Les bons offices d’Abdoulaye Bathily
Le Représentant spécial du secrétaire général de l’Onu en Afrique centrale et chef du Bureau des Nations-unies pour l’Afrique centrale (Unoca) s’est lancé dans une opération de diplomatie préventive en s’invitant dans la crise actuelle au Gabon.
L’Organisation des Nations unies semble suivre avec intérêt les récents événements survenus au Gabon. C’est dans ce cadre que le Représentant spécial du secrétaire général de l’Onu en Afrique centrale a rencontré, dans la journée du 22 décembre, des membres du gouvernement ainsi que des représentants de la majorité comme de l’opposition. Objectif : inciter toutes les parties au dialogue. «Mon rôle, c’est de jouer les bons offices, de faire de la diplomatie préventive. Les gens se plaignent souvent que les organisations internationales attendent que les situations deviennent irréparables pour intervenir : les médecins après la mort ou les sapeurs pompiers», a affirmé Abdoulaye Bathily.
Selon le chef du Bureau des Nations-unies pour l’Afrique centrale (Unoca) «dès qu’il y a quelques évènements de cette nature (il faut) tirer sur la sonnette d’alarme». Ce dernier dit donc avoir bénéficié d’une écoute attentive de part et d’autre. «Je crois que tout le monde est d’accord sur le principe de dialoguer, mais il faut que des initiatives concrètes soient pour que la situation ne continue pas de pourrir. Le pourrissement de la situation n’est dans l’intérêt de personne. En tout cas, pas du peuple gabonais», a-t-il indiqué.
Abdoulaye Bathily a donc entrepris un véritable marathon au cours duquel il s’est successivement entretenu avec l’opposition représentée par le Front de l’opposition pour l’alternance ainsi que le Premier ministre, le président de la Cour constitutionnelle, puis le secrétaire général du Parti démocratique gabonais (PDG,). De part et d’autre, on s’est montré ouvert au dialogue. Mais, si la majorité estime que les institutions doivent être respectées, l’opposition affirme que les conditions d’une concertation sont loin d’être réunies. D’où la réponse d’Abdoulaye Bathily qui a dit ne pas avoir de «baguette magique» pour obliger les uns et les autres à s’assoir autour d’une même table mais demeure plutôt optimiste. «Aujourd’hui, je ne vois pas pourquoi ces deux côtés ne peuvent pas se retrouver pour parler parce que c’est l’avenir du pays qui est en jeu», a-t-il conclu.
0 Commentaires
Haa MR Bathily, vous ne conaissez pas celui qui est actuellement au pouvoir dans notre pays,c’est du genre compaoré à beau conseillé rien, comment espliquez vous que depuis plus de deux semaines les agents du secteur pétrolier sont en greve le président refuse de dialoguer avec l’onep et préfere payer le carburant à l’etranger?et s’il ne veut négocier avec un simple onep à plus fort raison ceux qui veulent lui prendre l’éritage de son pere » LE GABON » non MR le Gabon a un probleme si se probleme ne trouve pas de solution ce pays va basculer,Ali Bongo n’est pas un homme de Dialogue meme au seins de sa propre famille on le dénonce pour lui c’est la force tous vos efforts ne donnerons rien parceque en face il ya une volonté de dominer et celui qui veut dominer n’acepte pas le dialogue.
C’est réellement triste d’en arriver là. Toutes ces parties savent le mal profond qui fasse que le pays soit dans cet état; ils le savent très bien. Mais seulement chacun doit avoir à l’esprit sa responsabilité individuelle devant Dieu et devant les Hommes (ses compatriotes). Le Gabon est notre bien commun, et non une chasse gardée pour certain; pauvre hier et billionnaire aujourd’hui. Il est inacceptable de continuer à voir cette injustice perdurer; tous avons des origines modestes et c’est parce que la République existe que l’ascenseur social a permis a ces personnes d’être à l’abrit du besoin. Mais pourquoi une grande majorité croupie toujours dans la misère? C’est le rôle du Politique et de la politique d’y répondre.
