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Lâché par la Présidence, que va dire Akassaga aux juges ?
L’ancien maire du 3è arrondissement de Libreville, Serge Williams Akassaga Okinda, officier d’état civil qui avait établi l’acte de naissance querellé de l’actuel chef de l’Etat gabonais, doit préparer sa défense. Alain-Claude Billie By Nzé avait déjà annoncé que c’est à lui qu’il faut s’adresser.
- Serge Williams Akassaga Okinda, alors qu’il était maire du 3è. © D.R.
Serge Williams Akassaga, maire du 3ème arrondissement de Libreville de 2008 à 2012, avait établi, en mai 2009, un acte de naissance comportant des vices de forme à Ali Bongo. La règle est que la retranscription de l’acte de naissance original de tout enfant né à l’étranger, se fasse à la mairie du 1er arrondissement. Il ne lui revenait donc pas, en tant que maire d’un autre arrondissement, d’établir cet acte de naissance. De plus, l’acte comporte les noms «Ali Bongo Ondimba» au lieu d’«Alain Bernard Bongo». D’autres défectuosités ont miné cette démarche administrative. Au moment où des plaintes pleuvent sur cette affaire, l’opinion se demande comment l’intéressé va se défendre devant les juges si ces plaintes venaient à prospérer.
Lors du meeting du Front uni de l’Opposition organisé à Port-Gentil, le 22 novembre dernier, l’un des principaux responsables de cette coalition, Jean de Dieu Moukagni Iwangou, président de l’UPG (aile dure) et (ancien) magistrat hors hiérarchie, a donné à l’assistance des informations relatives aux plaintes déposées par des personnalités et par le Front. L’une d’elles, a-t-il dit, concerne Serge Williams Akassaga sur, justement, l’établissement de l’acte de naissance querellé. Or, on le sait, lors de son dernier passage sur les ondes de la radio internationale RFI, le porte-parole de la présidence de la République, Alain-Claude Billie By Nzé, estimait qu’il ne revenait pas à Ali Bongo de se justifier sur cet extrait de naissance, précisant à Christophe Boisbouvier qui l’interviewait qu’il fallait plutôt poser la question à «l’officier d’Etat-civil qui l’avait établi». «Ce n’est pas vous-même qui établissez votre acte de naissance, il y a un officier d’état-civil qui le fait, c’est à lui qu’il faut poser la question». Serge Williams Akassaga venait ainsi d’être lâché.
Selon des proches de Serge Williams Akassaga, l’ancien maire du 3ème arrondissement n’avait que peu goûté cette sortie d’un Conseiller éminent du Palais du Bord de mer. Ce lâchage en direct, cette mise à l’index que d’aucuns ont qualifié de maladresse, ont été peu appréciés par l’intéressé. Se confiant à Gabonactu.com, le 12 novembre dernier, en marge de la conférence de presse donnée par Jean Boniface Assélé, il a littéralement menacé de rompre le silence : «Je parlerai et il est peut être temps de le faire», a-t-il laissé entendre. Que va-t-il donc faire si, par hasard, il venait à être convoqué au tribunal ? Va-t-il préserver ses (bonnes) relations avec la famille d’Ali Bongo et s’auto-accuser ou va-t-il, pour rendre gorge à Alain-Claude Billie By Nzé qui, selon Jean-Boniface Assélé, «multiplie les gaffes à chacune de ses sorties médiatiques», expliquer tout le processus lié à l’établissement de cet extrait, quitte à citer son prédécesseur à cette mairie d’arrondissement, Jean-Boniface Assélé, auteur d’un premier acte de naissance établi à Ali Bongo en février 2000 ?
