Agression d’Albert Ondo Ossa : Rumeurs et suspicions dans l’opinion
Il y a un trimestre déjà que les présumés coupables de la mystérieuse agression de l’ancien ministre de l’Education nationale et de l’Enseignement supérieur continuent de courir. Et… les supputations vont bon train.
Près d’un trimestre après la sauvage agression dont fut victime Albert Ondo Ossa, l’ancien ministre de l’Education nationale, l’enquête n’a toujours pas livré ses conclusions. Et pourtant, le lieu du drame laissait entrevoir une célérité de la procédure tant il est de notoriété publique que la devanture de l’ambassade de Turquie au Gabon est dotée d’un mécanisme de vidéosurveillance. Mieux, la personnalité de la victime, son positionnement politique laissait penser que les autorités policières et judiciaires mettraient tout en œuvre pour faire rapidement la lumière sur cet acte barbare tant certains avaient tôt fait d’y voir la main du pouvoir et une manœuvre visant à éliminer un adversaire gênant.
Face au piétinement de l’enquête, les supputations vont bon train. «On dirait un silence complice de la part du pouvoir», entend-on désormais au sujet de cette effrayante affaire. «Quand on veut étouffer une affaire, il suffit de venir annoncer la création d’une commission d’enquête pour contenter l’espoir des gens», dit, un ingénieur forage dans une entreprise privé de la place. Selon la rumeur publique, des noms ont été cités mais les personnes incriminées n’ont jusque-là été ni interpellées ni entendues. «Cette indifférence du pouvoir n’est-elle pas observée à dessein afin de permettre aux indélicats de disparaître de la nature ?», s’interrogent de nombreux observateurs. «Comment comprendre que malgré la vidéo de l’agression réalisée par les caméras de l’ambassade de Turquie et dont nos autorités ont pris possession, les présumés coupables de cette lâche tentative d’assassinat restent libres comme le vent», s’interroge un fonctionnaire du ministère des Affaires étrangères. «Nous attendons que notre monsieur le porte-parole d’Ali Bongo Ondimba convoque la presse pour partager avec les Gabonais l’évolution de ce dossier que de perdre son temps à nous livrer le programme de groove de son patron, ou de tenter de justifier l’injustifiable», souhaite un autre. Affaire à suivre…
6 Commentaires
Dans la dernière du journal Afrique ALI BONGO dit « L’impunité c’est fini » je me demande seulement de quelle impunité parle t-il? On veut éliminer les Têtes pensantes du pays, les enquêtes les plus minables sont loin de donner les résultats que le commun des gabonais sait; Pauvre Gabon. La vérité sortira un jour, même après un centenaire, je vous le promets. Si vous le payez pas ce seront vos arrières petits qui vont subir les represailles du peuple. Nous gardons les archives avec beaucoup de jalousie!!!!!!!!
Dans la dernière parution du journal Jeune Afrique ALI BONGO dit « L’impunité c’est fini » je me demande seulement de quelle impunité parle t-il? On veut éliminer les Têtes pensantes du pays, les enquêtes les plus minables sont loin de donner les résultats que le commun des gabonais sait; Pauvre Gabon. La vérité sortira un jour, même après un centenaire, je vous le promets. Si vous le payez pas ce seront vos arrières petits qui vont subir les represailles du peuple. Nous gardons les archives avec beaucoup de jalousie!!!!!!!!
au juste dans tout cela, voila 3 mois duran… Nous avons les services suvagement chévronés de renseignements comme la PJ ET la DGR, croyons kun trail d’enquette a éte fait et ya aucune suite? finalement les gabonais découvrent ke c’est de sa peau kon voulais! Courage vieux Albert Dieu ne t’as pas encord programmé
Et une affaire de plus en train d’être « classée » sans suite, après de nombreuses autres.
« L’impunité c’est fini » ALI veut dire à l’encontre des parsonnes qui sont de l’autre bord.
Nous voulons la verité c’est tout