Le Vert – Jaune – Bleu , est devenu un feu tricolore : Rouge – Orange – Vert .
Le gabon est devant ce feu tricolore qui est orange . Que les politiques nous évitent de bruler le rouge . Le gabon appartient à tous les GABONAIS . Un dialogue regroupant toutes les composante de la société s’impose .Il est grand temps que cela ait lieu .
Le gabon est sur un baril de poudre , n’attendant qu’ une étincelle pour sauter , et chercher par la suite un extincteur , téléphoner les pompiers , accepter les médiations et bons offices .
Que cette concertation se tienne avant 2016 , pour que la confiance revienne entre gabonais .
« Mais, si la majorité estime que les institutions doivent être respectées ». J’entends par là, la restauration de l’autorité de l’état. On ne peut pas être juge et partie. Ministre du PDG, Directeur du PDG, Procureur du PDG, etc …
Ils prononcent des phrases, pensant qu’ils ont l’avantage dans ce qu’ils disent mais ça les condamnent eux-mêmes. Le plus grand respect des institutions c’est de ne pas en faire la propriété d’un parti politique. Puis la séparation des 3 pouvoirs.
Peuple du Monde, d’Afrique et du Gabon en particulier,
Il est d’intérêt, que le « Mouvement Les Patriotes » dans lequel je milite précise, la nature de son engagement avec les autres forces sincères, du changement radicales, contre les forces machiavéliques qui gouvernent le monde, l’Afrique et surtout mon pays le Gabon, depuis 1980 ans sous la dénomination barbare de « franc-maçonnerie ». La franc-maçonnerie contemporaine est une pale et mauvaise copie de « l’Ordre Maçonnique Antique Égyptien », inspiré et révélé à l’homme par DIEU (RA, AGNAMBIE, KOMBE, MUANGA, NZAME, NZAMBE, GNAMBI). Le combat que nous menons est totalement « Pacifique », mais avec l’arme pacifique la plus redoutable: le « VERBE ». Il ne s’agit pas de tuer physique Ali Bongo Ondimba, mais d’irradier, le système diabolique qui l’a propulsé, au sommet de la plus haute fonction de notre pays. L’effet domino suivra dans toute l’Afrique et dans le reste du monde. L’humanité tout entière, en ce nouveau millénaire, se débarrassera définitivement de ce fléau qui depuis près de deux mille (2000) ans conduit inexorablement par sa prédation, la planète bleu au déclin.
Pour le « Mouvement Les Patriotes », toute vie humaine, quelle qu’elle soit est sacrée. Même, celle d’Ali Bongo et de ces apatrides mafieux. Nul, n’a le droit de supprimé une vie. C’est pourquoi le Mouvement « Les Patriotes » déplore la mort, par la faute de nos turpitudes, du jeune « Patriote » Bruno Mboulou Beka. « Cela ne doit plus jamais se reproduire ».
Il ne s’agit pas non plus pour nous, de changer des hommes, par d’autres hommes appartenant au même système démoniaque, qui a avili l’humanité tout entière durant ces deux derniers millénaires et le Gabon notre pays, depuis plus d’un demi siècle. Les habitants du Gabon, pays richement doté par Dieu ont été transformé en serviles.
Ali Bongo pour le « Mouvement Les Patriotes » n’est que le produit, la conséquence d’une conspiration, contre l’humanité et le Gabon en particulier. Cette conspiration a été établie le, 31 octobre 2009 date de son intronisation. Nous avons tous assisté et cautionné avec complaisance, un rituel qui viole toutes les règles élémentaires d’initiations à tout rite, quel qu’il soit. Ali Bongo a été propulsé d’apprenti, au 33ème degré (Sommet). Ali Bongo a été placé par la mystique de l’argent, au dessus de toutes les éminences gabonaises, qui ont gravi durant des années, au travers de diverses dures épreuves, les étapes et les échelons ascensionnelles dévolues à tout rite. Toute la classe politique à l’exception de deux ou trois, lui sont ainsi, totalement soumise. Ali Bongo est le roi de la franc-maçonnerie au Gabon.
