Jean Ping : les notes d’une descente dans la Nyanga
Malgré les embûches tendues sur son passage par ses adversaires politiques, le président de la 59ème Assemblée générale des Nations Unies a fait passer son message dans le Sud-est du Gabon. Les notes essentielles d’un message qui était littéralement le même partout.
Jean Ping, néo opposant, qui estime que la pratique de la politique n’est payante que sur le terrain et non ailleurs, continue sa tournée, entamée il y a deux ans, dans l’hinterland gabonais. Il était dans la Nyanga du 18 au 23 septembre dernier, après l’Ogooué-Maritime, le Haut-Ogooué, le Moyen-Ogooué, la Ngounié, l’Ogooué-Ivindo et le Woleu-Ntem. Il est annoncé très prochainement dans l’Ogooué-Lolo et l’Estuaire.
Dans le Sud-est du Gabon, l’ancien président de la Commission de l’Union africaine (UA) qui a sillonné toutes les villes, départements, districts, regroupements de villages et villages, était notamment accompagné de Jean Eyéghé Ndong, dernier Premier ministre de feu président de la République Omar Bongo Ondimba, et de quelques autres personnalités.
À chacune de ses étapes, avant de livrer son message dit d’espoir, qui étrille les situations politique, économique et sociale du pays depuis des décennies, l’ancien président de l’Organisation des pays exportateurs du pétrole (OPEP) se présentait à la population en déclinant ses origines et son CV.
Pour Jean Ping, la situation politique du Gabon est loin d’être celle d’un pays démocratique. Car, les opposants y sont menacés de mort tandis que d’autres citoyens perdent leur emploi du fait de leur appartenance politique. «Dans la Nyanga par exemple, on veut nous empêcher de faire notre tournée par tous les moyens. Les villageois sont menacés. On refuse de nous servir le carburant et qu’on se loge dans les hôtels. Dans quel pays a-t-on vu cela ?», a fustigé l’ancien diplomate.
Abordant le chapitre économique, Jean Ping, au demeurant Docteur d’Etat en économie, a relevé que la province de la Nyanga est très riche. Elle a du pétrole, du marbre, du fer, un tourisme en latence et un fort potentiel en agriculture. Notant que le pétrole y est exploité depuis plusieurs années, il a relevé le paradoxe de la non-embauche des fils et filles de la province dans les compagnies qui l’exploitent. Une façon de faire qui, selon lui, augmente le chaumage. Abordant l’agriculture de cette province, il a indiqué que par le passé la Nyanga, tout comme le Woleu-Ntem, alimentait les autres villes du Gabon en produits agricoles comme la banane, le tarot, le manioc… parce que les plantations des Nynois (habitants de la Nyanga) produisaient beaucoup. «Depuis plusieurs années, vous ne pouvez plus cultiver à cause des éléphants qui détruisent vos plantations. Et ces éléphants sont protégés par le pouvoir qui vous tourne le dos», a laissé entendre Jean Ping. Pour lui, la loi recommande de ne pas tuer un éléphant dans un parc ou dans une réserve, quelle qu’en soit la raison. Mais celui qui sort de sa zone de protection et qui va détruire une plantation doit être abattu. «Quand ces gens du pouvoir viendront encore vous demander de voter pour eux, dites leur d’aller demander aux éléphants de voter pour eux», conseillait Jean Ping.
La Nyanga, a-t-il relevé, est la province des projets non réalisés. Et de citer, entre autres, la caserne de la Marine nationale, les aéroports, le port en eau profonde de Mayumba, la présidence de la République, le lycée Jean Pastis Moanda, l’hôtel de ville et le centre médical de Mayumba… «Ils viennent chanter ici qu’on a construit un pont sur la Banio. Un pont dont ils n’ont pas payé les travaux. Et pourquoi les travaux de la route ne sont pas terminés ? Qu’ils vous répondent», a-t-il ironisé. Ajoutant qu’en 50 ans le Gabon n’a construit que 3000 km de route et que «même la Guinée Equatoriale a fait plus de routes en peu de temps», Jean Ping dit trouver inacceptable que depuis ce temps, c’est la même famille qui dirige le pays sans le moderniser. «Les entreprises quittent le Gabon pour le Congo, la RDC, la Guinée Equatoriale et l’Angola parce qu’elles ne sont pas payées. Et c’est le chaumage assuré pour tous», a-t-il martelé.
