Dialogue inclusif : Michaëlle Jean prend acte
Le Secrétaire général (SG) de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF a échangé, le 29 août 2015, avec les responsables politiques nationaux sur le climat général.
En marge de sa participation au NYFA, la Secrétaire générale de l’OIF a eu des échanges avec les responsables des institutions nationales. Il s’est, en grande partie, agi de discuter de l’évolution du climat politique en vue de sortir des blocages à l’origine de nombreuses revendications et contestations.
Après des rencontres avec l’opposition, Michaëlle Jean a rencontré la majorité. Lors de cette rencontre, le porte-parole de la majorité a présenté la Charte qui organise le fonctionnement de ce groupe. Il est revenu sur le l’intérêt général, le dialogue, la paix, l’unité, la solidarité nationale, la justice sociale et la tolérance. Au-delà, Guy Christian Mavioga a rappelé que leur rôle est de participer à la mise en œuvre du projet de société du président de la République dont la déclinaison est faite dans le Plan stratégique Gabon émergent (PSGE). Autrement dit, ils recherchent la promotion de la bonne gouvernance, d’une économie devant favoriser le développement durable et équilibré, la consolidation et le respect de l’Etat de droit. Des valeurs devant aboutir à l’amélioration du cadre et des conditions de vie des Gabonais.
Le porte-parole de la majorité a exhorté tous les acteurs politiques et de la société civile à respecter l’Etat de droit. Pour lui, aucun Etat ne peut fonctionner sans institution et sans loi. Guy Christian Mavioga a parlé des efforts en vue de futures élections libres, filables, démocratiques et surtout transparentes. A propos du Conseil national de la démocratie (CND), il a estimé, selon L’Union du 31 août 2015, que la participation d’une quarantaine de partis politiques, tant de l’opposition que de la majorité, à la première session plénière revient à dire que «le CND constitue un cadre juridique et légal approprié et dégagé de tout a priori pour que tous les acteurs politiques s’y retrouvent et débattent sans tabou, sans discrimination politique et sans complaisance des problèmes politiques et de développement du Gabon».
Une compréhension battue en brèche par le Front de l’Opposition pour l’alternance et l’Union des forces pour l’alternance (UFA) dans un communiqué conjoint signé par Jean de Dieu Moukagni-Iwangou et Pierre Claver Maganga Moussavou, «Evoqué parmi d’autres, au titres des institutions pouvant accueillir cette rencontre, le CND a vite montré des limites objectives à l’épreuves pratiques», disent-ils en citant des limites d’ordre institutionnel, opérationnel et éthique. En une phrase, le SG de l’OIF a résumé ces rencontres : «J’ai pris beaucoup de notes et j’ai compris que la tenue d’un dialogue est une demande pressante», a-t-elle déclaré.
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Michaelle Jean est bien intrusive dans les affaires du Gabon. A t on besoin de son avis pour nous dire comment on doit faire avancer notre cher Gabon. Marre de tous ces donneurs de leçons et objecteurs de conscience etrangers qui viennent blablater chez nous. Ça sert plus leur propre image que notre cher Gabon.
Mme jean a écouté tout le monde.
Pour résumer, elle a conclu simplement » j’ai pris beaucoup de notes, et j’ai compris que la tenue d’un dialogue est une demande pressante » .
c’est dire que le bla bla bla ou plutot les owoula hè comme dit mon père Mba de Mavioga qui travaille du chapeau n’ont pas trouvé l’assentiment de Mme Jean.
Et toc! Excellemment dit, Imagine56!
Maviogha fait le clouwn, on l’a vu en 2009, lui et sa femme ouspiller contre ALI parce qu’il n’y avait pas de transparence, il est a la recherche d’un poste. On verra après 2016.
Propos sibyllins de Mme Jean, chacun en conviendra.
Venue à Libreville prendre part au forum de Bongo et Attias, ce simple acte seulement suscite une telle épaisseur de doutes sur son impartialité qu’on est amené à se demander pourquoi a-t-elle cherché à s’immiscer dans les problèmes politiques du Gabon ? La francophonie devient-elle une francophonie politique ? Elle finissait simplement son séjour, aux frais de la reine, et repartait. Tranquillement. S’entendre tenir des propos comme ceux de M. Mavioga est totalement inouï. Ils donnent l’impression que la messe est dite et que, la majorité n’ayant plus rien à ajouter, « c’est fini, Mme Jean, passez votre chemin… » Mais non !
Certes, nous sommes ici en politique ; chacun y plaide pour sa chapelle. Pour développer un pays, il existe une gamme infinie de programmes de société et, dans le cas du Gabon, le PSGE n’est que l’un de ces innombrables programmes. Est-ce pour autant que, à cause de ce « fameux » programme du président Ali, décliné depuis six ans sans qu’on en aperçoive le moindre début de mise en œuvre, que tout le Gabon doit s’asseoir sur les problèmes d’alternance politique, la réorganisation de notre démocratie, les innombrables cas d’injustice, d’inobservation de la loi, les cris de détresse sociale, le blocage de l’activité économique et politique, etc. ? Mme Michel Jean a bien « pris acte », comme il nous est rapporté ; …mais de quoi ? …et après ? En y regardant de près, elle semble nous dire qu’elle a bien mangé, bien bu, puis au revoir ! Car, le débat dans lequel elle veut mettre son doigt n’est pas aisé, d’autant qu’elle s’aperçoit, avec retard, qu’elle s’est assise sur la même table où, sur tous les convives, sur les chaises, les assiettes, le couvert, dans la nourriture, il est écrit : « Pas de dialogue ! Parce que nous risquons de ne plus exister à la sortie de cette concertation… »
Arretons de faire dans la mauvaise foi. Les opposants ont sollicité l’OIF maintenant que l’OIF ne dit pas les choses comme ils l’ont souhaité les accusations fusent de toutes part. On appelle ça jouer aux enfants gatés.
Les pb à Haïti sont plus important qu’au Gabon
là bas en Haïti, Port-prince, jacmel Cap haitien, leogane chez Coupe Cloué, St-Marc, Gonaives, on danse le Kompa direct (lol)
Mme jean est canadienne d’origine haïtienne, même si les problèmes haïtiens sont plus importants, mes oncles ont assez de détermination pour arriver à bout de leurs problèmes politiques.
Demandes aux Duvallier (papa et bébé doc tous deux décédés) Père Bertrand Aristid , René Préval et aujourd’hui à Michel Martelly si on s’amuse avec le peuple haïtien. Ceci pour te dire petit Bassomba de ne pas t’inquiéter, même si c’est dur, l’haitien arrive toujours à ses fins…et Mme jean le sait , donc pas d’allusion à Haiti cherie sinon map pran fawché
Oh pardon, si c’est pour venir faire les yeux doux à Ali Bongo c’est pas la peine! Ce mec ne comprend pas le langage de la douceur. Il faut un véritable plan de bataille pour 2016 avec une véritable force d’interposition militaire (casques bleus ou autres)car il remettra les chars dans la rue en 2016 après avoir volé 1 fois de plus l’élection.