Majorité et opposition en consultation à la présidence mercredi
Le porte-parole de la présidence de la République, Alain-Claude Billie Bi Nzé, qui a entretenu lundi 12 novembre les journalistes sur l’actualité présidentielle de la semaine, a annoncé que le président de la République entame, dès le mercredi 14 novembre, une concertation avec les partis politiques du pays, autant de la majorité que de l’opposition, sur la nécessité de la mise en service du passeport Cemac dans la sous-région d’Afrique centrale.
Avant d’expliquer le fondement de cette consultation qui se déroulera à la président de la République, Alain-Claude Billie Bi Nzé a annoncé que le numéro un gabonais a été élevé dans la matinée au grade de Grand-croix de l’ordre international des palmes académiques (OIPA) pour le compte du Conseil africain et malgache de l’enseignement supérieur (Cames). Il s’agit d’une distinction honorifique, a-t-il précisé, la plus élevée délivrée par le Cames, et qui vise à récompenser une personnalité politique et civile dont l’action aura impacté l’éducation, l’enseignement et la recherche scientifique. Le choix porté sur le président Ali Bongo résulte de la dynamique, la nouvelle vision et manière de faire en ce qui concerne l’université gabonaise ainsi que pour ses effort en la matière dans la sous-région.
Alain-Claude Billie Bi Nzé a également annoncé la tenue, dès le 13 novembre 2012, au palais présidentiel, du Conseil d’orientation de l’Agence nationale des grandes travaux (ANGT). Une réunion qui répond aux normes statutaires de l’ANGT qui stipulent qu’au moins un conseil d’orientation se tienne tous les ans. Il a pour missions, entre autres, d’évaluer l’étendue des chantiers et des études et la question de la maîtrise d’ouvrages engagés par l’ANGT dans différents projets.
Le dernier conseil s’est tenu en février 2012 et celui-ci permettra de faire le point sur les différents chantiers, le points sur les études qui ont été engagés et surtout donner de nouvelles orientations pour l’année budgétaire qui s’ouvrira sous peu. Pour le porte-parole, il s’agit d’une réunion importante dans la mesure où la population gabonaise attend des avancées dans le domaine des transports, de l’éducation et de la santé.
Revenant sur la concertation avec les formations politiques, Alain-Claude Billie Bi Nzé a insisté sur le fait que le chef de l’État recevra dès le mercredi 14 novembre les partis politiques légalement reconnus. «Comme il l’avait fait concernant l’île Mbanié, concernant la biométrie, le chef de l’État gabonais tient à rencontrer les chefs des partis de la majorité et de l’opposition, notamment en ce qui concerne la libre circulation des biens et des personnes, avec la mise en service du passeport communautaire Cemac biométrique.», a-t-il dit. Quelques partis dont l’UPG, le PDG, le PSD, le RBN, le CDJ, l’UPNR, le CCDG, ont déjà été listés pour cette concertation.
Enfin le président Ali Bongo Ondimba se rendra le 29 novembre 2012 à Londres pour le forum d’investissement Royaume uni-Gabon. Le chef de l’État sera accompagné de certains membres du gouvernement dont le ministre de l’Économie, de l’Énergie, de l’Agriculture, entre autres. Il présentera à plus de 200 chefs d’entreprises les opportunités qu’offre le Gabon, qui s’inscrit désormais dans le cadre de multiplications de ses partenariats.
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Mayila va se lever à l’aube pour aller faire les beaux yeux à Bongo II. D’autre part, ces rencontres ne servent à rien, puisqu’on écoute pas l’opposition, comme on l’a vu avec les rencontres sur l’île Mbanié et sur la biométrie. Les opposants qui iront là-bas c’est pour faire allégeance.
cette concertation n’a pas de sens. c’est une diversion analyse de quelqu’un que j’approuve.
Lorsque Ali Bongo a modifié la constitution a-t-il réuni la classe politique? Non!
Lorsqu’il a décidé de voter les résolutions 1973 et 1975 permettant à bombarder la Libye de Kadhafi et la Côte d’Ivoire Ali Bongo a-t-il convoqué la classe politique? Non!
il y a autres exemples.
c’est du cinéma.
Lorsqu’il s’agissait de L’Ile banie a-t-il réuni la classe politique?
Losrqu’il s’agissait de la biometrie a-t-il réuni la classe politique?
Pour la politique exterieur apparament il ne nous consulte pas, il y a d’otre realites et facteurs.
Pour la politique interieur il implik tout le monde car la, c des gabonais qu’il s’agit vraiment.
