Vivien Amos Makaga Péa veut débusquer les «malus mentors»
A l’occasion du 47e anniversaire du Parti démocratique gabonais (PDG), le délégué national de l’Union des jeunes de ce parti a mis en garde contre les querelles de clochers et luttes d’influence internes.
S’il s’est dit plus que jamais déterminé à œuvrer en faveur d’une plus grande reconnaissance du PDG auprès des jeunes, par l’entremise des différentes rencontres initiées depuis son arrivée en avril 2013, Vivien Amos Makaga Péa n’a pas caché sa crainte de voir le parti au pouvoir prendre de l’eau par la faute de quelques «camarades» dont le positionnement et les velléités sont à l’opposé de l’éthique prôné par celui-ci. C’est du moins ce qui ressort de son intervention à l’occasion de la célébration du 47e anniversaire de cette formation politique, le 14 mars dernier.
Se réclamant de la génération de la Conférence nationale de 1990, le délégué national de l’Union des jeunes du PDG a prôné le dialogue, la cohésion et surtout pour la formation de la jeunesse qui, au sein de ce parti désormais habitué aux coups bas et autres démissions, n’ont pas la vie facile. «Les difficultés que connaissent les Gabonais frappent tout autant nos jeunes camarades», a-t-il fait constater, comme pour répondre aux critiques se rapportant à ses compagnons et à lui-même. Mais le sujet qui a semblé préoccuper davantage Vivien Amos Makaga Péa reste celui lié au climat nuisible, perceptible au sein du parti depuis quelques temps. S’il a reconnu sa part d’erreurs, il n’en a pas moins évoqué le jeu sournois des «malus mentors» du PDG, «ces obscurantistes personnages, qui nourrissent secrètement des velléités hégémoniques, et qui veulent se fabriquer des baronnies politiques en instrumentalisant et divisant la jeunesse du parti, sans oublier les multiples hiérarchies politique, financière, régionale, ou du combat de leadership». Pour lui, ces derniers «tentent désespérément de syndicaliser l’UJPDG». Une situation qui, regrette-t-il, fait le lit de l’opposition. Comment en douter ?
Ainsi, alors que le conflit entre aînés semble à peine être lancé, l’instrumentalisation de «la force d’avant-garde» du PDG serait-il l’acte 2 de la pièce tragique jouée par les principaux acteurs de cette formation politique, qui tentent de pourrir le fruit de l’intérieur ? Aux dires du jeune responsable, il semble que «oui». Aussi, appelle-t-il les principales autorités du parti à démasquer «les plans florentins, les agendas cachés et autres intrigues», avant la présidentielle de 2016. Décidément, le PDG est loin de retrouver sa sérénité d’antan.
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la jeunesse au centre de la vie politique de son pays. oeuvre a encouragé et félicité ce jeune leader;
Ce qui m’attriste chez ce jeune parvenu c’est qu’il est intelligent mais sa cupidité et son hypocrisie le mèneront a sa perte. Il jouait les lèches bottes a Paris pour les enfants « de » a qui il offrait des promotions au sein de l’ujpdg juste pour arriver a percer leurs parents bien placés au pays et réussir a se trouver une place au soleil. Ensuite il a rejoint une loge, s’est rapproché du fils d’ail qui a fini par parler de lui a son pere. Puis son derrière a fait le reste. Au lieu de se contenter de sa fonction de délégué national obtenue en calomniant auprès des proches d’Ali son prédécesseur AYENOUE, son activité cachee consiste a envoyer ses jeunes troupes créer de faux profils sur Facebook pour insulter les membres de son propre parti…et il joue toujours les indignés et fait toujours mine de denoncer les malaises existants au sein de ses propres rangs. Honte a lui