Le journaliste Gabonais Pablo Moussodji a été amené à donner son point de vue sur la tropicale amissa dont la 10e édition tire à sa fin.

Pablo Moussodji, le 20 février 2015 à Kango. © Gabonreview

Pablo Moussodji, le 20 février 2015 à Kango. © Gabonreview

 

Journaliste lui-même, Pablo Moussodji gère et cordonne sur la Tropicale Amissa bongo 56 journalistes de la presse gabonaise. Dans les faits, il est chargé de «réunir toutes les conditions nécessaires aux médias pour qu’ils travaillent sans trop de difficultés». Fort de 9 éditions de cette course, il estime que «d’un point de vue général, il y a un renouvellement de niveau, puisque cela semble être le principal objectif de toutes les équipes africaines. Petit à petit l’Afrique commence à s’imposer, ce qui est intéressant pour la réduction de l’écart, bien qu’il n’est pas encore permis de dire qu’un africain gagnera cette édition. Et la fierté du continent reste que cette année il aura une équipe au Tour de France, notamment l’équipe MTN de l’Afrique du sud, absente de la Tropicale Amissa Bongo qui l’a révélée

Se prononçant sur les résultats de l’équipe du Gabon, Pablo Moussodji regrette que «la Fédération gabonaise de cyclisme (Fegacy) ne se réveille que lorsqu’on parle de la Tropicale Amissa Bongo. Il faut pourtant que ces coureurs qui bénéficient du parcours multiplient les courses, mais malheureusement, sur le plan national il n’y a pas grand-chose. Il faut aller au-delà. Il faut des compétitions pour se faire une place au soleil. Sinon ce serait illusoire voire utopique de penser qu’un cycliste gabonais va gagner la Tropicale

 

 
GR
 

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