Pour le candidat à la candidature à l’élection anticipée de 2009, l’actualité de ces derniers mois commande un engagement ferme aux côtés du président de la République.

Stéphane Germain Illoko Boussengui. © Gabonreview

Stéphane Germain Illoko Boussengui. © Gabonreview


 
Disparu des projecteurs, le membre du Conseil national de la fédération A du département de l’Ogoulou Mimongo, a fait son retour devant la presse le 9 avril courant. Il entendait réaffirmer son attachement au Parti démocratique gabonais (PDG) et à la personne de son président. «Tout n’a certes pas été parfait, et c’est en cela que je comprends les nombreuses récriminations des compatriotes de l’opposition et même parfois de la majorité, mais devons-nous, dans le cas de la majorité, oublier qu’il s’agit de notre bilan à défendre», a-t-il lancé.
Pour l’ancien candidat à la candidature à la présidentielle de 2009, Ali Bongo est sans «complaisance» ni «démagogie», le meilleur choix qui puisse s’offrir au peuple. Il garantirait l’égalité des chances, la paix, la prospérité, le partage, le développement. «L’investiture du candidat du PDG inaugure une nouvelle ère, parce qu’Ali Bongo Ondimba a encore beaucoup à apporter à ses compatriotes et à son pays», a lancé Stéphane Illoko, qui n’a pas manqué de livrer sa lecture des derniers événements ayant rythmé la vie de ce parti né au pouvoir et au pouvoir depuis bientôt un demi-siècle.
«Le (PDG) vient de perdre l’un de ses plus gros bras. Notre frère a choisi de nous quitter pour des raisons personnelles. Nous sortons de cette épreuve très réconfortés et plus déterminés à animer le parti, sous la conduite du nouveau capitaine que le distingué camarade-président a bien voulu désigner », a-t-il affirmé, indiquant : «Nous sommes dans un État de droit, lequel garantit à chacun de nous entre autres la liberté d’opinion. Nous sommes des militants du PDG, nous y sommes parce que nous y avons adhéré librement. Et respectons scrupuleusement les statuts, les règlements régissant ce parti».
 

 
GR
 

6 Commentaires

  1. sourcekrat dit :

    Bonjour mon Frere Iloco Boussengui,
    C’est quoi votre probleme ? Vous cherchez quoi dans cette Galere ? Votre voix ne porte nulle part, Mon frere vous avez mieux a faire sur le plan professionnel ou vous etes sincerement attendu, Vous venez vous perdre inutillement, pour defendre quelqu’un dont on signale maintenant (Nouveau dossier) etre a l’origine des enormes fuites de capitaux que vous cherchez pour les Hopitaux, en direction de Monsac Fonsseca au Panama. Vous aussi mon Frere un dernier petit sursaut est requis de votre part. Merci mon Frere

  2. bonanza dit :

    Pauvre bougre.  » nouveau capitaine que le président a choisi pour nous »; « nous sommes dans un état de droit » et bla bla bla et bla bla bla. Franchement monsieur, vous avez des grosses, et vous désirez vraiment qu’ils vous ressemblent plus tard? De quel avenir parlez-vous ? Esclaves de pères en fils? Retournez dormir à l’assemblée moutonale, et laissez les gens qui aiment ce pays tranquille.

  3. Le citoyen libre dit :

    ALI n’a que des soutiens du ventre.
    Il soutient ALI quand ce dernier vole l’argent de notre pays ?
    http://gabonenervant.blogspot.com/2016/04/the-case-of-purchase-by-ali-bongo-of-20.html
    Quand la population est dans la misère ?
    https://www.facebook.com/pinze.bung/posts/1589792534670377?fref=nf

  4. Petit Piment dit :

    « Notre frère a choisi de nous quitter pour des raisons personnelles »… Pourquoi faire d’une affaire personnel un problème national. Que ce démissionnaire nous donne les véritables raisons de cette « Humiliation » dont il est question ici ! Prendre le peuple en otage pour régler des conflits personnels ce n’est pas ça diriger ! Prendre le peuple en otage afin d’assouvir une vengeance personnel ce n’est pas ça servir le peuple.

  5. Bassi-Yaô dit :

    Opportunisme, soutien du ventre, égoïsme. C’est tout ce que je lis à travers ce soutien. Qu’est-ce ce le Département de l’Ogoulou (Mimongo) a bénéficié durant le magistère d’ali bongo? Rien. Ah j’allais oublier, un bon coup de publicité sur certains auteurs et commendataires de crimes dits rituels. Ce département ne connaît aucun début de développement, certes il n’est pas le seul à classer dans le lot des régions oubliées (Malinga, Iboundji, Pana, Moulengui-Binza, …). Docteur Iloko, vous qui pouvez être une lumière pour les jeunes de ce département en particulier et du pays en général, comment comprendre que mêmes les opérateurs de téléphonie mobile ne veulent pas s’installer chez vous? 2 pilonnes pour tout le département (Airtel). La route qui relie Mouila à Mimongo est coupée à l’heure actuelle car il y a un pont qui cédé. Les bâtiments qui abritent les services de la préfecture, de la gendarmerie sont hérités de la colonisation, qu’est-ce Mimongo bénéficie dans le soutien aveugle au régime de prédation qui dirige le pays depuis un demi siècle? RIEN. Mais cela importe peu à vos yeux, vous avez une opportunité à saisir: le député du 1er siège venait de démissionner. Pitié.
    « On peut tromper une partie du peuple tout le temps, on peut tromper tout le peuple une partie du temps. Mais on ne peut pas tromper tout le peuple tout le temps ». Le vent est entrain de tourner, nous avons l’opportunité de mettre un terme à ce régime qui a montré ses limites.

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