Lancé le 28 juillet dernier, les formations en atelier du séminaire d’échange de compétences vont bon train.

Une scène des Sambas professionnels : le séminaire, via skype, d’Harry Roselmack. © facebook.com/adeuxd.conseil

Une scène des Sambas professionnels : le séminaire, via skype, d’Harry Roselmack. © facebook.com/adeuxd.conseil

 

Scènes des formations aux «Sambas professionnels», le 29 juillet 2015 à Libreville. © Gabonreview

Scènes des formations aux «Sambas professionnels», le 29 juillet 2015 à Libreville. © Gabonreview

Avec plusieurs dizaines de participants inscrits, la deuxième édition du séminaire d’échange de compétences baptisé «Les Sambas professionnels» a battu cette année son propre record. Si elle a su fidéliser un nombre conséquent des participants de l’édition précédente, cette rencontre a suscité l’adhésion de nouvelles personnes. On note la participation de professionnels et d’étudiants des domaines aussi variés que l’humour, la danse, la communication, la réalisation ou le sport. Cette année, le nombre de professionnels formateurs a également été revu à la hausse, au bonheur des inscrits, qui bénéficient ainsi, depuis l’ouverture des ateliers, le 28 juillet dernier à l’Ecole nationale de la magistrature de Libreville, de beaucoup plus d’expérience.

Depuis deux jours, les participants sont donc soumis à un rythme de formation plutôt soutenu, avec trois séances en moyenne chaque jour, assurées par des professionnels visiblement déterminés à donner le meilleur d’eux-mêmes. Pour 3MJ Consulting, qui entend mettre en place une plateforme d’échange entre formateurs et inscrits, les ateliers sont avant tout des lieux de partage, pour rompre avec le style classique des cours magistraux, dont les résultats à terme sont rarement satisfaisants, aussi bien pour l’«expert» que pour l’«apprenant».

Pour David Monfort, fondateur de la société D-Agency et Nadia Origo, écrivaine, éditrice et directrice de la société Origraphcom, qui assurent respectivement l’atelier sur l’audiovisuel et celui sur l’entreprenariat au féminin, il s’agit d’échanger avec les participants, leur faire part de leurs expériences dans la conception des projets, les orienter tout en tentant de répondre à leurs interrogations. Dans les salles tenues par la journaliste reporter à TV5 Monde et ancienne animatrice à Africa n°1, Joëlle Edédéghé Ndong, qui anime l’atelier sur la «Gestion de soi», le procédé est tout aussi similaire, avec des séances pratiques et un ensemble d’exercices préconisées par les quatre «pros sambas», à l’instar de Pape Diouf, ancien président de l’Olympique de Marseille (OM), dont l’expérience en tant que manager de footballeurs et consultant pour Canal+, convient parfaitement aux participants à l’atelier consacré au «sponsoring et la communication par le sport».

Au nombre des innovations, la deuxième édition des «Sambas professionnels» a fait intervenir le parrain Harry Roselmack, peu avant la fin de la journée du 29 juillet. Le journaliste et animateur français, qui avait ouvert le séminaire, le 27 juillet dernier, depuis Paris, a animé une session d’échange avec les participants autour des métiers de l’audiovisuel et de l’information via Skype. Les ateliers se poursuivront jusqu’au 31 juillet courant.

 

 
GR
 

7 Commentaires

  1. Alexia dit :

    Samba professionnel une initiative qui ne laisse personne indifférent! Avec plusieurs apports très instructifs

  2. Blaise nicolas dit :

    cette edition des sambas m’enseigne beaucoup surtout en matière de communication sportive .

  3. Fridelia dit :

    Cette édition du samba nous a vraiment édifié

  4. Yeno Wynnie dit :

    C’est une édition très innovatrice avec beaucoup d’enseignement sur le plan de l’informatique

  5. Maténé Josiane dit :

    C’est ensemble qu’on y arrivera, merci pour tous vos messages encourageants

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