«Bien que la détermination de Jean de Dieu Moukagni Iwangou et la qualité de ses coéquipiers du Front uni de l’opposition ne suffisent pas à décider la justice gabonaise d’ouvrir de tels dossiers, il reste que ce dossier d’acte de naissance ne sera pas enterré comme d’autres l’ont été», a asséné Jean-Maurice Moussavou, membre d’un parti de l’Union des forces du changement (UFC). Ce dossier justifie à ses yeux le raidissement actuel des leaders de l’opposition. En exigeant des explications à Serge Williams Akassaga, le Front de l’opposition pour l’alternance prend le risque d’un combat frontal pour modifier à son profit le rapport de forces au plan de la bataille judiciaire. Jean de Dieu Moukagni Iwangou, le plus sourcilleux des juristes de l’opposition, ne veut visiblement pas s’en laisser conter. Il connaît, au moindre mètre carré, les coins et recoins du palais de justice, et il maîtrise les méthodes de ses anciens collègues. Selon un magistrat qui connaît bien l’ancien directeur général de l’Ecole nationale de la Magistrature, «Jean de Dieu Moukagni Iwangou sait dans quelle plaie planter le couteau pour que toute irrecevabilité devienne suspecte, que tout rejet de plainte montre à l’opinion tout entière que l’Etat de droit tant clamé et proclamé n’est pas encore installé dans les têtes et les esprits de ses congénères». Et comme l’avait dit un homme politique français, «le risque est mon lot, j’ai évacué la peur», le leader de l’UPG-Loyaliste est sûr de son fait.
Serge Williams Akassaga ne pouvait s’attendre à autre chose de la part d’hommes et de femmes à qui il semble manifester de la haine. Chaque manifestation -meeting, marche ou causerie-, le voit toujours à la manœuvre pour empêcher les leaders et militants de l’opposition de jouir de leur liberté d’expression et de mouvement. A Libreville, le 13 novembre dernier, il aurait fait partie des organisateurs de la «contre-marche» de l’opposition. À Akébé, quelques semaines auparavant, une causerie de Jean Ping avait pratiquement été perturbée par l’ancien élu de ces quartiers à la diversité reconnue. Jusqu’à Bruxelles, il aurait tenté de perturber une conférence donnée par Jean Ping dans la capitale de l’Europe. Membre du Centre des libéraux Réformateurs (CLR) de 2000 à 2012, Serge Williams Akassaga qui s’était essayé à la politique à Okondja, briguant même avec peu de succès un siège de député dans cette localité, est revenu refaire la politique dans le troisième arrondissement de Libreville. Lors de sa démission du CLR en 2012, cet ancien «lieutenant» du Général Assélé avait rejoint le Parti démocratique gabonais (PDG) dont il est aujourd’hui membre du Conseil national.
43 Commentaires
cet Akassaga est bete comme un TEKE. Je suis sur qu’il était saoul quand il recopiait les informations.
Hummm… je ne savais pas que le TEKE etaient maintenant bete ?
Là Jean-Jacques tu vas trop loin..
Jean-Jacques,
C’est terrible ce que vous dites ….Bête comme un TEKE !!!!!
Est-ce que vous prenez au moins le temps de relire vos propos ?
Je connais des TEKE ayant de Vrais diplômes…DROIT, GESTION, Génie électrique, Génie civil … Attention a ne pas faire l’amalgame tout de même …
Nous sommes tous Gabonais (Je ne sais pour vous !!!) et je trouve inacceptable que l’on puisse utiliser ce genre d’expression envers un groupe ethnique du GABON …LES TEKE SONT GABONAIS alors attention !!!! Minimum de respect.
La Démocratie c’est aussi cela…
Cordialement,
Philippe Vouette
jean-jacques, j’espère pour toi k’Ali Akbar ONANGA n’a pas lu ta publication, Léon Paul NGOULAKIA, ASSELE et surtout patience, sans oublié les autres TEKES aussi, et pour ta gouverne,AKASSAGA n’est pas TEKES, mais OBAMBA (frontière GABON-CONGO BRAZZAVILLE).Quant on sais pas, on se tait,car là tu fais dans la xénophobie et l’insulte et c’est décevant de la part de quelqu’un qui passe tout son temps à défendre des zozos.
Jean Jacques…
Vous avez craqué completement !!!
Je pense que vous n’avez pas votre place parmis ce microcosme d’internautes ou dans la vie sociale gabonaise.
