Sur TV5 Monde Afrique, le 18 juin dernier, l’ancien président de l’Assemblée nationale a émis des doutes quant à la conformité de la situation administrative du président de la République avec les termes de l’article 10 de la Constitution.

Guy Nzouba Ndama lors de l’émission de TV5, «Et si vous me disiez toute la vérité ?». © Gabonreview/capture d’écran

Guy Nzouba Ndama lors de l’émission de TV5, «Et si vous me disiez toute la vérité ?». © Gabonreview/capture d’écran


 
Invité de l’émission «Et si vous me disiez toute la vérité», animée par Denise Époté sur la chaîne de télévision généraliste francophone TV5 Monde Afrique, Guy Nzouba Ndama a émis des doutes quant à la filiation du président de la République et, partant son éligibilité. «J’avais toujours pensé qu’Ali Bongo Ondimba était le fils d’Omar Bongo. Mais vous savez, nous sommes des Bantu et chez les Bantu, l’enfant appartient beaucoup plus à celui qui l’a élevé, qu’à son géniteur. Donc à ce titre, j’étais convaincu qu’il était véritablement l’enfant d’Omar Bongo Ondimba », a-t-il plaidé.
Pour le candidat déclaré à la prochaine présidentielle, à partir d’éléments fournis par les uns et les autres, des doutes légitimes sont nés dans l’esprit de bon nombre de personnes quant à la naissance du président de la République. «Il s’est posé à nous un cas de conscience entre cette volonté d’avoir participé à l’émergence d’Ali Bongo Ondimba sur la scène politique nationale et internationale et le respect des dispositions de la Constitution à travers son article 10», a-t-il révélé, suggérant : «Si Ali Bongo Ondimba aime tant son pays, il serait hautement important pour lui de s’abstenir d’être candidat à la prochaine élection». Et d’insister en prévenant que si le président de la République venait à maintenir sa candidature, les autres candidats déclarés se verraient dans l’obligation de prendre toutes les dispositions nécessaires pour l’en empêcher.
Sur les moyens dont il dispose pour contraindre Ali Bongo à renoncer à son projet de candidature à la prochaine présidentielle, ou pour faire échouer toute initiative susceptible de lui garantir un second mandat, l’ancien président de l’Assemblée nationale a évoqué la saisine des tribunaux et de la Commission électorale nationale autonome et permanente (Cenap). En somme, Guy Nzouba Ndama s’est prononcé pour des «voies légales» dont l’efficacité demeure hypothétique au regard des multiples tentatives lancées par les membres du Front de l’opposition pour l’alternance. «Nous ne pouvons pas parler de destitution, car pour cela, il faudra passer par les voies légales et convoquer la Haute cour de justice pour le juger pour haute trahison, et qui est habilité à convoquer cette Haute cour de justice ? C’est le président de la République. Donc c’est une voie à écarter. L’autre possibilité, c’est un coup d’État militaire et moi, je ne suis pas partisan de coup d’État militaire. Donc c’est une voie à exclure. C’est pour cela qu’il est important de considérer que la disqualification semble la voie la plus légale pour pouvoir empêcher Ali Bongo Ondimba de se présenter», a expliqué Guy Nzouba Ndama, répondant à une question sur le processus DTE (Destitution-transition-élections).
 

 
GR
 

23 Commentaires

  1. Lapanthere dit :

    “E
    st pris, celui qui croyait prendre!” Guy Nzouba Ndama, candidat déclaré à l’élection présidentielle d’août 2016 n’a pas d’acte de naissance, contrairement à ce qu’il essaye de faire croire. Comme Casimir Oyé Mba, Jean Ping et Zacharie Myboto, il s’est lancé dans l’intoxication contre le Chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba, pour tenter vainement de focaliser l’attention sur ce dernier afin de dissimuler son état civil irrégulier et clandestin.
    En effet, ce n’est que depuis 1998 que cet usurpateur qui affirme être né le 10 juillet 1946 et se réclame être un compatriote gabonais originaire de l’Ogooué-Lolo s’est établi un acte de naissance transcrit à la mairie de Koulamoutou. Un mensonge que beaucoup auront du mal à avaler car cet ancien baron de la république a pensé à se faire établir cet acte d’état civil très important 52 ans après sa naissance. En plus pour l’établissement de ce papier, Nzouba Ndama n’avait aucun acte de naissance d’origine en sa possession mais un bulletin de naissance que lui aurait délivré le Tribunal de grande instance de Koulamoutou. Une grande aberration car cette institution ne délivre pas les bulletins de naissances mais des extraits de naissance.
    Avec quel acte naissance Nzouba Ndama a-t-il effectué la transcription? Pourquoi a-t-il pensé à faire ce document plus d’un demi-siècle après sa venue au monde? Est-il réellement passé par le Tribunal de première instance de koulamoutou? Pourquoi cette transcription ne respecte aucun critère dans le fond et dans la forme? Autant d’interrogations qui méritent des réponses claires avant que ce faussaire ne songe à se présenter à la prochaine élection présidentielle pour solliciter les suffrages des Gabonaises et Gabonais.