Le Gabon par cet acte, venait cupidement d’hérité pour ce nouveau millénaire, de la machine infernale inventée par l’homme : le CHAOS (le Diable humain). Le CHAOS (matière) se nourrit, de l’humain. L’humain pour le CHAOS n’a pas de valeur divine. C’est un outil, qu’on peu détruire à sa guise et au gré de ses intérêts. D’où la nature machiavélique d’Ali Bongo et de l’orientation mondiale actuelle, de prêt de quatre vingt dix huit pour cent (98%) des ressources de l’humanité, pour la fabrication de tout ce qui détruit l’humain: Guerres, armées, armes à destructions massives, pollutions, déchets toxiques, virus, gaz à effets de serre, etc… La prédation, la propension à l’enrichissement inconsidéré et illicite. Les crimes rituels hérités de la tradition du glaive. Le vol, le pillage. L’orgueil égocentrique. L’inversion des paradigmes. La matière est hissée au dessus de l’esprit. L’argent est devenu une mystique.
C’EST LE CHAOS TOTAL (L’ILLUSION).
Il est impératif, que l’humanité toute entière, établisse urgemment, le bilan d’étape de ses deux derniers millénaires, pour fixé enfin, le Cap Universel de ce Nouveau Millénaire qui a débuté, il y a bientôt quatorze (14) ans.
Nous sommes tous pécheurs et responsables collectivement par complaisance et par duperie, de tout ce qui nous arrive chacun à son degré. Notre devoir donc à tous est de trouver intelligemment, les mécanismes pacifiques qui nous permettrons de sortir sans dommages, mais surtout nos frères égarés, de cet embrigadement démoniaque.
Le secret, qui n’est plus un car vérité du millénaire oblige est: de se confier totalement à Dieu. Lui seul procure la Vie éternelle.
Lucifère qui est souvent invoqué et encensé maladroitement par certains prédicateurs complices, pour leurs intérêts propres a été établi sur cette planète par Dieu. Son rôle est de tous nous éprouver. C’est le « Maître » de la Terre. C’est notre filtre à tous. Mais, Lucifère n’appel personnel. Il ne viendra jamais vers toi, si tu ne l’invoques pas. Nos différentes ethnies gabonaises ont eu la Grace de Dieu, d’exonérer nos langues, des mots ou des noms l’identifiant. Nous sommes par conséquent un « Peuple Béni », exclu de toutes pénitences, oint d’une mission divine pour l’humanité, surtout en ce début de millénaire ou le CHAOS (le Diable humain) a atteint son paroxysme le plus destructeur.
Les perspectives sont heureuses et bonnes. L’humanité sera à nouveau ré-éclairée car l’Afrique redevient, le continent du millénaire et de l’espérance humaine. C’est une lourde responsabilité qui nous ait à nouveau confié par l’humanité entière. Nouons et établissons de nouvelles relations de fraternité avec tous les continents, surtout l’occident et l’orient, pour le « Bonheur » de l’humanité et cela dans un cadre de : « Liberté, de Respect et d’Amour ».
L’Afrique est le berceau de l’humanité, le flambeau des nations et la lumière des civilisations. Nos frères des autres continents l’attestent. Nous avons tout récupéré : les sciences et les technologies. Nous avons renforcé la compréhension et le partage spirituel de notre interaction avec Dieu. « N’ayons plus peur ». « C’est fini, la tortue (l’Africain) qui se replie dans sa carapace à la vue, d’un événement supposé contre nature ». Partageons la véritable Sciences Divine à toute l’Humanité. Qu’il n’y ait plus d’obscurité et de zones d’ombres. Dieu a introduit dans notre corpus, l’intelligence. Cette parcelle de divinité qui nous permet de trouver une réponse à tous problèmes ou à toutes difficultés qui s’opposent à nous.
