Le secrétaire général du Mouvement de redressement national-Unioniste (Morena-Unioniste) a restitué le 26 juin dernier à Libreville, les conclusions des rencontres citoyennes, initiées au siège du parti le 25 mai 2016.

Erichk Mauro Nguemah remettant une copie du rapport général de la rencontre citoyenne à un responsable de structure, le 26 juin 2016 à Libreville. © Gabonreview

Erichk Mauro Nguemah remettant une copie du rapport général de la rencontre citoyenne à un responsable de structure, le 26 juin 2016 à Libreville. © Gabonreview


 
24 présidents des structures rencontrées dans le cadre des rencontres citoyennes, organisées par le Morena-Unioniste, entre le 25 mai et le 26 juin 2016, ont reçu de manière solennelle et des mains d’Erichk Mauro Nguemah, le rapport général. Cette démarche avait pour but d’édifier toutes les classes de la société gabonaise sur le fonctionnement de l’Etat, le rôle des institutions et les futures échéances électorales de 2016. « Ces échanges fructueux, enrichissants, nous ont permis d’évaluer le niveau de connaissance des différentes couches de la société, sur la politique de notre pays. Ce débat nous encourage et nous réconforte dans le cap pris par le Morena-unioniste », a affirmé Victor Alain Eya Mvey, le président du Morena-unioniste.
Les échanges ont porté essentiellement sur des préoccupations relatives au démarrage, estimé tardif, des activités du Morena-unioniste ; la situation administrative du président de la République ; le candidat du Morena-unioniste pour août 2016 ; la position de ce parti par rapport à la candidature unique de l’opposition et l’organisation des primaires au sein de l’opposition. Selon les statistiques, ces échanges auraient permis d’édifier 24 structures représentées par 926 citoyens, dont 8 associations de quartiers, 9 associations culturelles, 2 associations d’étudiants, 1 parti politique, 2 syndicats du secteur public. « Au cours de ces rencontres, j’ai découvert une jeunesse très active, une jeunesse qui aujourd’hui demande à exister véritablement dans ce pays. Des femmes et des hommes qui sont de plus en plus inquiets de leurs avenirs. Une société qui n’arrive plus à proposer des perspectives d’avenir à ses fils et filles. Un climat délétère qui s’est installé, les uns et les autres qui ont peur de leurs avenirs », a déclaré le secrétaire général du Mouvement de redressement national-Unioniste.
 

 
GR
 

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