Pour ce qui est de l’aspect social, Jean Ping a promis qu’une fois à la tête du pays, son équipe et lui doteront la Nyanga et tout le Gabon de tout le nécessaire (écoles, centres de santé et sportifs, etc.) tandis qu’au sujet de l’insécurité, il a martelé, «Je vous promets que nous allons ensemble libérer notre pays de la peur. La peur des crimes rituels. Il n’est pas normal que les criminels soient en liberté et ce sont les voleurs de poules qui sont en prison». Et de dénoncer ses adversaires qui, lors de son passage dans la Nyanga, auraient terrorisé les habitants pour qu’ils n’aillent pas l’écouter : «Ils interdisent qu’on nous servent du carburant, qu’on nous vendent du pain ou que l’on nous reçoivent dans les hôtels. Il y a même certains qui voulaient s’attaquer à nous physiquement». Sur ce, il promet de restaurer la paix, l’unité nationale, l’intégrité des Gabonais. «Les gabonais doivent aller où ils veulent sans être menacés ou tués. Nous allons reconstruire le Gabon sur cette base», a conclu Jean Ping.
Jean Eyéghé Ndong qui prenait souvent la parole avant l’ancien ministre des Affaires étrangères, a expliqué que, lors de la tournée de Jean Ping dans le Woleu-Ntem, les nordistes ont trouvé un acronyme pour dire ce que signifie le nom de l’ancien président de la Commission africaine : Personnalité Internationale de Nationalité Gabonaise (PING). Une trouvaille de l’ancien secrétaire général adjoint du ministère de la Jeunesse et des Sports, Daladier Hubert Minang, mise en musique par un artiste nommé Ngorgue.
Eyéghé Ndong n’a pas manqué de conscientiser les Nynois sur le choix du dirigeant du Gabon dans l’avenir. «Je suis fang et j’ai dit officiellement à Libreville, le 13 juin 2015, que je préférais Jean Ping comme candidat à la présidence de la République», a-t-il rappelé. Certains de ses frères fang lui auraient fait le reproche de ce choix, auxquels il a répondu : «l’élection d’un président de la République ne concerne pas les ethnies ou les tribus. Ce sont des affaires privées. C’est dans les affaires publiques où il s’agit de la citoyenneté. Pour moi, Jean Ping a des atouts et il doit diriger notre pays».
0 Commentaires
Je valide.
Luttons pour ne pas se laisser voler la victoire. Aux amis de l’Opposition, arrêtons de nous glisser des peaux de banane. L’adversaire c’est le pouvoir et son chef de file, boa.
Là il faut reconnaître que Ping a pris de l’avance sur les autres opposants, toc! toc! Moukagni, Myboto etc où êtes vous?
Eyeghé Ndong pitié de toi…. Te voilà réduit au statut de porte-bagages, de destructeur d’un parti que tu as contribué à créer…. Oui, les pauvres types existent….
Lekori ,
Que sais tu des strategies de ce parti?
Deux balles ne valent plus mieux qu’une ?
1 sur le terrain ( preparer le peuple, eduquer, ouvrir les yeux ..)
l’autre dans les bureaux, pour asticoter, bisquer , harceler les institutions , secouer la justice etc
Est ce que le but ultime d’un parti , n’est plus la prise de pouvoir?
Le debat et les strategies contradictoires ne sont ils plus la base de la democratie dans un parti?
ne peut il plus etre subjectif et parler en son nom?
Appartenir a un parti , est il synonyme d’aliénation?
Il y’a bien une difference entre » etre reduit » et » se reduire »
Le premier impliquant sans doute une contrainte , etre obligé de … , etre forcé, dominé …
l’autre est peut etre l’expression d’une envie , une expression personnelle , une manifestation subjective , un fait réfléchi, voulu, une materialisation de sa pensée propre.
Penses tu que ce monsieur est contraint a quelque chose la ? et si nous voulons extrapoler , nous pouvons dire que la seule , force exercée sur lui , est l’envie du peuple gabonais a retrouver son humanité , en se debarrassant de cette cohorte aux godasses gadouisées.
Puis, s’il faut porter un bagage , je pense qu’il porte le bon non ?
Pauvre en quoi donc? en colos ? en idées? en actions?
Monsieur Eyeghe, depuis, par sa technologie comportementale , vis a vis du peuple, nous montre combien de fois , il y’a encore des gabonais droit , digne, strategique , engagé ….. avec des gonades bien pleines.
pauvre type?
hummm le fou du coin , qui chosifie, le théurge, juste parce que ce dernier a pris place , pour un moment, sur son banc!
Oui pauvre type….. je te jure …… je suis !
