale s’étonne de ce qu’Ali Bongo, qui a participé à tous les gouvernements depuis les années 90 soit obsédé aujourd’hui par le désir d’apparaitre comme un homme neuf. Il doit savoir qu’il rendra compte des budgets qui ont été généreusement affectés, notamment à l’occasion des fêtes tournantes, au ministère de la défense.
L’Union Nationale réaffirme sa volonté de toujours se tenir aux côtés de ses membres injustement incriminés et appelle le peuple gabonais à redoubler de vigilance pour ne pas céder aux entreprises démagogiques d’un Pouvoir prédateur et calculateur qui dilapide comme jamais les deniers publics et ne se préoccupe que d’organiser sa pérennité.
L’Union Nationale affirme qu’en s’en prenant à son Vice-président, le pouvoir émergent a voulu tester la capacité de certains de ses membres à répondre de leur gestion au pouvoir. Elle prendra sa part à la clarification de la gestion des fêtes tournantes. Elle demande à ses membres et à ses sympathisants d’associer leurs documents et leur mémoire pour rétablir la vérité, toute la vérité, sur les fêtes tournantes et ceux qui doivent en rendre compte.
Je vous remercie
Les plus grands voleurs du GABON c’est Ali et sa légion étrangère. Il doivent commencé par s’auto-sactionner ainsi on saura que sa quête vers l’impunité est légitime…
Sans être ni un pourfendeur invétéré ni un défenseur acharné de la politique de l’émergence du président ali bongo ondimba, j’estime cependant qu’il y a beaucoup d’agitation sur le présent site et que certains internautes, derrière leur clavier, oublient qu’ils parlent d’un sujet difficile : la politique. J’ai appris ici que les pédégistes sont régulièrement sur le terrain, avec un impressionnant trésor de défauts saupoudré de quelques qualités. En politique, c’est ce qu’il faut faire : se montrer, parler, être présent sur le terrain quel que soit ce qu’on dit ou fait. En France, à ce sujet, on parle des célèbres pets de jean-marie lepen, fondateur du front national. Ali bongo n’est pas l’initiateur des projets de travaux publics réalisés en ce moment au Gabon ou récemment sur le territoire national, et qui délivrent (enfin) des régions entières de leur enfermement. C’est sans importance mais il va en tirer un avantage certain demain sur le plan politique. Parce qu’il a des émissaires qui ressassent aux oreilles des électeurs la publicité mensongère qui s’y rapporte. Devant cette instrumentalisation des moyens de l’Etat, l’opposition a l’air démunie. Ali bongo ne pourra tomber que sur un seul motif, ni aucun autre : son acte de naissance. Tous les barons du PDG et autres, qui ont cautionné l’imposture de sa précédente candidature et validé sa soi-disant élection, sont parvenus à condamner le Gabon devant l’Histoire : quel crédit accorder aux actes officiels signés aux plans national et international par un président illégalement intronisé au regard des lois même de son propre pays ? Faut-il reproduire la même erreur la fois suivante ?
il est bien beau que le frond national parle de detournement d’argent des fetes tournantes ok! mais EYEGUE NDONG etait à cette periode PM de ce pays à l’epoque de Bongo tout puissant n’a til pas mit aussi la main dans la pate? alord ne racontons pas d’histoir si ces hommes ont fains et se sentes ecartés, kil demande de l’aide avec la manière au président de la republique au lieu de reniffler et de tout cela ne soyons pas ingra les routes on deja une avencées dans cetaines provinces et bien d’autre choses on ne peux pas jujer quelkin en un mandat, ce vrai k ce le rgime Bongo mais jugeons le au deuxieme mandat
La preuve que ces enquetes sont farfelues, c’est en voyant des gabonais betes tomber dans le panneau du FILS HERITIER DU CHEF DES PILLEURS DU GABON. pOUR MEMOIRE CHERS COMPATRIOTES, je vous rappel que le pillage du Gabon a commencé en 1967 avec l’arrivée au pouvoir du CHEF DES PILLEURS DU GABON ET TOUTE SA LEGION FAMILLIALLE. dONC JE REPOSE MA QUESTION, qu’est ce que les BONGO ont fait du Boom Petrolier que le GABON a connu dans les année 1970?
En effet, la strategie de l’amalgame employée par le RAIS emporte les ignard,mais certains ont la lucidité de distinguer kes uns des autres. En d’autre terme, celui qui a pillé 4000 Milliard (Legion familliale des Bongo), n’est pas comparable a celui qui a « volé » 98 Milliard
Quand au « petit là », je vous rappel qu’il n’est pas vertueux, je ne crois pas que ce soit pour ses qualités d’orthodoxie budgetaire qu’il a reigné pendant 10ans au ministere de la defense. Il ne peu donner de lecon a personne et il n’est pas credible
au « jeune diplôme chômeur sans pistons » LAISSE LA POLITIQUE. Trouve d’abord un emploi… qui de l’opposition DPG-facheux n’est comptable de la situation actuelle du pays? Que tous ceux qui ont geré les fêtes tournantes pour la réalisation des ouvrages biens précis dans des localités concernées viennent justifier leurs dépenses… C’EST TOUT!!!
Il n’y a pas que l’opposition qui a géré les fêtes tournantes mais elle a géré quand même qu’elle le reconnaisse. La plupart de ces opposants ont été des décennies durant dans le PDG, ils ne vont pas dire qu’ils n’ont rien vu passer se serait prendre les Gabonais pour des « imbéciles ».
Cette opposition, qu’elle s’achète une caution morale, qu’elle redore son image, même si ça parait incroyable en politique, qu’elle avoue ses fautes.
Elle ferait bien d’effectuer son propre bilan, son propre procès en la matière afin de dissiper tous doutes et de clarifier les choses au lieu de toujours balayer les ordures sous le tapis.
Elle ne devrait pas fondé sa politique uniquement en accusant ou en « insultant » le Président et leur ancien parti.
Il n’y a que comme ça, en mon sens, qu’elle pourra légitimement demander les faveurs du peuple Gabonais.