Une demarche louable a mon humble avis.
Je ne fait que passe
Il est important que de temps en temps la classe politique se parle. Elle ne peut pas se concerter sur tout les sujets, ce serait de l’anarchie. Vous comprendrez bien que l’ordre du jour, c’est l’établissement du passeport CEMAC, mais dans les divers et j’en suis sûr, l’actualité politique du moment sera abordée, à mon avis plus que la question du passeport qui sera rapidement traitée. Donc OUI, il est important que les politique s’asseyent pour échanger pour la vitalité de notre jeune démocratie!!
Vous dites « Il est important que de temps en temps la classe politique se parle. »
Sauf lorsqu’il s’agit de parler de la Conférence nationale souveraine (CNS). C’est bien ca ?
En somme, c’est le pouvoir qui sélectionne les sujets dont on peut parler et ceux dont on ne peut parler.
Mais la CNS bis on a pas besoin « monsieur ». Elle ne servira a rien. Toute les conclusions sont dans les rapports de la première. Pourquoi en faire une deuxième?. Si, les salafistes de l’ex UN étaient cohérents avec eux-même, ils revisiteraient ces conclusions et réclameraient l’application strict des conclusions qui avaient été prise. Pourquoi ne le font-il pas?, parce que ce n’est pas ça le but, leur but est de faire un « coup d’Etat constitutionnel » pour faire partir ABO. Pourquoi gaspillé du temps et de l’argent pour des conclusions qui existent déjà? Ou pour des personnes qui disent en un mot: « organisez votre départ », c’est insensé, qui ferait une chose pareille?. De tout les pays africains qui ont fait des CN, avez vous vue un seule en faire une seconde?…Non! Donc…ne vous laissez pas avoir par le manque de cohérence de certains acteurs politiques en manque de vision.
Par ailleurs, il est normal que le pouvoir sélectionne les sujets, car c’est le pouvoir qui « juge » de « l’opportunité » ou non d’aborder tel ou tel sujet en fonction des enjeux. Ceux d’en face ont tendance a l’oublier trop souvent, il ne faut pas regarder la personne, mais l’Institution. Il s’agit du PR, chef de l’Etat. Tant que les autres ne le reconnaissent en qualité de quoi Ali BONGO va -t-il organisé une Conférence de ce type?…!!
Moi, je ne suis suis d’aucun parti.
Je vous suggère néanmoins d’avoir un peu de respect pour ceux que vous appelez « les salafistes de l’ex UN ».
Apparemment, vous versez un peu trop vite dans le dénigrement.
Infos justes, plutôt Infos Orientées, tu ne sais même pas ce que signifie salafiste, tu reprend ce qu’écrivent les griots de la Griffe. Gabonreview devrait nous aider à élever le niveau et donc à ne pas publier les réactions qui se situent au ras desp aquerettes et affichent une méconnaissance flagrante des fondamentaux. Sinon ce lieu ne nous aide pas à faire avancer les choses. On ne peut pas revenir tout le temps sur les mêmes choses, à moins que Gabonreview aie fait le choix du populisme. Ce qu’on repproche aux hommes politiques.
Où sont les conclusions de la conférence nationale de 90? On les trouve facilement où? Pourquoi l’opposition a manifesté sur leur non-application? Le Gabon n’était-il pas le 2ème pays à organiser une conférence nationale? Pourquoi ne serait-il pas le 1er à faire une conférence nationale bis et pourquoi limiterait-on cette grand messe à une seule édition? Il n’y a que les pédégistes, connus d’ailleurs pour êtres réfractaires aux idées et aux principes démocratiques, pour penser comme dans une monarchie. Donc nous n’avons pas besoin qu’un autre pays fasse une 2ème conférence nationale pour que le Fabon s’y mette. Répond aux questions de Scho, s’il te plait.
Chère lalala-Mont Bouët, j’aimerais vous rappeler ce que Noam Chomsky disait de la liberté d’expression : « Si l’on ne croit pas à la liberté d’expression pour les gens qu’on méprise, on n’y croit pas du tout. »
LES INSTITUTIONS ONT DE LA VALEUR EN FONCTION DE CEUX QUI LES INCARNENT ET DE LA MANIERE DONT ILS LES ONT OBTENUS. DECICIDEZ SEUL ET APPLIQUEZ ET ON VERRA JUSQU’A QUANT CELA DURERA. OFFREZ QUELQUE CHOSE AU COLLABO…
Merci d’éviter de laisser des commentaires en majuscules. >> https://www.gabonreview.com/deontologie/
Mon chère frère Info juste.
aucun pouvoir Démocratique ne juge de l’opprtunité des sujets qu’il juge bon ou pas,sauf dans une dictature.le Président est élu par le pleuple et pour le peuple,pour conduire leur destiné.C’est le peuple qui implmicitement oriente les debats en fonction de leur problème et préocupation de l’instant,et le Président grace au mandat que le peuple lui a donné tranche.
