Le monde célèbre le 13 février la journée mondiale de la radio sous le thème « Dialogue, tolérance et paix ». Sa vocation est de mettre en relief le pouvoir des ondes dans la promotion d’un monde plus pacifique et plus tolérant. Au Gabon, le ministre de la Communication assure que la radio contribue «à la consolidation de la paix et des idéaux démocratiques.»

Le monde a célébré, le 13 février, la Journée mondiale de la radio. © D.R.

 

La radio serait-elle le média le plus approprié pour la promotion d’une culture de dialogue, tolérance et paix ?

Sans trancher sur cette question, les Nations unies ont décidé de mettre en relief le pouvoir des ondes dans la promotion de dialogue, tolérance et paix pour la célébration de la 8e édition de la journée mondiale de la radio.

À Libreville, le ministre de la Communication, Guy-Maixent Mamiaka, a indiqué qu’à travers «cette journée, l’occasion nous est donnée de nous rendre compte une fois de plus de l’impact de la radio, outil d’information et de communication par excellence, sur notre environnement.»

Ce média légendaire, assure le ministre, est à la fois un bienveillant compagnon et un instructeur averti, «parce qu’elle nous accompagne dans nos campagnes, dans nos voitures et nos maisons, la radio contribue notamment à la consolidation de la paix et des idéaux démocratiques».

Guy-Maixent , qui reconnaît en la radio un pouvoir en matière de promotion du dialogue constructif en faveur du développement et du rassemblement, a rappelé que dès l’inauguration de Radio Gabon, en 1959, le président Léon Mba «attirait déjà l’attention de ses concitoyens sur les vertus du vivre-ensemble matérialisé par l’écoute, la tolérance, la compréhension et la solidarité des uns envers les autres».

60 ans après, le thème retenu pour la 8e édition de la journée mondiale de la radio conforte l’emprise de ce média dans la promotion de valeurs démocratiques. Car, «les radios sont des espaces de liberté, des cadres d’expression d’une société qui se veut plurielle et dynamique exprimant ainsi la complicité qui devrait exister entre une radio et son environnement d’expression», a soutenu le ministre de la Communication.

 
GR
 

0 commentaire

Soyez le premier à commenter.

Poster un commentaire