Il est donc de notre responsabilité, à quatorze (14) ans du nouveau millénaire, de nous mettre dès aujourd’hui au travail pour recevoir, nos frères égarés qui ont enfin compris et rétabli eux même cette vérité.
Dieu ne viendra jamais nettoyer nos habitats et laver notre linge salle. Le balai qui a une valeur hautement spirituel dans nos rites Bantou, symbole et logo du « Mouvement Les Patriotes », sert pour dire simple, à chasser et à nettoyer. Il est donc de notre ressort, de laver notre linge sale en famille en organisant le plus rapidement possible la « Grande Palabre Gabonaise » qui fera sans complaisance le bilan d’étape et fixera le cap du nouveau millénaire. Car, seul le Dialogue permet la Tolérance qui elle procure, la Paix des braves.
« Les plus Grandes Victoires sont Pacifiques »
Le « Mouvement Les Patriotes » vous souhaite :
« JOYEUSES FÊTES ET BONNE ANNÉE 2015 »
Michel Bouka Rabenkogo
Le Post de Prince démontre à lui tout seul, le problème gabonais et la concertation qui s’est perdue depuis la mort d’OBO.
Comment négociez avec un homme, qui préfère « enrichir » ses amis pétroliers étrangers ou certainement il a des actions, que de discuter avec un syndicat représentatif et majoritaire d’un secteur sensible de notre économie…!!!
Qu’attendre d’un homme qui a pavané dans les magasins de libreville le lendemain de l’assassinat d’un compatriote par ses forces armées?
Alors, le dialogue ne peut exister que si le départ de monsieur Bongo est négocié pour un exil à l’étranger.
Depuis 2009 l’opposition dit que le pays va mal à cause de Sarkozy qui a imposé Ali comme successeur d’Omar alors qu’on sait depuis le 30 août 2009 au soir que le type n’est arrivé que troisième derrière AMO et Pierre MAMBOUNDOU silence de l’Onu et le 25 janvier 2011 AMO a prété serment et formé un gouvernement réponse du Gouvernement:dissolution du principal parti d’opposition resilence de l’Onu et depuis 2012 l’opposition demande avec insistance une Conférence nationale réponse de gouvernement:le pays va bien Ali travaille les institutions fonctionnent les Gabonais plus heureux et plus riches que les Américains et Ali le meilleur président du monde reresilence de l’Onu qui semble hypocritement découvrir aujourd’hui le problème gabonais qui est pourtant né sous nos yeux dans un silence assourdissant et coupable de ce machin appelé Onu.Que peut-on sortir de ce dialogue et que cachent tous ces appels et que peut-on tirer d’un type fermé à toute idée de dialogue lequel il a tout à perdre tout à concéder?Conséquences?Les tenants du pouvoir n’accepteront que contraints et forcés pour mieux négocier leur départ c’est tout l’opposition quant à elle n’acceptera ce dialogue que si le rapport de forces est en sa faveur ainsi va l’Afrique en temps de révolution ou d’insurrection.Ici on est maudits et on ne sait pas quitter les choses avant.Et Ali a un problème de méthodes tout en se trompant d’époque.Le dialogue de sourds continue.
L’ONU, vous nous fatiguez, le pouvoir amergent pille notre pays depuis 2009, vous ne faites mais lorsqu’on prend les choses en mains vous venez nous calmer.
Nous ne voulons plus de Bongo II.
Si vous voulez nous aider, dites lui de foutre le camp car on ne peut plus continuer à supporter un régime é la MOUSOLINI, avec un totalitarisme du 19-ième siècle.
Si vous vous préoccupez vraiment des gabonais, Aidez nous à chassez le dictateur Bongo.