Si seulement Infos juste savait ce que signifie « Salafiste ». Dans ce monde chacun a le droit et est libre de dire et defendre son opinion mieux de se battre pour une cause surtout la LIBERTE. Maintenant lorsqu’on a rien a proposer ou contribuer sur un aspect on Calomnie et on insulte comme le fait IJ. Soyez un peu intelligent mon tres cher compatriote! Ayez un tout petit peu la hauteur de l’esprit sinon on ne construira pas notre pays d’ici 2025, selon le Gabon Emergent.
Quelle marrade ! Ils disent réclamer le dialogue et quand on le leur propose, ils font la fine bouche. Non ! Non, pas de dialogue, la CNS !!! Bref, on n’est pas là pour papoter, on veut juste ta place Ali !
Bravo l’opposition responsable ! La seule chose plus ridicule que la dynastie Bongo, c’est l’opposition de Sa Majesté…
On a pas besoin d’hommes fort,mais des institutions fortes.Mais les institutions sont incarnées par les hommes.Dans le cas de notre pays par des hommes peut recommandables.Le Président a tant besoin de la reconnaissance de son pouvoir par les opposants.Il conditionne une discussion nationnal par la reconnaissance de son pouvoir par les opposants.Et nous le peuple,nos problemes,la santé,l’éducation,le logement,le chomage,les routes,la précarité dans laquelle vivent les gabonais.IL conditionne la resolution de ses probleme par quoi?
Devons nous le selebrer pour qu’il s’attaque aux problemes des Gabonais
@infosjuste alias Michel Ogandaga. Vous dites toujours n’importe quoi….. Vous parlez de choses que vous ne conaissez pas. Salafiste, c’est quoi ? Avec toute la mauvaise foi du monde on ne peut être salafiste que si l’on est d’abord musulman. Or, les musulmas chacun sait où on les trouve au Gabon…
Vous n’avez rien compris! Je ne suis pas Michel Ogandaga rassurez vous, je ne fais parti d’aucun parti, mais j’admire la vision cohérente du PR, d’autant qu’en face il n’y en a pas!. Quant au terme salafiste, il s’agit d’une analogie, mais peut-être préferez vous fascistes…non?
grattez un peu l’opposition, et les clichés racistes et xénophobes font vite surface…
Islamisation, légion étrangère… Certains veulent faire du Gabon une nouvelle Cote d’Ivoire.
Ils ne réussiront pas.
@Ni lire ni écrire. Je vous invite à lire l’article 10 de la Constitution voulue et votée par le PDG. je vous invite à vous pencher sur la nomenclature de nos actes de naissance, conçus par le PDG, parti au pouvoir. Je vous invite à regarder nos cartes nationales d’identité et à constater qu’elles ont une validité alors que le permis de conduire n’en a pas. Quand vous aurez fait cela vous saurez qui veut faire du Gabon une Côté d’Ivoire…. Sortez un peu de la récitation cher ami….
Il veut juste compter ses alliés au sein de l’opposition pour les faire entrer dans sa majorité façon façon
@kabangona Rassurez vous, je ne suis également d’aucun parti. Je suis juste un jeune observateur de la vie politique de mon pays et je soutiens la vision cohérente du chef de l’Etat qui porte des fruits pour le Gabon. Depuis 2009, on remarque que le Gabon engrange des avancées significatives même au niveau des rapports internationaux. Quant au terme salafiste, il désigne une branche traditionaliste et violente de l’islam. C’est donc une analogie, pour ceux qui ne l’auront pas compris. C’est pas forcément péjoratif, mais c’est pour dénoncer les dérives de violence des militants et membres de l’ex UN. J’aurais pu parler de fascistes qui est le terme qui colle mieux au domaine politique!.