  2. Peur d'affronter ali bongo dit :

    L’État civil d’une personne fait partie de ce que l’on appelle les droits fondamentaux de l’être humain. Cela constitue donc un droit inhérent à chacun d’entre nous que l’on soit simple citoyen ou Président de la République.
    On ne peut pas dire tout et n’importe quoi sur l’État civil d’un citoyen, ceci est largement contraint par les droits de L’homme et la Charte sur les Droits fondamentaux.
    Il y a aussi le fait que tout ceux qui s’aventurent dans ce débat ne respectent pas la mémoire de Omar Bongo Ondimba qui a dit et écrit à chaque étape de sa vie qu’Ali Bongo Ondimba est son fils légitime biologique.
    Nous ne comprenons pas cette opposition qui est elle-même aller à Nantes à la recherche de l’acte de naissance d’Ali Bongo. Que voulez-vous de plus que la copie intégrale de l’acte de naissance établie en 1959 de manière manuscrite à Brazzaville transférer depuis 1960 au ministère des affaires étrangères en France et depuis 1965 à Nantes.
    Ils ont porté plainte à Nantes et ils ont perdu le procès ils ont écrit à l’Élysée à Madame le Gall précisément et ils ont eu la confirmation de l’authenticité de l’acte de naissance d’Ali Bongo et de sa filiation avec Omar Bongo.
    Quand au débat sur les différents actes de naissance revenons en aux droits quelles sont les textes applicables aux 1959 c’est d’abord le code civile de la France d’outre-mer de 1947.
    Dans son article 40 dispose que les actes de l’État civil seront inscrits sur un ou plusieurs registres tenue double.
    Ensuite c’est l’article 158 du Code civil Gabonais qui dit que les actes de l’État civil sont inscrits dans chaque centre d’État civil sur un ou plusieurs Registre préalablement côté paraphé par le président du tribunal civil est tenu en triple exemplaire. L’un de ses exemplaires sera déposée au greffe du tribunal de grande instance, le deuxième exemplaire sera conservée à la mairie ou à défaut au chef-lieu du district et le troisième au ministère des affaires étrangères.
    De plus on essaye de faire croire au peuple Gabonais que ces actes sont faux parce que le texte n’aurait pas été réécrit à l’identique, la fiction la plus absolue puisque les registres sont tenus en un ou deux exemplaires et qui sont Écrit de manière manuelle.
    De plus au cours de la vie d’une personne un acte de naissance peut-être retranscrit autant de fois que nécessaire pour les besoins administratifs quelconque.
    Cela veut dire que l’acte d’État civil repris à Nantes ne peut en aucune manière être contesté.
    Au niveau du Gabon le procureur de la république a pris une décision suite a la plainte de la famille Myboto concernant l’acte de naissance d’Ali Bongo.
    Cette décision est claire est clos le débat une deuxième fois. Le procureur dit la chose suivante: l’acte de naissance établie par la mairie du troisième arrondissement et l’acte de naissance qui a pris appui sur le jugement de changement de nom de 2004 établi sur décret signé par Omar Bongo permettant à son fils Ali Bongo d’adjoindre à son nom Ondimba. Le père a signé pour son fils un décret l’autoriser à utiliser ce nom. Ce décret Onaida Maisha Bongo on a bénéficié puisqu’elle s’appelle Bongo Ondimba.
    L’opposition essaye de dire que c’est un faux Parce que a l’ époque ne s’appelait pas Ali Bongo mais Alain Bongo tout ceci est une absurdité.
    La transcription et retranscription à la mairie du troisième arrondissement lieu du domicile d’Ali Bongo est de 2009 elle ne peut que tenir compte que de l’acte de naissance initialement indiqué dans le jugement de changement de nom et sachez que ce jugement a été rendue en présence du ministère public donc oui ils ont eu la communication de la naissance oui ils ont eu toutes les pièces d’État civil pour pouvoir vendre cette décision qui n’a jamais été attaqué par qui que ce soit donc aujourd’hui on essaye de nous raconter de nous décrire l’histoire de réécrire l’histoire de la famille Bongo c’est totalement déraisonnable.
    Conclusion:
    Vous avez aujourd’hui un classement sans suite du procureur de la république de Libreville un classement sans suite du procureur de la république de Nantes il nous semblerait aujourd’hui étonnant mais je crois qu’il faut s’attendre à tout que l’on puisse continuer à laisser prospérer cette polémique que nous qualifions de divagations de fiction.
    En tout cas sur lac de ta civile nous considérant que
    Le debat est clos

