Concours national de poésie : Déjà près de 600 textes reçus
Cette année, le concours national de poésie organisé à Libreville compte déjà près de 600 textes reçus, a informé le 12 janvier dernier Honoré Ovono Obame, président de la Ligue professionnelle des enseignants, à la faveur de la présentation de l’ouvrage intitulé «Soleil de la félicité».
Au Gabon, la Ligue professionnelle des enseignants célèbre chaque année la Journée mondiale de la poésie avec un concours national. Au cours de la présentation du recueil de poèmes Soleil de la félicité, le président de la Ligue professionnelle des enseignants, Honoré Ovono Obame a annoncé qu’actuellement il y a près de 600 textes reçus pour cette année pour ce concours.
«Dans peu de temps, nous allons organiser la Journée mondiale de poésie à Libreville. Dans ce cadre justement, il y a un concours national qui a été lancé avec pour thème : “hymne à la patrie”. Et nous recevons des textes qui arrivent de partout des élèves, des retraités, de tous ceux qui veulent bien dire un mot sur l’hymne à la patrie, puisque c’est l’heure de la célébration de la patrie. Nous sommes aujourd’hui au tour de 600 textes déjà reçus», a indiqué Honoré Ovono Obame.
Selon le président de la Ligue professionnelle des enseignants, à cette allure, puisque le concours va être clôturé à la fin du mois d’octobre, il n’y aura pas moins de 1 000 textes, qu’il va falloir trier, corriger et ne retenir que les 16 meilleurs. «En dehors des 16 meilleurs qui seront primés, nous allons produire une œuvre des 50 meilleurs textes, c’est ce que nous faisons habituellement», a-t-il expliqué. D’après lui, les 50 meilleurs textes font l’objet d’une publication, mais seulement les 16 meilleurs seront récompensés.
Ce concours national a pour objectif de faire vivre la poésie, considérée comme l’un des moyens d’éveil et d’expression de la prise de la conscience, de célébrer ses acteurs et de rappeler l’importance de la tradition orale dans une contexte dominé par les nouvelles technologies.
0 commentaire
Soyez le premier à commenter.