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Des actes de malveillance sont à l’origine des pannes d’électricité survenues à Libreville
Des actes de malveillance sont à l’origine des pannes d’électricité survenues à Libreville, le dimanche 2 août 2015.
© D.R.
Lundi 03 Août 2015, Libreville – La SEEG exprime ses regrets à toute la clientèle de l’agglomération de Libreville affectée par les suspensions de fourniture d’eau et d’électricité, consécutives à des actes de malveillance enregistrés sur son réseau électricité, au cours de la journée du dimanche 02 août 2015.
Face à ces actes criminels et anti nationaux, déplorables pour le service public de l’électricité et nuisibles pour l’image de l’entreprise, la SEEG a décidé de porter plainte en se constituant partie civile.
Relations Presse SEEG
9 Commentaires
Il faut retrouver ceux qui sont derrières de tels actes et les punir sévèrement .
Je refuse d’apparaître comme un oiseau de mauvaise augure. Mais le laxisme qui caractérise notre sphère dirigeante est déconcertant. Je ne conçois pas que les gandarmes et les policiers passent le plus clair de leur temps sur la voie publique, en train, dit-on, d’arnaquer les pauvres automobilistes. Laissant à leur triste sort, les equipements et les installations de souveraineté, comme celles des eaux et de l’électricité. Ce ne sont pas deux ou trois gendarmes qu’on affecterait à la surveillance de ces installations stratégiques, mais des bataillons entiers. Depuis que chacun a la lattitude de s’équiper en groupe électrogènes, depuis que chacun peut se taper sa petite installation d’eau domestique, parfois chacun peut se moquer de savoir que des voyous ont perturbé les livraisons d’eau ou d’électricité de la SEEG. Mais, ce serait une grave erreur : ces produits, qui constituent des éléments fondamentaux de notre confort, ont une durée limitée dans le temps. Leur défaut dans la maison ou une entreprise est vite remarquée. Des forces de défense à gogo pour la surveillance autour des sites d’approvisionnement en eau et électricité de chaque ville au Gabon est l’idéal, mais oser commencer par la capitale est une nécessité, sinon, un devoir régalien pour l’Etat.
cest comme ça qu’ils ont d’abord boycotter Gabon télécom tchuips
Ces saboteurs se trompent de combat, car ils pénalisent leurs propres familles; les « grands » hommes du pays ont leurs groupes électrogènes!
Un acte vraiment punissable. Agir de la sorte,sachant bien que nous allons tous enpatir,c’est triste
Un acte qu’il faut punir
N’importe quoi, pourquoi ne pas dire tout de suite que les ba Ping, Oye Mba, Nza fe, Myboto et autres ont envoyé des jeunes saboter les installations de la dame de merde de la SEEG.
Incapable depuis bientôt 20 ans de répondre a ses obligations, il faut toujours et toujours mentir.
Bande de valent rien. Dommage que NGOUBOU ne gère plus l’Énergie. votre compte serait déjà soldé.
TCHIBOUELE mais Ngoubou était justement ministre chargé de l’énergie. Pourquoi il ne leur a pas « réglé leur compte »? Fé 2 et l’Impératrice sont où? Voilà le gabonais on parle d’autre chose il nous emmène sur un autre terrain.
Justement, ce pent du ministère lui a été retiré pour avoir demandé et revendiqué la révision de la convention de concession qui arrivait a termes.
Les deux agences de l’eau et de électricité qu’il a eu le courage de mettre en place, étaient des prémices de la gabonisation de ce mastodonte qui sucrent nos finances avec le cout de l’eau et de l’elect les plus chers au monde.
Posez la question a Simon.