    • LE LION NOIR dit :

      N’importe quoi ali lui-même a t-il respecté la mémoire de son prétendu de notre père omar bongo ondimba qui n’a pas daigné lui en faire au temps chaud!je suis tout de même désolé de vous l’apprendre et surpris qu’au 21eme siècle il y a des gabonais qui soutiennent encore des telles aberrations!en quel culte croyez-vous?avez-vous une pièce d’identité?êtes-vous vraiment intègre!si oui redoutez alors la malédiction de la constitution car frère au commencement était le verbe,le verbe était avec Dieu,le verbe était Dieu.Elle était au commencement avec Dieu/jean 1 VERSET 1 à 5.MERCI DE COMPRENDRE ÉMINENT INTELLECTUEL.

    • MOUKOUTOU dit :

      Bjr je crois bien savoir que personne ne peut réellement dire la vérité sur lui que lui meme. Ali est bien vivant; ce st ses déclarations sur RFI qui font ressurgir le débat. En plus pour qu’il mette fin ce débat, c’est son père qui est décédé , sa mère est belle et bien vivante qu’il fasse le test d’ADN c’est tout. Pourquoi vs compliquez les choses. Arrêtez de ns amerder. Pourquoi on s’atarde sur le caas Ali; le Gabon n’a pas commencé avec Ali et ne se terminera pas avec lui

    • GABAOCONSCIOUSSNESS dit :

      Mon cher,
      Pourquoi faire un long diatribe quand on sait que l’histoire de l’acte de naissance n’est pas le fait d’une haine contre ALI mais une relle question de LOiu, de Regles, de Constitution> Pourquoi authentifies t-on les diplomes d’apres toi ? Pourquoi authentifies t-on les actes de naissances ? pourquoi authentifies -ton les pieces d’identites tels que la carte d’identite, le passeport et le permis ? Pourquoi ALI Bongi as-t-il encourage la BIOMETRIE ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi a-t-il coupe la pension a 12000 vieux et vieilles ? N’est ce pas pour qu’ils viennement authentifier leur identite ? Pourquoi si l’on doute de vos diplomes, les ecoles et universites ont tout prevu pour authentifier et justifier les bons diplomes. Pourquoi en a notre epoque moderne toute une population se doute ou s’etonne des incoherences liees a votre vraie filiation, vous n’etes meme pas capable de le justifier et d’en apporter la preuve. Que du BLABLABLABLABLA pour rien !!!! JUSTIFIEZ ou vous allez voir le PEUPLE SE LEVER…A la mort d’AMO vous avez vus mais l;a c’est rien….Comme ALI s’apprete a tuer il doit savoir que lui et sa progeniture ne vovront plus au Gabon

    • Harvy dit :

      Hooo Grand excuse moi, toute cette page là pour arriver à cette conclusion????

  3. Paulin Mba dit :

    J’opte pour un coup de force. Ali et ses amis ont gouté le sel, ils ne peuvent dégager que par la force

  4. Le Sankariste dit :

    « Nzouba Ndama doute de l’éligibilité d’Ali Bongo ». Quand il l’a soutenu en 2009 comme lui-même le confirme il ne savait pas à cette époque qu’Ali est inéligible? Comme il fait partie des gens qui l’ont mis là, alors qu’il trouve aussi le moyen de le faire partir car nous avons besoin d’un pays construit, instruit et non détruit.

