Pétrole brut : Le Gabon 9e plus grosse réserve africaine
Selon un rapport de portail allemand «Statista», les réserves prouvées de pétrole brut de l’Afrique s’élevaient en 2021 à 125,3 milliards de barils. Le Gabon avec 2 milliards de barils occupe la neuvième place devant le Tchad avec 1,5 milliard de baril brut, et très loin derrière la Libye qui trône sur l’Afrique avec une réserve prouvée de 48,4 milliards de barils.
Le Gabon enregistre une hausse de ses réserves de pétrole brut avec des découvertes de nouveaux gisements. Selon Statista, avec 2 milliards de barils dans sa réserve en 2021, contre 2 000 millions de barils en 2018, le pays occupe la neuvième place devant le Tchad avec 1,5 milliard de baril brut, loin derrière la Libye, Nigeria, Algérie, Angola, Soudan, Égypte, Congo-Brazzaville et l’Ouganda.
Le pétrole est depuis des décennies une des sources d’énergie les plus convoitées à travers le monde. Disposer d’importantes réserves de pétrole brut et une chose, pouvoir les extraire et les exploiter est une autre. Or, la production de pétrole varie grandement d’un pays à l’autre, car les gisements à l’origine de cette énergie fossile ne sont pas présents dans les mêmes quantités partout.
Toutefois, la grande majorité des pays possédant les plus grosses réserves d’or noir, figure également dans le top 10 africain des pays producteurs de pétrole. Selon les chiffres de l’Organisation les pays exportateurs de pétrole (Opep), la production du Gabon s’est établie à une moyenne de 188 000 barils par jour en 2021, faisant du pays, la septième économie africaine producteur de pétrole. Si la production est opérée de manière économique, elle peut donner un coup de pouce au marché et à l’économie nationale.
2 Commentaires
« Si la production est opérée de manière économique, elle peut donner un coup de pouce au marché et à l’économie nationale ».
Voilà qui est bien dit. Regardez seulement le niveau de développement du Gabon avec le pétrole depuis plus de 50 ans, pour moins de 2 millions d’habitants. Imaginez maintenant ce développement sans pétrole. On serait dans les ténèbres de l’Afrique avec les mêmes qui conduisent depuis bien longtemps la destinée de ce pays.
La malédiction du pétrole c’est pas d’avoir cette ressource , c’est la qualité des gens à la tête pour la gérer, c’est-à-dire leur niveau d’intelligence, leur vision pour le pays, leur penchant pour l’ambiance et la jouissance sans efforts, leur niveau d’affairisme et le contrôle étatique plus ou moins indépendant par des institutions au service du peuple.
Si les indicateurs de ces critères sont au vert , on peut rêver de progrès, sinon, faut oublier le pétrole, il devient une malédiction contre le développement. C’est malheureusement le cas de notre cher GABON. Sauf à me démontrer le contraire.
Bonjour très chèr lavue le pétrole au contraire est une bénédiction dans un pays il suffit de regarder le diveau de développement des pays qui exploitent l’or noir les pays du golfe les usa et mêle à côté de chez nous la petite guinée équatoriale la libie d’avant la guerre. Non très cher lavue ce sont les rigolos qui gèrent ce pays depuis plus de 50 ans qui sont maudits c’est pas le pétrole des médiocres comme omar bongo ,ali bongo propulsés à la tête du pays par la France des personnes très peut instruites et cultivées devenu président du jour au lendemain se trouve confrontés à gérer un pays riche ,le résultat ne peut être que celui d’aujourd’hui. Zéro et zéro pas étonnant des gens qui ont eu zero faute en dictée au bac