Mon cher Jean-jacques,
Vous avez eu raison de vous caché derrière ce prénom qui a des origines occidentales. J’aurais été ravi de vous voir tout d’abord décliner votre ethnie avant d’étaler votre connaissance au grand jour. Vous semblez être plus intelligent que la moyenne des TEKE, non voire tous les TEKE…mais il me semble que la tenue ou la substance de vos phrases révèle votre mal profond. Je suis TEKE, je ne m’aventurai pas à vous traiter de bête…Déjà votre bete n’est pas celui-ci « bête », venant de celui qui se déclare être moins bête que des milliers de gens…C’est grave
Mais comme je l’ai dit, rien que l’analyse de vos deux phrases révèlent vos contradictions…Allez savoir!!!! Votre certitude du fait qu’il ait été saoul lorsqu’il entreprenait cette mascarade inhibe sa situation de manque d’intelligence et c’est normal…sans le vouloir, vous lui trouvez de circonstances atténuantes…:)
Si vous êtes français, laissez-moi vous surprendre que j’en ai connu des plus bêtes qu’en France et je me suis toujours attelé à leur faire savoir mes origines, Gabonaise…
Au sujet qui nous concerne, je pense qu’il serait souhaitable de laisser faire le temps. Il va finir par nous dire ce qu’il en est et ce qui s’est passé. Il sera jugé comme beaucoup d’autres pour haute trahison à la nation gabonaise. Il ne sera pas seul tout comme le porte-parole de la connerie, j’ai cité Billie By Nze
Il est plus que temps que nous fassions comme au Japon ou l’on fit une liste de toute personne jugée, reconnue et ayant participé à la destruction de son pays, car, comment comprendre que ces gens puissent déclarer en public Avoir l’amour du Gabon. Comment peut-on aimer le Gabon et le laisser mourir. Seul la légion étrangère fait la loi. Les gabonais croupissent dans la pauvreté alors que depuis près de 10 ans pour ne prendre que cette tranche le Gabon a un budget de moyenne de 3000 Milliards. Ou va tout cet argent? A quoi sert-il? Ont-ils vu ou lu un jour la pyramide de Maslow?
Comment comprendre que rien ne marche au Gabon alors qu’il fait partie des pays les plus riches? Il nous faut changer cela. L’heure n’est plus à la retenue mais l’action…Tous ceux qui ont pillé et conduit le pays dans un tel état doivent rendre de compte au peuple.
Dans cette liste mes frères, toutes couches, toute personne, journaliste de la une ou d’autres qui n’auront pas contribué à informer, les députés qui acceptent de tels agissements verront leur nom inscrit. Interdiction désormais de toute action politique, biens mal acquis seront réquisitionnés peu importe le lieu où ils sont allés les cachés…
Mes chers de l’extérieur, pourquoi ne pas faire comme l’ont fait certains congolais, une fois informé de la venue d’un membre ou ancien membre ou voire ancien partisan du système, aller et manifester voire fracasser sa gueule car c’est notre avenir et surtout celui de nos enfants qu’ils ont réduit à néant…
mais pourquoi s’attarder sur les dires d’un bouffon pareil?
faut le zapper celui-la,il ne nous apprends rien du tout avec ce genre d’interventions,en somme toutes ses interventions sont celle d’un imbecile heureux.
BALIVERNES ! AKASSAGA ne cache pas sa prochaine nomination dans une ambassade du Gabon !
Secrets de Polichinelle …….Wait and See …
lol…vous pensez que, meme s’il nous fait sortir une truck visiblement treker les gabonais vont faire quoi? vous vous aimez seulement parler, parler pour ne rien dire!
Mon cher jean jacques, ici il n’est nulemment question d’ethnie mais plutôt de conscience moral. pour ton information tout les tékés ne sont pas des Bongo encore moins millionnaire donc soit objectif son considération de culture, de réligion et autre…
merci
Il n’y a pas de fumée sans feu ; en somme, la vérité n’a pas de tombe. AKASSAGA, bonne chance. Tu es lâché par tes amis
il doit dire si cet acte a ete retranscrit par telephone ou s’il lui a ete presente 1 document original…A mon humble avis, cette retranscription c’est faite par telephone, ce qui est 1 faute grave devant la loi, tu sera emprisonner pd-Gay…
Voila que Jean-Jacques se met à insulter son président, pcq d’après son faux-vrai acte de naissance, il serait téké
de quel droit te permets tu d’injurier les tekes?
toi tu es une lumière? Qui t’a raconté ce mensonge?
Mes amis, AKASSAGA ne dira rien qui puisse vous surprendre, il a déjà été payé pour son silence, il serait capable de dire que l’initiative d’offrir cet acte de naissance viendrait de lui même
et que le président n’y est pour rien…Dans ces milieux c’est la loi de l’omerta, il sait que s’il l’ouvre, il est mort « assiette chinoise assurée »
Pauvre AKASSAGA, en attendant défoulons nous sur lui, histoire de monter haut notre adrénaline.