  5. KOUMBWAMI MA-FWAT dit :

    On a connu Guy Nzouba-Ndamba plus rigoureux dans le discours, j’allais dire plus dialectique. Dans la même émission, il soutient avoir toujours pensé que l’actuel président de la République était le fils biologique d’Omar Bongo. Plus loin, il s’emporte un chouia, affirmant que tout le monde au Gabon sait que la prétendue mère du locataire du bord de mer n’a jamais eu d’enfant. L’ancien PAN regrette même qu’il soit forcé d’évoquer la vie privée de certains (entendre Patience Dabany)… Si Guy Nzouba-Ndama a pensé, au moins jusqu’en 2009, que l’actuel occupant du palais du bord de mer était le fils d’Omar Bongo, il a manqué de s’assurer de l’identité de la mère de celui-là. Une étourderie, sans doute !
    À mon humble avis, le propos quelque peu alambiqué de l’ancien PAN achève de convaincre que lui aussi a procédé, en 2009, à un enjambement silencieux de la Constitution par son soutien (décisif ?) au candidat du PDG d’alors. Il eut fallu le reconnaitre dès les primes rencontres avec les Gabonais du Nord. Il est maintenant à craindre que ce manquement, à l’insu du plein gré de Guy Nzouba-Ndama, ne se transforme en péché originel. Sauf si…

  6. doukdouk dit :

    Personne n’est blanc, parmi beaucoup de candidats, Nzouba a décidé de ne plus soutenir l’insoutenable et ce qui est logique. Tout le monde, à un moment donné, a conjugué avec ALI, s’il y a un procès, il doit être fait à tous. Autrement dit je comprendrai que Nzouba vous fait peur NZOUBA. Il n’est pas le seul a avoir soutenu ALI en 2009.

  7. popopopo dit :

    Peu de rigueur dans le discours en effet… L’article 10 de la constitution gabonaise ne dit pas qu’il faut être de père et de mère gabonais, mais qu’il faut être en mesure de remonter de 3 générations de gabonais dans sa généalogie.
    Suggérait-il, mine de rien, qu’un autre candidat en lice ne devrait pas se présenter…

  8. Axelle MBALLA dit :

    Et tout ce qui peut désormais les honorer, à tous ceux qui hier, ont combattu le changement, c’est d’avoir eu le courage aujourd’hui, d’affronter leur « propre imposture ». Et pour cela, notre Gabon n’oubliera jamais. Donc, que ce soit PING, NZOUBA, OYE MBA MYBOTO , Pierre, Paul, Jacques ou jean, l’heure est d’abord au consensus, pour porter l’estocade finale.
    Notre arbre à palabre finira toujours par apporter ce qui sera le mieux pour tous les gabonais (les vrais). Mais la République destructrice d’ACCROÀMEBESSI-ALIBONGO-OTOUNGA-MOUNDOUNGA-SIMBOUSIDONIEOUWE-et consorts doit s’arrêter. Ils iront avec leurs étrangers fonder leur pays à eux, où ils pourront aisement ignorer les gabonais, leurs attentes, leurs desiderata, et ainsi là-bas ils auront les mains libres pour faire prosperér toutes les formes de crimes qu’ils ont consacrés sur les terres de nos ancêtres!!!!!
    Missû Balâaa!!!!!!!!

  9. Jean nzela dit :

    Avant d’enlever la paille qui est dans l’œil de l’autre c’est mieux d’abord d’enlever la poutre qui est dans ton œil .

  10. liou leo dit :

