Quatre ans après la fermeture du ministère de l’Habitat : Quid du redéploiement des agents ?
Mis à la disposition de la Fonction publique depuis la fermeture du ministère de l’Habitat en 2011, des centaines d’agents attendent d’être réintégrés dans leurs administrations d’origine.
Depuis la fermeture brutale du ministère de l’Habitat en juin 2011, ce sont environ une quarantaine de cadres dirigeants et plus de 200 agents qui se tournent les pouces à longueur de journée à domicile, ou dans les couloirs du nouveau département de l’Urbanisme et du Logement. Explication de cet état de fait : l’absence de travail, ou plus exactement de document officiel leur permettant d’exercer au sein du ce ministère.
En effet, avec la mise en place de l’actuel gouvernement, le secteur de l’habitat a été scindé en deux départements distincts. Ce qui n’a eu pour effet que de complexifier davantage la situation des anciens agents congédiés sur décision du président de la République. Pourtant, si cette mesure avait été confirmée au cours d’un conseil des ministres, elle n’a jamais été formalisée par un document administratif officiel permettant de redéployer les agents. C’est, en tout cas, ce qui ressort d’une réunion organisée le 3 novembre courant. «En dehors de la décision du conseil des ministres selon laquelle les agents étaient mis à la disposition du ministère de la Fonction publique, aucun document ne permettait de les réaffecter dans leur département d’origine à la réouverture de celui-ci», a fait savoir le secrétaire général du ministère de l’Urbanisme et du Logement. Un imbroglio auquel l’actuel ministre de l’Urbanisme et du Logement tente désormais de trouver une solution. «Notre objectif est d’utiliser toutes les compétences dont dispose le pays dans divers domaines, et particulièrement dans le domaine de l’urbanisme qui est un secteur technique. L’idée, c’est que nous puissions accélérer la cadence (…) afin de permettre aux Gabonais de bénéficier d’un meilleur cadre de vie», a déclaré Désiré Guedon, non sans appeler les agents non affectés à prendre leurs responsabilités, en produisant depuis leur domicile, en attendant qu’un nouveau redéploiement soit effectif et que de nouvelles affectations soient décidées.
Si cette affaire est loin d’être banale, il ressort qu’en dehors du ministère de l’Urbanisme et du Logement, c’est toute l’administration publique qui est confrontée à cette situation. Faute de documents officiels leur permettant de réintégrer leurs administrations d’origine, de nombreux fonctionnaires se retrouvent sans affectation. Dès lors, de nombreuses questions fusent quant au bien-fondé de certaines décisions, leur application et leur suivi. «A la vérité, chacun de nous sait où il émarge, donc dans quel service précis il est tenu d’exercer. Mais si aujourd’hui certains sont contraints de rester dans leurs domiciles, c’est qu’ils ne trouvent pas de bureaux dans lesquels travailler, et ceux nommés à leurs places ne sont pas toujours prêts à céder leurs postes, d’autant qu’ils ne peuvent pas le céder : plusieurs d’entre nous ne possèdent pas encore d’attestations d’affectation», a déploré un ancien responsable du ministère de l’Habitat, se disant gêné d’être rémunéré à ne rien faire.
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C est un véritable échec. L ANUTTC doit être fermé. Il y a plus d opacité dans cette agence.
Quid du redéploiement des agents? On s’en fout d’eux. On leur pisse à la raie.
Le pays est en chantier, le Gabon change les routes,les hôpitaux, zone économique de NKOK et ses 6000 emplois créés, Stade de Port-gentil, celui d’Oyem, la marina, les 35000 logements construits et livrés, le Pozzo di Borgo, la résidence Oyo cédée à l’Etat, aujourd’hui on a que 30 élèves par classe tellement le président a construit des écoles, PSG, Le Brésil, Messi, le Barça, les transsexuelles brésiliennes… Les réalisation du PSGE sont tellement nombreuses que je ne peux toutes les citées et que fait Gabonreview? Il nous parle de 240 malheureux gabonais incompétents. Allez du balai laissez nous avancer.
Pour la nomination se référer à mon adresse mél, je postule pour le poste de porte parole de la présidence
A l’administration de GR, Monsieur Ndjimbi
Depuis la dernière sortie d’IKA ROSIRA, j’ai l’impression qu’elle nous boude, comment faire pour qu’elle nous revienne? elle n’a rien dit sur le traitement infligé aux femmes de la gare routière.
Ika peut-elle revenir? Nous avons besoin de notre adorable petite peste de GR (lol)
Très sérieusement est ce qu’elle nous boude?
Et pourtant au sujet de ces femmes, elle a commis un texte très fort, le 30 octobre dernier.
https://www.gabonreview.com/blog/cercle-vicieux/
Toutes mes excuses à GR et à IK
en lisant le Mbandja hier, j’ai pu lire la réaction de ma chère Ika
j’ai apprécié….C’est comme cela que je l’aime notre Ika.