@Lalala-Mont Bouët Rapprochez vous de la Cour Constitutionnelle ou du Conseil d’Etat si vous voulez avoir les conclusions de la CN de 90!. Aussi l’opposition n’a jamais manifesté sur la non application des conclusions de la CN de 90, elle s’est limitée à le dénoncer!. D’autant qu’à l’ère d’OBO, ceux qui dénoncent la non application de ces conclusions aujourd’hui y ont participé lorsqu’ils étaient aux affaires, c’est d’ailleurs pourquoi pour eux, tout les problèmes du Gabon ont commencé en 2009, avec l’avènement d’ABO, ce qui est tout à fait ridicule!!. Quant à la CN, il s’agit de jeter les bases du fonctionnement globale du pays, avec la mise en place d’institutions…Or que constatons nous? Le pays a déjà été doté d’institutions constitutionnelles qui fonctionnent normalement, le pays ne connaît pas de crise majeur comme on veut bien le faire croire, au contraire il avance! Bien sûr, il y en a qui souffre d’une cécité volontaire et refuse de voir, s’éloignant ainsi du caractère Républicain d’une opposition. Cette CNS n’aura aucune valeur ajoutée sur le Gabon, si ce n’est sur certains en mal de position et c’est pour cela qu’elle ne sert à rien, donc inutile de perdre du temps et de l’argent!! Aussi, si vous voulez savoir comment on pense dans une monarchie, allez en Arabie Saoudite ou dans d’autres pays des Emirats et vous comprendrez.
@justice, on parle bien du pouvoir Exécutif, chargé de la prise en compte des préoccupations des populations. Cette prise en compte ne se fait pas dans l’anarchie!. Le pouvoir exécutif se fixe des objectifs à atteindre en fonction des enjeux et des ressources disponibles. Il s’agit donc d’un arbitrage, entre enjeux, objectifs et ressources disponibles. Ainsi, il s’agit d’une priorisation et non d’un simple choix anodin de tel ou tel sujet, il faut bien le comprendre. Et cette responsabilité incombe au pouvoir exécutif, notamment au Chef de l’Etat!
Nous,Les Gabonais,nous parlons trop,beaucoup trop mais pour faire si peu.Je me demande à quoi cela sert,De trop parler et de ne rien faire.
On parle trop pendant que le peuple souffre!!
On parle trop pendant que la démocratie,une illusion, est dans un gouffre!!
On parle trop pendant qu’il y a pas de route!!
On parle trop pendant que « le Gabon d’abord » est en déroute!!
On parle trop pendant que les malades n’ont pas accès aux soins!!
On parle trop pendant que le Gabon devrait être comme Le Koweit!!
On parle trop pendant que la Guinée Equatoriale veut nous voler Mbanié!!
On parle trop pendant que les élites fuient à l’étranger pour y étudier puis pour finalement y vivre!!
On parle trop pendant que des Gabonais sont entrain de survivre!!
On parle trop pendant que le président actuel aurait été elu à 44,2% des suffrages et non par la majorité des Gabonais!!
On parle trop pendant qu’il n ya pas de pont pour rejoindre Port-gentil!!
On parle trop pendant que les politiciens actuels s’enrichissent en nous paupérisant!!
On parle trop pendant que les enfants meurent dans la force de l’enfance!!
On parle trop pendant que le Gabon, rêvé par nos ancêtres ,s’éloigne de plus en plus de nos plages!!
On parle trop pendant que l’on est pas autosuffisant alimentairement!!
On parle trop pendant que nous avons perdu la foi en nous!!
On parle trop pendant que les autres avancent à pas de TGV et nous à pas de tortue,
On parle trop pendant que tous ce dont on parle ne nous mène à rien!!
Cessons de parler,mes frères, et Passons à l’action car nous savons tous ce que nous voulons!!!
oui… commençons par arriver et partir à l’heure du travail. A occuper nos journées à remplir nos taches au lieu de parler. A construire au lieu de détruire. Et à chercher les moyens de nous entendre au lieu de chercher à détruire ceux qui avancent. Ce sera déjà bien.
Pertinent! merci pour cette intervention cher frère, tu as tout compris!
« chaque nation façonne la démocratie à sa manière, conformément à ses traditions. Mais l’histoire prononce un verdict clair : les gouvernements qui respectent la volonté de leur peuple, qui gouvernent par le consentement et non par la coercition, sont plus prospères, plus stables et plus florissants que ceux qui ne le font pas. » Barack Obama, Accra, le 11 juillet 2009.
Ali Bongo doit savoir une fois pour toute que jamais il ne verra Myboto, Eyeghe ou Mba Obame franchir le portail de la Presidence de la Republique, tant qu’il continuera a occuper illegitimement cette fonction a la suite de son braquage du 03 septembre 2009.