    Mourir pour des idées, l’idée est excellente
    Moi j’ai failli mourir de ne l’avoir pas eue
    Car tous ceux qui l’avaient, multitude accablante
    En hurlant à la mort me sont tombés dessus
    Ils ont su me convaincre et ma muse insolente
    Abjurant ses erreurs, se rallie à leur foi
    Avec un soupçon de réserve toutefois
    Mourons pour des idées, d’accord, mais de mort lente,
    D’accord, mais de mort lente
    Jugeant qu’il n’y a pas péril en la demeure
    Allons vers l’autre monde en flânant en chemin
    Car, à forcer l’allure, il arrive qu’on meure
    Pour des idées n’ayant plus cours le lendemain
    Or, s’il est une chose amère, désolante
    En rendant l’âme à Dieu c’est bien de constater
    Qu’on a fait fausse route, qu’on s’est trompé d’idée
    Mourons pour des idées, d’accord, mais de mort lente
    D’accord, mais de mort lente
    Les saint jean bouche d’or qui prêchent le martyre
    Le plus souvent, d’ailleurs, s’attardent ici-bas
    Mourir pour des idées, c’est le cas de le dire
    C’est leur raison de vivre, ils ne s’en privent pas
    Dans presque tous les camps on en voit qui supplantent
    Bientôt Mathusalem dans la longévité
    J’en conclus qu’ils doivent se dire, en aparté
    « Mourons pour des idées, d’accord, mais de mort lente
    D’accord, mais de mort lente »
    En savoir plus sur http://www.paroles.net/georges-brassens/paroles-mourir-pour-des-idees#rJDZlmg3RsSy232Z.99

  11. Alexia dit :

    Nzouba doit prendre sa retraite qu’il laisse la place à ABO un jeune dynamique et plein d’avenir

  12. Petit Piment dit :

    Entre le doute et la confirmation d’un fait.. il y a un grand fossé ! Mr Nzouba arrêté de distraire le peuple ! Soit vous avancez vos cartes et on sait à quoi s’en tenir le 27 Aout soit vous êtes une taupe et on sait ce qu’il nous reste a faire !

  13. nous sommes tous des camarades du parti dit :

    nous sommes des camarades,il faut que l’on dialogue que l’on tolère et que l’on propage la pays dans notre pays.Si le camarade Ali a fait des erreurs pendant les 7 ans de son premier mandat,dialoguons,tolérons et pardonnons pour qu’il y ait un deuxième mandats et il ferra mieux.

  14. AS de trèfle dit :

    A tout ceux qui veulent le changement car le Gabon n’est une MONARCHIE
    A l’heure où l’on veut se débarrasser des émergents, on trouve toujours des gens qui n’ont rien à dire! Vous parlez d’une opposition unique, combien parmi vous ici parlez un langage unique? Le changement commence par le bas! Quand Nzouba, Ping parlent du problème connu d’Ali depuis plus d’une décennie, Il y a quand même des gens qui trouve à redire(« Pourquoi en 2009 il n’a rien fait pour l’empêcher de se présenter? ») Vous penser que c’est avec des phrases comme celle la qu’on pourra avancer?
    Quand il faudra être décisif c’est ce genre de réflexion qui priment dans les têtes de ceux qui veulent le changement!
    Evitons les réflexion qui emmènent nul part et soit constructif pour nous débarrasser de ce fardeau qui nous tire vers le bas!!!
    Cordialement

  15. AS de trèfle dit :

    Alexia toi tu doit être « malade » tu ferai mieux de consulter un spécialiste. Ton cas grave

  16. Kem Wr dit :

    Les balbutiements, les contradictions et la gêne de l’ex PAN ne passent plus inaperçus lorsqu’il aborde la question de l’état civil d’Ali Bongo. N’a-t-il pas eu finalement raison de déclaré en son temps sur les antennes de RFI que cette question ne l’intéressait pas outre mesure ? Qu’il revienne sur sa position aujourd’hui est quelque peu hallucinant et symptomatique de l’opportunisme politique qui le caractérise. Le sujet de l’état civil de l’actuel Chef de l’Etat gabonais étant à la mode, le brillant sophiste de la Lolo-Wagno n’hésite pas à ajouter ses propres épices à la marmelade. Risquant même de se contredire et de se confondre en balbutiements et contradictions flagrantes. Mais, les esprits éclairés ont longtemps compris qu’il ne s’agit là, ni plus ni moins, que d’une divertissante digression politique pour combler le vide d’une réelle vision pour le Gabon.

  17. LEVE TOI GABON dit :

    Il n’ y a qu’au Gabon que je vois de telles choses. Le peuple gabonais ne mesure pas encore sa valeur. Elle est semblable à une femme de bon cœur qui tombe toujours sur de mauvaise personnes.
    Le printemps arabe n’était pas une idée politicienne; le balai citoyen au burkina n’étais pas une idéee politicienne mais ici au gabon on attend tout de la politique. #LèvetoiGabon

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