Le président de la République a affirmé le 28 février à Libreville, que le Gabon a amorcé une nouvelle phase de son développement à travers la construction d’infrastructures dont l’utilité sur le plan économique et social est élevée. Ali Bongo fait notamment allusion au projet d’extension de l’Aéroport de Libreville et de sa voie de contournement.

Pour Ali Bongo, le projet d’extension de l’Aéroport de Libreville et de sa voie de contournement fait entrer le Gabon dans une nouvelle phase de son développement. © Capture d’écran I Momo El said

 

Et si le Gabon écrivait une nouvelle page de son histoire vers le développement ? Le président de la République, lui, en est convaincu. «Le Gabon est entré dans une nouvelle phase de son développement, caractérisée par la construction d’infrastructures à très fort rendement, c’est-à-dire dont l’utilité sur le plan économique et social est élevée. C’est le cas du projet d’extension de l’Aéroport de Libreville et de sa voie de contournement dont les travaux seront achevés au plus tard fin 2023/début 2024», a écrit Ali Bongo sur sa page Facebook, le 28 février.

Le chef de l’Etat a publié ce post après l’audience accordée au gouverneur de la province de l’Estuaire, Marie-Françoise Dikoumba, qu’accompagnait le directeur Général de GSEZ Airport et d’Arise IIP&IS, Igor Simard. «Ces nouvelles infrastructures permettront d’améliorer significativement le quotidien des Gabonais en augmentant en fluidifiant le trafic. Elles permettront également de renforcer l’attractivité de notre pays aux yeux des investisseurs», a ajouté Ali Bongo.

Le projet de construction de la Nouvelle route et de la bretelle d’accès à l’Aéroport international de Libreville va impacter 600 familles. Il est intégré dans un ensemble qui concerne le réaménagement de l’aéroport de Libreville, la construction d’une nouvelle aérogare ainsi qu’une voie de desserte qui prendrait son origine au Carrefour Camp de Gaulle, pour déboucher au dispensaire d’Okala. Ce chantier sera exécuté dans le cadre d’un partenariat public-privé, entre l’Etat et GSEZ Airport, concessionnaire de l’aéroport international de Libreville.

 
GR
 

4 Commentaires

  1. Gayo dit :

    Que les naïfs et les maboules qui croient encore à la démagogie d’Ali Bongo lèvent la main? Le développement pour un petit pays comme le notre, c’est avant tout un peuple respectable et respecté par ses gouvernant à qui il reconnait la légitimité et les qualités pour le guider dans les efforts communs et le consentement pour les sacrifices d’une population qui doit beaucoup donner pour émerger. La première richesse de tout pays ce sont les hommes et le Gabon manque d’hommes de qualités. S’ils existent, les cancres et les amateurs remplis de cupidité qui confisquent le pays et qui ne les ressemblent nous privent de leurs qualités. De telle sorte que tous le peuple partage la beteté de son président. Sur la carte des pays par moyenne de QI, le Gabon est très en bas de l’échelle à cause de l’abrutissement cultivée par le régime Bongo.

  2. Malho dit :

    Il faut être un becté mental comme boa pour porter de l’attention à de telles stupidités, tellement ça pousse à vomir. Depuis plus de 50 les régimes de obo et boa n’ont rien apporté de concret à la vie des gabonais. Depuis des années, on annonce des slogans vides de développement, à la fin, on ne voit rien sur le terrain. Un beau petit comme le Gabon, ils ont été incapable de le gérer. Boa doit être degager par tous les moyens. Honte

  3. funky dit :

    Le concept de développement désigne l’ensemble des transformations techniques, sociales, territoriales, démographiques et culturelles accompagnant la croissance de la production. Il traduit l’aspect structurel et qualitatif de la croissance et peut être associé à l’idée de progrès économique et social.
    Comment pour seul projet d’extension de l’aéroport et de sa voie de contournement vous parlez d’entrer dans sa phase de développement.
    Cher journaliste apprenez à dire ce qui est vrai
    PS: ci dessus la définition du développement.

    • La Rédaction dit :

      Cher lecteur donneur de leçon, apprenez qu’il ne faut pas se contenter du titre d’un article pour réagir en étalant des connaissances fraichement acquises. Et pourtant le titre fait une citatation (la phrase placée entre les guillements) et donne le nom de l’auteur de la phrase. Pourquoi s’en prendre au journaliste ? Pourquoi ne vous adressez-vous donc pas à l’auteur de la phrase ? En tout cas, merci de continuer à nous suivre.

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