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Succession Omar Bongo : Billie-by-Nze renvoyé à ses chères études
Réagissant à la récente sortie du porte-parole de la présidence de la République au sujet des querelles d’héritage auxquelles se livre la descendance du défunt président de la République, Me Eric Moutet livre sa version des faits.
Alain-Claude Billie-by-Nze. © youtube.com
A la faveur d’une récente interview accordée au quotidien L’Union le 12 mars dernier (n°11778), le porte-parole de la présidence de la République s’étonnait des «coïncidences troublantes et récurrentes entre les interventions des médias et les procédures en cours devant la justice», en rapport avec le traitement du dossier de la succession Omar Bongo Ondimba. Alain-Claude Billie-by-Nze y voyait un jeu subtil orchestré par des personnalités proches du dossier voire personnellement impliquées, notamment Onaïda Maïsha Bongo Ondimba. Pour lui, la fille de Chantal Myboto-Gondjout et du défunt président de la République, qui a récemment engagé une procédure en justice en France pourrait être une des sources principales de journal en ligne français Mediapart. «Faux !», rétorque l’avocat de la mise en cause, à la faveur d’une interview parue le 16 mars courant dans l’hebdomadaire Echos du Nord (n°276). «Accuser ma cliente d’avoir communiqué des informations à Mediapart, juste avant la précédente audience pour instrumentaliser cette publication auprès d’un juge, est parfaitement diffamatoire, et c’est absolument inexact», affirme-t-il, non sans dénoncer des «contre-vérités».
De fait, au sujet de la procédure engagée en France par sa cliente, Me Eric Moutet qui devrait plaider le 13 avril 2015 sur la question, a fait savoir qu’il s’agissait en réalité d’«une banale action de référé destinée à (leur) permettre d’obtenir les pièces attestant de l’ensemble des actifs composant (la) succession nébuleuse». D’autant que, dit-il, «le nouveau notaire, Me Estelle Brahime et Mme Dumont Beghi, (leur) refusent ce type d’informations». Ce qui est loin d’être à l’avantage de sa cliente et des autres «petits héritiers». Une rétention d’information qui n’est pas sans rappeler le silence opposé par le parquet de Nantes depuis le dépôt, par l’avocat, d’une demande d’accès aux archives d’état-civil de l’Afrique équatoriale française (AEF), le 19 janvier 2015. «Si le président Ali Bongo est bien né à la date et au lieu qu’il indique, ce devrait être assez simple d’en avoir confirmation auprès de ces services. Cette information nous est indispensable dans le cadre de la succession, puisqu’à ce jour il semble (qu’il) soit le seul à ne pas avoir communiqué tous les éléments aux notaires», a rappelé l’avocat.
L’autre contre-vérité que croit déceler Me Eric Moutet se rapporte à la situation matrimoniale d’Ali Bongo. Si pour Alain-Claude Billié-by-Nzé, le président de la République est «bien marié à la monogamie, sous le régime de la séparation des biens», pour l’avocat, qui n’a pas manqué de voir une confusion de genres dans les interventions du porte-parole de la présidence de la République, «il suffit de se reporter à l’acte de notoriété dressé par le notaire, pour constater que c’est bien le régime de la polygamie qui y est mentionné». «Soit le conseiller porte-parole en question ne connaît pas son dossier, soit il énonce à dessein une contre-vérité», a-t-il lancé. Dès lors, se pose à nouveau la question du véritable rôle d’Alain-Claude Billie-by-Nze…
17 Commentaires
yovè ,c’est youkoukou! ce qui vrai ce que la descente d’ali viendra d’eux mêmes (enfants et parents Bongo) . sûr que nombreux connaissent la vérité mais hésitent à parler .
J’avais déjà souligné que ACBBN nageait dans les eaux troubles de la presidence, et la conclusion de Me MOUTET est juste:soit ACBBN ne maitrise rien des affaires de la présidence soit il prend les gabonais pour des idiots mais qu’il se trompe et mette dans sa tête que l’argent et les privilèges le rendent débile.
En croyant bien faire, il finira par se mordre le doigt. Il est trop agité ce ACBBN.
Cordialement.
Me MOUTET peut-il nous dire si les lois en vigueur en France autorisent la polygamie?
Il parle d’un acte d’état civil gabonais.
étourdi va!!!
Toi qui n’es pas étourdi, tu devrais savoir que Ali BONGO ONDIMBA s’est marié non pas au Gabon mais en France, et que laba, la polygamie n’est pas autorisée
en France dans une marie ou a l ambassade du Gabon ?
Ali devrait conseiller à son…conseiller de la fermer de temps en temps; çà devient du classique : chacune de ses sorties est un fiasco
Bamicoth, la personne qui a accès au dossier, en l’occurrence Me Moutet, dit que OBO s’est marié sous le régime de la polygamie et toi n’ayant aucune source d’information tu veux, sur une banale conclusion, venir affirmer le contraire.
Un peut d’honnêteté intellectuelle ne ferait vraiment pas de mal.
Mike Gabonais, je m’excuse. Je croyais que Me MOUTET et moi parlions de la même personne. Lui, il parle de OBO et moi de ABO c’est vrai que entre OBO et ABO il puisse y avoir des confusions
Vraiment je ne sais que dire a l’endroit de bilié trop pathétique apprenti bavard qui ne fait que parler encore et encore!!pour finalement ne rien dire!!la liberté et la démocratie sont une menace pour ces gens la!!!DE GA GÉ pour l’amour de Dieu!!laissez nous tranquille…allez vous faire foutre.
Les Français ne blaguent pas.
Billie Bi Nzé est comme qui diraient certains à côté de a plaque. Le pauvre, il ne sait plus où donner de la tête. Tout ce qui sort de sa bouche est ineptie.
est un gaboma pourquoi voulais vous pas qu’il intervient sur ce qui interesse tous les Gabonais nous sommes une nation congossa l’affaire DES AUTRE C’EST NOTRE BUSINESS donc laissez lui faire son boulot
Moi je ne comprend pas claude, qu’est ce qu’il gagne en défendant Ali dans les affaires de la succession de feu Omar. Quoi, il pense qu’il deviendra un bongo, la liste est close, ils sont 52 plus 1 et non 52 plus 2.
Billié bi nzé vous gêne, on vous comprend, car il vous empêche de dormir; vous auriez souhaité un porte parole d’Ali qui ressemble à une carpe.
Avec tout le respect ,que nous jeunes Gabon ,avons pour le président Ali ,nous demandons ,à son porte parole de prendre d’abord les vacances et reprendre son bon travail après l’élection de 2016 .finalement , nous ,nous posons la question de savoir pour qui travaillent tous ces gences qui sont autour du président de la république ?