Lékori,
Tu parles juste pour aligner des mots. Tu ne sais pas ce qu’est un patriote. Jean Eyeghé Ndong en est un. Il voit le Gabon, il ne voit pas le pays fang. PING = Personnalité Internationale de Nationalité Gabonaise. Qui dit mieux ?
Il est sur la bonne voie! Vous ramenez le gabon en arrière avec de tels agissements. Je comprends que c’est la peur qui vous habite maintenant.
Dans le discours de Mr PING, il y a bien de choses intéressantes à retenir notemment sur l’aspect de l’unité nationale car quelque soit l’endroit du territoire national où l’on se trouve, il est frustrant de constater certains agissements comme le refus de servir du carburant, du pain, l’accueil dans les hôtels et j’en passe. Franchement c’est vraiment honteux!
Par ailleurs, je trouve que son discours frôle un peu la paranoïa lorsque ce dernier, reconnaissant les touts de la province, dénonce le manque de développement sachant qu’il a été un des piliers dans la gestion des ressources pétrolières du pays… Où encore lorsqu’il dénonce qu’en 50 ans (règne de Léon Mba + Bongo Père + Bongo fils en cours) on ait construit que 3000km de route. Mais à qui la faute si ce n’est qu’à cette bande de dirigeants corrompus qui nous servent de leaders politiques dont lui, Mr PING en fait parti? Comme par hasard il nous sortira la phrase du siècle c’est à dire qu’il n’a jamais dirigé?! Bref.
A mon avis, monsieur PING vous ne méritez même pas que l’on vous accorde une chance dès l’instant où vou portez en vous l’ADN du système qui a mis le Gabon au stade où il est. Mais comme « le peuple à la mémoire courte… » on va encore faire comment?…Dira le gabonais que je suis en manque de véritable choix sur lechelle nationale de politiciens
Ps : Quand il s’agit de collecter des voix, l’avis du peuple compte et une fois en haut, on jette des miettes de pains à ce peuple. Donc tout ça c’est du déjà vu.So,à qui le tour?
le patriot j’apprécie ton analyse, je profite de l’occasion de révéler ici un entretien entre mon défunt frère, Gregory NGBWA MINSTSA dit Pa’gré, homme politique et journaliste et Mr Casimir OYEM MBA à l’époque ministre des mines sous OMAR BONGO. je crois que les gabonais doivent savoir.
un jour au cours d’une discussion politique, il me racontait qu’il avait eu un entretien dans le bureau de monsieur OYE MBA, ce dernier lui reprochait d’être très critique à l’égard de la gestion politique de feu OMAR BONGO.
mon frère lui a expliqué les raisons de son combat politique contre le régime. Monsieur OYE MBA a reconnu lui même le bien fondé de ce combat et il lui révéla ce jour là que bon nombre de compatriote au sein du PDG ne sont pas d’accord avec OMAR BONGO sur la gestion du pays mais il ne peuvent le dire, ils attendent quand il va mourir. cette réponse a surpris mon grand frère. je n’publierais jamais cette histoire et c’est pourquoi j’ai du mal à accorder du crédit à tous ceux qui reviennent du PDG, car je me pose les questions suivantes: fallait t-il attendre le décès de feu OMAR BONGO ONDIMBA pour devenir opposant ou de constater tous les maux qui minent le pays? OMAR BONGO faisait t-il tant peur au point que personne au sein de son parti n’arrivait pas à lui dire la vérité? faut t-il accorder du crédit à ces personnalités politiques qui ont manqué du courage à l’époque d’OMAR BONGO ? je précise que mon propos ne vise à discréditer personne. c’est pourquoi je prend avec des pincettes de ce qui passe sur le plan politique dans mon pays et cela ne m’étonne pont.
@bona,
Ton histoire me laisse perplexe. A te lire, tu n’as espoir en aucun Homme politique du moment? Mais il faudrait que le pays avance.
Oui mon frère, Omar faisait peur car il avait tous les pouvoirs en sa possession(financier, occulte, mystique,la franc-maçonnerie, pouvoir…). La france-afrique était son jouet et les français se complaisaient d’avoir un tel personnage car chacun sauvait la vieille peau de son c…
Même OYE MBA que tu cites en est un parfait exemple. OUI LES GENS AVAIENT PEUR D’OBO.
