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Lancement officiel prochain des activités du Complexe métallurgique de Moanda
Les activités du Complexe métallurgique de Moanda seront officiellement lancées par le Chef de l’Etat, le 12 juin prochain à Moanda.
Vue générale de l’atelier d’électrolyse. © Eranga de Sindara
Dans le cadre de la politique d’industrialisation du Gabon et de son engagement en faveur du développement du Gabon, la Compagnie Minière de l’Ogooué, la Comilog, innove et crée l’évènement de l’année.
Le vendredi 12 juin 2015, le Président de la République gabonaise, Ali Bongo Ondimba, procèdera au lancement officiel des activités du Complexe Métallurgique de Moanda, en abrégé CMM.
L’idée de construire ce complexe industriel permettant de créer de la valeur ajoutée sur le territoire gabonais à partir du minerai extrait à Moanda était déjà dans les esprits depuis la fin des années 1990, afin de répondre à la volonté des autorités gabonaises de voir se développer localement une filière de transformation du minerai brut.
Le Complexe Métallurgique de Moanda (CMM) qui sera inauguré le 12 juin prochain par le Chef de l’Etat gabonais comprend deux grandes unités, à savoir :
L’usine de Pyro-métallurgie. Composée de deux fours électriques, elle produira 65 000 tonnes de silico-manganèse par an, avec une teneur en manganèse de 65%.
L’usine d’Hydro-métallurgie avec une unité d’électrolyse permettra de produire 20 000 tonnes de manganèse métal par an, avec une teneur en manganèse de 99,7%.
Le Complexe Métallurgique de Moanda est bâti sur une surface de 50 hectares et voit la création de 432 emplois directs et autant en indirect.
Le Complexe Métallurgique de Moanda est une performance unique au sud du Sahara qui propulse le Gabon dans l’ère industrielle. Pour la Comilog, le Complexe Métallurgique de Moanda, c’est le Miroir d’un Gabon industriel.
Auteur : Eranga de Sindara
9 Commentaires
le pourcentage de Delta Synergie ?
Vous êtes minable, à la fin!Tchiiiip
Minable ? ai-je bien lu minable dites vous ???Qui est plus minable celui qui dénonce un vol omniprésent qui nous étrangle inutilement tous ou celui qui veut maladroitement en bon séide l’ empecher d’en parler???? Ouste !!…..
Gyèlu a sa gwendilu ne misu me mbatsi [On ne dort pas en fermant les yeux d’1 autre] Proverbe Guisir
Le Gabon avance et les actes parlent d’eux mêmes! Je suis convaincu que nous sommes véritablement entrain d’émerger!
Le CMM n’est en rien un projet…émergent (renseignements disponibles sur le site de ERAMET)
Souffrez de temps en temps à rechercher
@ Alexia et BABOKI , AREVA , maison mère , est en faillite actuellement .Licenciement massif des effectifs , Le Gabon également est endetté au cou , des emprunts chaque trimestre , qui sont les véritables propriétaires de ce complexe ? et comme par hasard , le Mohammed 6 arrive pour « une visite de travail » …..tchiiiippppp ….ALI DÉGAGE …
Tonton,
Areva n’a aucun lien ici Comilog est une filiale ERAMET (qui pour l’instant se porte bien). et pour Baboki je ne vois pas ce qu’il y a de minable à se demander pourquoi on a l’impression que tout est dirigé par DELTA et qu’il n’y a aucune retombée pour le peuple ? Les logements sociaux ça en est où ? et la Marina ? et la zone économique industrielle machin ? le pétrole et le bois ? tu veux d’autres questions minables ??
L’oncle de l’autre, à propos du Gabon industriel : « les Gabonais veulent savoir combien d’usines ont été construites en 6 ans ». Si la réponse est 1, on sera pas sortie de l’auberge en 2025 hein !
Pathétique. L’honnêteté intellectuelle nous oblige à honorer la mémoire d’un homme, fut il mauvais : Oman Bingo Ondimba et à un digne fils du pays, Marcel Abékés, le groupe Eramet. Voici à mon sens les 3 acteurs qui ont permis la pose de la première pierre en avril 2009 sur le site actuel, j’y étais. Trouvez d’autres projets réalisés à l’actif de l’émergence, 6 ans après s’il vous plaît. D’une part. D’autres parts, les vraies raisons da concrétisation de ce projet sont ailleurs. La vraie transformation devra être matérialiser par un 0 rejet de déchet et une production de produits finis, type aciers de construction. Le pays en a les ressources. L’émergence aurait pu s’attaquer à son dossier pour créer une véritable transformation et donc des valeurs ajoutées dans un contexte de développement durable.