Qu’il organise ses concertation moutouki avec qui il veut. Jamais il ne fera President du Gabon. La bataille de la legitimite est definitivement perdue.
J’aimerai vous voir parler lorsqu’il gagnera en 2016 avec la biométrie et une surveillance minutieuse de la communauté internationale comme au Sénégal en 2012.Je parle bien d’un élection démocratique, parce qu’il aura un bilan à défendre pendant que les autres verseront dans les injures, la haine, la division….bref rien de constructif!. J’espère que toutes les personnes que vous citer se rendrons enfin à l’évidence que la majorité des Gabonais ne nouent pas forcément une haine viscérale au PR comme eux! J’espère qu’ils auront le courage de ravaler leur fierté et de reconnaître le PR comme celui de tous les Gabonais…Ne dit-on pas qui vivra verra? wait and see!
Quelle blague, si Ali Bongo vous entendait lui-même, il vous trouvera d’un tel ridicule. Pourtant vous n’avez pas l’air si idiot, mais écrire qu’Ali peut gagner démocratiquement relève soit d’une innocence soit d’une bêtise totale. Ali peut gagner, pour cela il faut que la très neutre présidente de la Cour Constitutionnelle soit toujours investie à son poste divin, que le Haut-Ogoué soit la province la plus peuplée du Gabon (quand on sait le nombre d’opposants qu’il y a dans cette province du Gabon), que des ambassades s’ouvrent dans des pays avec lesquels le Gabon n’entretenait pas de relations diplomatiques, que les urnes se déplacent, que , que….Oui, il peut gagner! Mais avec ces conditions réunies, qui ne peut pas gagner? Même vous, vous le pourrez!
@ info juste,
Aujourd’hui est un grand jour. Vous venez vous-meme de reconnaitre ce que nous affirmons depuis le 03 septembre 2009, a savoir qu’Ali Bongo a fait un coup d’Etat electoral pour acceder au pourvoir et que le scrutin de 2009 n’a jamais ete democratique.
Maintenant vous voulez nous conduire a 2016, en nous faisant miroiter que cette fois le scrutin sera democratique sous habillage de biometrie. Et la nous vous disons non. Soldons les comptes. Allons-y a la CNS pour preparer l’avenir. C’est au sortir de la CNS qu’ensemble nous pourrons nous projeter et projeter notre pays vers des lendemains meilleurs.
Sinon, 2016 ne sera que la repetition de 2009. Et de cela nous n’en voulons plus.
Infos Juste a tout a fait raison selon mon sens de comprehension.Je suis sur la meme longueur d’ondes que lui.
Bjour reunir la classe politique c’est bien ,pas seulement pour certains sujects qui favirisent la majorité présidentielle mais sur toutes les questions de la populitiques.
Introduire l’anglais c’est chose louable,quel serait le repère du gabonais dans les jours avenir au moment ou nous avons deja pour langue nationale le français? la question reste à refléchir sur la mise en place de notre langue qui nous est propre avant l’anglais que pas mal de gabonais parlent!!!!!!!! c’est gravvvvve pour notre avenir sans identitaire du foufouuuuuu!!!
Bonjours à tous.
Loin d’avoir la connaissance infuse, cette concertation me fait beaucoup reflechir et je nvais vous livrer mon analyse.
Lorsque Bongo2 concois la politique financiere des agences, il le fait avec sa legion etrangere.
Lorsqu’il decide d’organiser la course des bateaux, d’achetter un hotel de luxe à paris, d’introduire l’anglais, de casser les maisons des gabonais, de modifier la constitution, il le fait juste avec sa legion etrangère.
Et quand le peuple gronde, quand AMO vient mettre la pression, il se rappel qu’il ya des gabonnais dans ce pays. il fait appel aux gabonnais pour aller rellayer son discours devant le parlement.
Pourquoi ABO n’envoit il pas accrombessi, liban, ohayon, abib sylla, lee white, kerangall, dans les fins fond du pays pour parler aux gabonnais?
Aujourd’hui il est à la tete de la cemac et il se rend compte qu’il ne peut pas parler à sassou, biya, debby, obiang nguéma parcqu’il passe le temps à les insulter en les accusant de soutenir AMO.
Mais par contre il vient de se rappeller que son pere avait dans sa politique de dialogue former des gens qui bien que ettant dans l’opposition ou au pdg ont des entrées à malabo, ndjamena, bangui, brazaville ou yaoundé.
pourquoi n’appel til pas sa légion etrangère pour parler aux tenors de la sous region?