Mais souviens toi quand même qu’il y a eu des courageux comme M. Jules Aristide BOURDES OGOULIGUENDE ancien Ministre,membre influent du PDG et PAN qui a démissionné sous l’ère OBO. M. Zachari MYBOTO. Aujourd’hui c’est au tour des autres de le faire. Si tu es fervent partisan du changement, tu devrais donner crédit à ceux qui aspirent à cet idéal. Et ceux qui le réincarnent sont ceux qui sont prêts à sacrifier leur pour le peuple. Ces personnalités tu les connais. Fais seulement le bon choix.
En lisant ce genre des personned je me pose la question ce chinois se moque de qui? Quand il etait svec bongo il n’a jamais dit que cette provincr edt riche quand il est au chomage il raconte ses betises.
Allez c’est reparti pour la même démagogie. « quand je serai au pouvoir, je ferai x et y choses. Une fois au pouvoir « circuler, il y rien à voir « . Qui est à l’origine de cette situation ? Le gabonais lui-même !
Ce n’est pas Ping qui viendra jouer les chevaliers blancs ? Ouvrez vos yeux. D’aucun diront, qu’il pose les bonnes questions ? Oui mais qu’à t-il fait de sa longue carrière politique ? Qu’à t-il ou du moins qu’à t-il construit dans sa propre province pour venir en aide aux populations locales ? Ping et sa bande ont dirigé le Gabon au temps où les bongo cfa coulaient à flot et maintenant, celui ci devient le défenseur des opprimés ! Les gabonais ont la mémoire courte.
Je ne suis pas un partisan de ABO, reconnaissons que depuis son arrivée à la magistrature suprême les choses ont beaucoup bougé. Je prendrai toujours le cas de Mayumba, ma si belle ville. Le Pont est maintenant construit, véritable soulagement des mayesiens. Ils ne demandaient que ça depuis 1965. Faites vous même les calculs et repenser au discours de Ping, vous allez vous rendre compte qu’il y a quelque chose qui ne colle pas. Et si on parlait des routes, là aussi véritable soulagement des nynois avec l’aménagement de tous les axes routiers. Là aussi le discours de Ping ne colle pas. Pour avoir été au pouvoir plusieurs décennies, il devrait s’abstenir de certaines interrogations sachant qu’il a été aux affaires.
je suis tout à fait d’accord avec the patriot, ce ping est l’un des perasonnage sa participation au pillage et retard du Gabon est à 99%. Il a volé avec laide de son beau pere OBO.aujourd’hui il veut tromper les gens en disantque le pays va mal est mal geré c’est la fin du monde . il manque des mots pour te qualifier.cher chinois c’est mieux de rester tranquille avec vos milliards, quel sont tes OEUVRES À POG, LBV. AU MIAE et à UA?Si tu etais un jean Massima, Louembet , DOUPAMBI,j’allais te croire que tu pourras changer le Gabon , par ce que les personnes citées ont posé des vrais ACTES peu importe l’origine des moyens, mais c’est la volonté de faires quelque chose pour son pays.
Ping le Chinois? Ali Bongo le Biafrais alors? Franchement, il faudrait arrêter avec ce genre d’arguments de bas étage…
Ping a pillé le pays avec son beau-père OBO!? Mais également avec son beau-frère ABO dans ce cas!? vu qu’il etait également aux affaires.
Ping n’a rien réalisé contrairement à Louembet et compagnie,on ne sait pas si vous connaissez le patrimoine de Ping? Au faite, si on doit suivre cet argument fallacieux, quelles sont les infrastructures réalisées par Ali Bongo à Akiéni et à Bongoville? Non! plus sérieusement, ce qu’il convient de noter c’est que dans un pays qui fonctionne normalement,il revient d’abord à l’état de doter les localités du pays d’infrastructures (routes,écoles,dispensaires,airs de jeu,etc.). C’est au Gabon qu’on pense par exemple, que le rôle des députés et des sénateurs c’est de construire les routes (Voilà! 50 ans de bongoîsme=50ans d’imbécilisation des populations).
Concernant Eyeghe Ndong, devenu soi-disant « porteur de valise » seigneur! Qu’est-ce-qu’il faut pas entendre! Voilà un véritable Républicain,quelqu’un qui décide de taire son égo, pour soutenir une autre personne et ce, au-delà de toute considération ethnique,et on veut le stigmatiser, mais il a du mérite ce monsieur! « Eyeghe ANE FAM! » sa posture actuelle le démontre une fois de plus.
Je suis un observateur de la politique, principalement celle de mon pays le Gabon. Je me limite à l’action de Son Excellence Jean Ping. Quand je lis certaines choses qui sont écrites à son endroit par les »gabonais », je me demande s’ils ne font pas partis de la bande à Clody Siar (RFI) qui, sur une chaine de TV camerounaise émétant en France ont défendu bec et ongles la cause d’Ali Bongo sur son faut acte de naissance.
