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Présidentielle 2016 : La commission médicale sur pied
Chargée de se prononcer sur l’aptitude ou non des candidats à l’exercice de la fonction de président de la République, une commission médicale vient d’être mise en place.
© Gabonreview/Shutterstock
Pour la prochaine présidentielle, le ministère de l’Intérieur a mis en place une commission médicale. Présidée par Romain Tchoua, elle est «chargée de prononcer l’aptitude ou l’inaptitude des candidats à l’exercice de la fonction de président de la République au titre de l’élection présidentielle». Convoquée uniquement à la demande de son président, cette commission compte trois membres, notamment Jean Emmanuel Ecke Nzengué, Jean Massande et Eric Baye.
Les candidats déclarés à la présidentielle 2016 subiront une batterie d’examens biologiques (hémogramme, calcémie, glycémie, etc.) et d’imagerie (radiographie pulmonaire et électrocardiogramme). «Les examens médicaux sont effectués dans les services du Centre hospitalier universitaire de Libreville (CHUL). Les prélèvements sont anonymes et codés», a précisé le ministère de l’Intérieur, annonçant que les lieux et dates de passage de chacun des candidats leur seront communiqués 48 heures à l’avance.
12 Commentaires
Le ministre de l’intérieur doit aussi créer un commission chargé de faire la vérification des actes de naissances dans les dossiers de candidatures.
Nous attendons aussi la commission chargée de vérifier les actes de naissance et d’organiser les tests ADN. On a besoin d’un vrai gabonais à la tête du Gabon.
N’y a t il pas un médecin personnel parmi les membres de cette commission ? conflit d’intérêt…ou Gabossa
Un motif de découragement de plus, comme par hasard une commission médicale en 2016 pourquoi ne pas l’avoir crée en 2009?. En tout cas les candidats Devraient être vigilants ATTENTION AUX ELIMINATIONS PHYSIQUES par voir voie médicale avant les élections.
Il y a eu l’annonce, par la cenap, de la caution de 20 millions.
Il y a eu l’annonce, par le ministère de l’intérieur, de la commission médicale.
Qui va annoncer la liste des documents administratifs à fournir et quand?
Romain Tchoua Directeur general de l’hopital militaire (nomination)Emmanuel ecke chef de service au CHU(nomination) Jean massande membre du bureau politique PDG ancien sénateur PDG, eric baye DG hopital général (nomination) est- ce là la parade trouvée par Ali pour se débarrasser de quelques adversaires gênant? Dans tous les cas j’espère que la fameuse commission n’aura pas trop de mal à aboutir sur les conclusions que voici http://koaci.com/tribune-urgent-gabon-sante-dali-bongo-inquiete-71391.html
Je ne connais pas le détail de la loi électorale,donc je parle avec reserve.Par contre ce que je sais c’est que chaque candidat doit apporter un dossier dans lequel figure un acte de naissance valable et en bonne et due forme.Aussi eje comprend qu’il est de bon sens qu’on y apporte aussi un certificat médicale. Mais la question est la suivante: la loi dit elle que c’est le ministre de l’intérieur qui met en place une commission ad hoc, avec des membres choisis par ses soins et définit quels paramètres biologiques doit on examiner?
Autre chose,la CENAP a dit,en un mot, qu’elle ne connaissait pas encore le listing des documents exigibles,et voila que le ministre vient parler de commission médicale(certificat médicale)…Quoi cette liste est livrée au détail?
La manoeuvre est simple: on veut sauver Ali en passant outre l’article 10 de la Constitution et éliminer tel ou tel autre candidat par une commission médicale acquise à la cause.
Candidats du changements et peuple soyons vigilants!
On devrait faire la même chose pour tous les candidats à chaque élection (législative, municipale ou même sénatoriale) sans oublier de leur faire un teste de HIV..!
Attention!attention! attention! au(x) candidat(s) de l’opposition! Cette fameuse commission est-elle à parité? Ces médecins ne seraient-ils pas tous membres du BP du parti des nasses? Et si les aiguilles ciblées, utilisées pour les différents prélèvements des candidats étaient empoisonnées? Et si les résultats d’examens sont tronqués à dessein dans le but de disqualifier les candidats potentiels et gênants? Les émergents faussaires, à la tête de l’état, noyés par tant de scandales innommables sont capables du pire pour s’accrocher « même à un serpent » (sic). Dans ce cas, il faudrait une commission paritaire indépendante pour les besoins de la cause. Encore que, il n’y a aucune certitude? Prudence, donc!
Ce sont des professionnels assermentés,ils ne peuvent pas se laisser manipuler comme vous semblez le craindre.Ceci étant,à quelques exceptions près, la plupart des candidats déclarés est septuagénaire,donc potentiellement malade.Si d’aventure la commission venait à leur trouver des tares,ce ne serait pas de la faute de celle ci…tant il est rare d’avoir une santé irréprochable au delà de 60 piges.le plus important est qu’ils disposent d’un intellect à même de leur permettre de gérer le pays.
C’est vrai qu’au delà de 60 ans, même si notre apparence physique n’a rien à envier à une personne de 40 anss, il n’en demeure pas moins vrai que l’âge de nos artères nous invitent plus à fréquenter les hôpitaux que les boites de nuit.
Ceci étant, j’ai du mal à contenir mon anxiété quant à cette fameuse commission, on sait comment les choses se passent chez nous, on est admis à l’hôpital militaire avec une petite fièvre et deux jours après on annonce votre décès ….
Le pouvoir ne fait rien pour rien, si un candidat septuagénaire venait à décéder, Ali Akbar Onanga avancerait sans sourciller que, vu son âge, il ne pouvait en être autrement, vu son âge.
Un pays où certains soutiennent les allégations d’une femme qui aurait accouché par césarienne en 1959, alors que cette pratique était inexistante en Afrique, devrait quand même nous amener à nous questionner quant à cette commission médicale.
En cas des malaises ils seront tout prêt