ça va se savoir…
Qu’il vienne s’expliquer sur cette affaire car son silence n’arrange pas les choses car le peuple gabonais a soif de savoir la vérité. Il faut qu’à un moment donné dans ce pays on incarne les vertus d’un veritable état de droit où la loi s’applique à tous les citoyens sans exceptions aucunes. Mais comment expliquer que des gens vont en prison dans ce pays pour des prunes et pour des délits similaires aussi graves et que d’autres se la coule douce tranquillement. On est dans quelle république?
maintenant monsieur akassaga aura mieux a faire que de suivre ping partout ou il va. quel abrutis
@jean-jacques finalement tout le monde est bete à vos yeux y compris ceux qui se fourvoient en forfaitures en voulant plaire à votre bien aimé distingué usurpateur.Bien que je ne trouve d’excuses ni à lui ni à vous si j’ose un conseil c’est vous demander de bien observer ou mènent la quète éffrénée du zélé et la gloriole que vous pratiquez vous meme allègrement….
AKASSAGA dit qu’il va parler pour dire quoi? vous aimez le buzz l’affaire est classé si le porte parole de la présidence vous dit de demander à AKASSAGA mais allé lui poser la question ou bien? maintenant si ASSELE a fait en 2000 en acte a quoi bon refaire un autre en 2009 à ce moment ce n’aurait pas été une retranscription en 2009 votre histoire n’est pas du tout claire…
Ah le gabon et ses probleme
Akassaga, bientôt dans l’opposition?
Voici des gens qui prennent la vie du pays pour un jeu d’enfant.Il est devenu maire d’arrondissement,sans vraiment mesurer l’importance des actes qu’il posait au quotidien…
Vraiment ! les Bongo et le PDG sont au pouvoir depuis prés de 47ans c’est en 2009 qu’ils pensent a faire un acte de naissance à ALI. Cela prouve la légerté avec laquelle les choses ont toujours été gérées dans ce pays.
Ya ALI OYé!!!!!!!!!!!!!
il nous construit le pays et tourne simplement le dos aux voleurs affamés aujourd’hui à la recherche du pognon!
AKASSAGA dira rien, il réclame juste sa part du gâteau avant de se faire embêter ou de faire un court séjour en prison pour calmé les choses, les PD ZOZOS n’ont pas encore remplies leurs part du contrat avec lui, voilà pkoi il menace, mais il dira rien, en ce moment il a trop a gagné avec Alex BONGO, qu’il peux rien faire de travers, c’est le même langage qu’utilise son parrain ASSELE tout les jours.
répondre de ces actes tout simplement.
Je te comprend le 9 mais <<un tigre ne proclame pas sa tigritude. Il bondit sur sa proie et la dévore. » si AKASSAGA voulait parlé, il l'aurait pas proclamé komsà, ouvrant la porte à un deal, il en sait trop dans cette histoire d'acte de naissance là et sais que sa vie en dépend.
Nous sommes la risée du monde aujourd’hui à cause justement de cette légèreté. En fait,le gaillard, continue de faire le dos rond devant les gabonais,qu’il croit impuissants devant lui; oubliant que sa légitimité vient du peuple.Donc vu de l’extérieur ce problème de légitimité fait que nos partenaires estiment qu’il ne peut plus continuer à engager le pays,avec des origines plus que douteuses…
Dans tous les cas, AKASSAGA c’est très bien que sa liberté est devenue une question de temps,il fera tôt ou tard la taule pour faute grave. Mais les autres aussi sont complices en occurence un certain Ayouma dont la mention est sur l’acte de maissance comme étant celui à qui ce papier a été remis. Cher Akassaga tu as compromis ta jeunesse et c’est dommage ! Le chrono est lancé…
Pure distraction !
Ce n’est pas de la Faute d’Akassaga, dites moi une seule administration publique du Gabon qui n’est pas impliquée dans le tripatouillage des documents, c’est ça L’émergence que vous chantez et vantez tout le temps!!
Quel Honte pour Le Pays de Léon Mba, qui voulait faire de celui-ci une référence !!!