Ces gens qui traitent M. Jean Ping de chinois, pourtant conscients (je présume) que feue Germaine Anina, fille Nkomi d’Omboué (Ogooué Maritime) était sa mère, et que son père était d’origine chinoise. Qui est parti de Chine dans les années 1930, est arrivé au Gabon à l’âge de 19 ans, n’est plus retourné dans son pays d’origine et est enterré à Omboué où est né Jean Ping. Ce Jean Ping qui a fait ses études primaires dans son village natale. Celles secondaires au Lycée nationale Léon Mba à Libreville avant d’obtenir son doctorat d’Etat en économie à l’universitaire de Paris 1 Sorbonne. Ayons un brin d’honnêteté envers nous-même. J’étais très gosse quand je voyais celui qu’on appel aujourd’hui Ali Bongo Ondimba avec Jimmy Ondo, feu Grégory Ngbwa Mintsa, feue Françoise Ondo…quand tous faisaient de la musique ensemble. Nous l’appelions d’ailleurs Tonton Alain Bernard et son unique album est une musique symphonique (un 33 tours) qui s’intitule, Brand new man. En toute honnêteté, parmi vous, qui peut nous donner les noms des père et mère géniteurs d’Ali Bongo Ondimba? Où est-t-il né, sachant que la première césarienne, d’après l’OMS a eu lieu en 1070? Où a-t-il fait ses études? Tout le monde sait que son histoire est fausse. Pourquoi comparer les incomparables?
Jean Ping est accusé de ne pas avoir construit ce pays parce qu’il était au gouvernement de feu Omar Bongo. Ouvrez les yeux. Quand on est ministre du Pétrole ou des Affaires Etrangères, les départements que Jean Ping a dirigé, quelles étaient ses missions? En tout pas celles de construire les écoles, les routes ou les hôpitaux. Il y a d’autres ministères qui ont été là pour cela. En outre, Jean Ping a fait une bonne partie de son travail en diplomatie: Nations Unies, Unesco, Opep…et Union Africaine. A ce titre, avait-il pour mission de construire le pays?
Arrêtons de divertir. Jean Eyegue Ndon a été clair. Ce n’est pas une affaire de famille ou d’ethnie. C’est une affaire de citoyenneté, dont du Gabon. Et Daladie Hubert Minang Fils a dit Ping est une personnalité internationale de nationalité gabonaise.
Franchement quand je lis certains cmmtsires ceux qui defendent ce chinois et sa bande des vieilliards.quand on est virux on devient gourmand.mechant et ehoiste ping l’a demontre en allant faire ses affaires en cote d’ivoire avec l argent vole au gabon. Celui qui parle de son patrimoine.il faut me citer une oruvre que ce chinois a realise au gabon? Ali a fait le pythanee militsire wuand il etait ministre de la defense.ali a fait ping ce qu’il est aijourd’hui.
Mon cher Jean Jacques, ne soit pas cet idiot qui se contente de regarder le doigt qui montre la lune au lieu de regarder la lune. Désolé, ne considère pas cela comme une injure. Les injure n’existent pas dans mon vocabulaire. Ce n’est qu’une pensée de sage. Depuis que Bongo père et Bongo fils dirige notre Gabon qui est si riche avec le pétrole, le fer, le manganèse, l’or, le bois, le gaz, l’uranium et que sais-je encore? Dans quelle situation se trouve notre pays, à comparer à la Guinée Equatoriale qui n’exploite son pétrole que depuis plus d’une décennie et son bois depuis quelques années seulement? En toute âme et conscience, répond à cette question pour ton honnêteté.
Il ne fait pas de doute que vous et toutes les générations que vous engendrerez seront ensorcellement pardon éternellement sous domination Bongo.
Vos pères sous domination Bongo, Vous même enfants sous domination Bongo et vos fils ???? et petits fils ??? Pour ma part peu importe le futur président du Gabon pourvu que ce ne soit pas un Bongo. Bon Dieu réveillez vous! le combat est long et la première étape est que les Bongo quitte le pouvoir après il y aura d’autres étapes 2-3-4-etc. je comprends fort bien que vous faites parties de ceux qui empêchent le Gabon de se libérer du joug du bogoïsme par vos débats qui n’ont pas lieux d’être présentement vu la situation actuelle du pays. Élevons nos esprit si vous aimez ce pays Please!