Dans un Pays démocratique, notre Sidonie Ouwe ( chasseuse de Prime des opposants et du sensationnel ) aurait déjà délivré une information judiciaire à ce cher monsieur Akassaga…. mais nous sommes au Gabon, et c’est un non événement pour la présidence gabonaise et autres institutions…!
Ce monsieur sera muté dans une ambassade d’ici la fin de l’année et bénéficiera de l’immunité diplomatique… pour service rendu
Après une minutieuse investigation et en recoupant les infos sur le net, j’en arrive à la conclusion que le test ADN a été déjà fait entre le 23 et le 27 Mai 2009, reste à en connaitre le résultat.
Toute la vérité sur cette affaire tient en 1 seul mois : MAI 2009
1. Le 6 Mai 2009 : Omar Bongo est hospitalisé à Barcelone en Espagne
2. Le 23 Mai 2009, Ali Bongo est admis à l’hôpital Américain de Neuilly à Paris, officiellement pour faire un bilan de Santé
3. Le 27 Mai 2009, Ali Bongo regagne Libreville dans un jet privé d’Afrijet ACCOMPAGNE de sa mère Patience Dabany (Donc elle était aussi à ‘hôpital avec son fils)
4. Le 29 Mai 2009, le maire du 3ème arrondissement de Libreville, établit le fameux acte de naissance
5. Le 8 juin 2009, un baobab s’écroule, Omar Bongo est mort
Conclusion : Chers patriotes, continuer à fouiner, vérifier au niveau de l’hôpital américain de Neuilly et vous aurez la réponse à la question du test d’ADN
Très bonne analyse
Jean jacques c’est triste que ce site prenne le temps et a accepter de valider ton insulte parce que c’est cela sur les Teke mais nous G2 somme habituer a cela depuis k Gabon Gabon merci encore
Je suis sure que J-Jacques est gabonais, son problème consiste à nous tirer les verres du nez, pcq’il pense exactement comme nous. Un pro Ali, un pdgiste ne peut venir dire « bête comme un téké »
il le pense sérieusement, il joue à un jeu très vicieux, je suis meme sure qu’il est un opposant….C’est un comédien
Maintenant j’en sais un peu plus sur le sujet 😉
J’avoue que l’acte qu’avait posé Akassga est une preuve que bcoup de gens ont leurs postes aujourd’hui grace aux opposants. En effet, guillome soro est tjours porte parole parce qu’il sait injurié les opposants. Il a toujours un mot à dire lorsque les opposants attaque son chef. Croyez moi, sans opposition on ne peut évaluer le travail de bily: savoir s’il mérite la PIP. Akassaga l’a compris. Il faut attaquer l’opposition pour espérer un poste. Dites moi, s’il n y avait pas de brigand que serait le travail des policiers et autres? Sans opposants yves mamfoumbi, mapangou, Ndongou, et autres ne
M. AKASSAGA la prison t’attend
Moi je soutiendrai Akassaga.
Et l’histoire se répète. Dans le film « Françafrique, 50 ans sous le sceau du secret », Patrick Benquet montrait comment Maurice Delaunay, ancien ambassadeur de France au Gabon s’était indigné face à l’attitude des autorités françaises qui avaient décidé de lâcher Bob Denard.
Et comme j’avais quasiment subi la même chose, alors je lui apporterai mon soutien.
Je ne sais même pas pourquoi Ali Bongo garde encore Bilié Bi Nzé à ce poste après s’être fait roulé et avoir roulé des sous au chef de l’Etat dans l’affaire Péan.
TON.:
Ils snt ces pdgiste!
Jean jacques n’est pas gabonais .c’est un vagabond qui passe tout son temps à intervenir dans les média au Gabon . d’ d’Africa no 1 à la première chaîne de radio .il ne se passe pas une émission sans que cette langue fourchue n’intervienne doit etre il est béninois ou togolais.je me demande s’ il est venu au Gabon pour intervenir dans les émission !?en plus de ça il passe tout son temps à crier.c’est un malade mental
Il n’y a pas de critiques à faire ! ‘article est parfait
[…] Okinda est indélébilement marquée par son implication dans l’établissement de l’acte de naissance controversé d’Ali Bongo Ondimba en mai 2009. En sa qualité d’officier d’état civil et maire du 3ᵉ arrondissement de […]